|
| La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. | |
|
+4Hell O. Littleton Clover E. Hilbrand Calypso T. Jefferson Peyton B. Llewellyn 8 participants | Auteur | Message |
---|
Peyton B. Llewellyn
♣ posts. : 7 ♣ here since : 05/03/2010
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\'il n\'existe pas. Sam 6 Mar - 11:47 | |
| © créditPeyton Bonnie Llwellyn 19 ans - Droit - célibataire CONFRERIE
(a) Hilary Duff
| Je m‘appelle Peyton Bonnie Llewellyn et je suis né 19 ans, le 9 decembre, 1990. Je suis j'ai un frère et je vis dans un milieu luxueux, riche. Je suis d’origine new-yorkaise même si cela ne se voit pas. On me surnomme bombe à retardement ou Bonnichou mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont sociabilité, joie de vivre, énergique & franche et mon sang-froid est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que infidélité, lunatique, sarcastique & manipulatrice et l'orgueil est mon principal défaut. Je suis hétérosexuelle et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations sérieuses. Mon rêve est de changer le monde et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime la musique, le sport & profiter de la vie mais je n’aime pas qu'on me prenne de haut alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : j'ai fait la une du journal de Manhattan car j'ai été retrouvé - moi fille du sénateur - endormie sur l'un de trottoirs de Brooklyn . Je veux entrer dans la confrérie Alpha car car parmi tout les autres je trouve que c'est celui que me correspond le plus. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est magnifique & ma ville natale. Je suis plus alcool et niveau piercing et tatouage, je n'ai qu'un tatouage sur l'épaule remontant à ma vie de dérive. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux. Remplacer les X par des mots Entre italique, voyez choisir l‘une des deux possibilité ou mettre ce qu‘il demande. |
© crédit Here
Je pourrais commencer, comme toute histoire qui se respecte, par le fameux et unique jour où Peyton vit le jour. Mais très sincèrement, quel intérêt ? Pourquoi parle-t-on toujours en premier de la naissance de quelqu’un ? On devrait commencer par l’épisode le plus important. Or la naissance ne compte décidément pas dans cette catégorie ; quoi de plus banal que de naître ? Je veux dire : tout le monde est né un jour. Quand vous naissez, non seulement vous n’êtes pas original du tout, mais en plus vous ne faites rien à par crier (d’accord, c’est peut-être la première fois de votre vie, mais pas la dernière alors franchement…). Crier et faire mal à votre mère, qui en échange vous détestera pendant les années à venir (et juste quand sa rancœur s’efface, paf ! Vous rentrez dans l’adolescence et là, elle a de nouveaux motifs pour ne pas pouvoir vous supporter…). Bref, naître, tout rougeâtre et gluant comme une larve gueulante, ce n’est franchement pas glorieux. Donc, point n’est besoin de revenir sur cet épisode des plus inintéressants de l’existence de notre Peyton préférée.
Peyton est née dans un milieu très aisé, mais peut-être pas forcément le meilleur. Elle était la fille du sénateur Llewellyn et de la styliste Dennah San Chase. La plus belle qu’elle ait pu avoir en ses débuts fût un frère jumeau répondant au nom de Kolya Llewellyn.
Pour les petits Llewellyn la vie a été d’une extraordinaire facilitée. Vous savez, les gosses de riches, ils sont tous qu’ils veulent… Ils allaient à l’institut Duchesne devenant rapidement les terreur populaire du collège et ensuite du lycée. Prenant l’institut pour un territoire acquis. Peyton était la reine des pestes que toutes filles normalement constituées enviaient et voulaient lui ressemblée. Mais était-elle heureuse, vraiment ? La réponse est simple : non. Le sénateur et Dennah ne s’occupaient pas de leurs enfants, les laissant aux sages mains des bonnes et des domestiques, comme si c’était parfaitement normal. À l’école, elle entendait partout les autres étudiants parler de leurs voyages en Europe avec papa et maman, leur excursion au Caire avec papa, maman. Certes, elle partait souvent en vacance et elle avait déjà sillonné diverse contré, mais toujours « seule » autant que peu l’être une adolescente avec des parents bourrés de fric et une armada de majordome. Bien sûr, Kolya l’accompagnait, mais les deux jeunes gens n’avaient pas les même centre d’intérêt. Alors que le jumeau masculin aimait l’art architectural et se voyait déjà comme un grand architecte – ce qu’il ne serait jamais vu que le gentil papa avait déjà fait le grand discours sur le fait qu’il serait extrêmement déçu si ses braves enfants ne suivaient pas sa voie, c'est-à-dire : le droit – la jumelle féminine était une passionné de la haute couture, des magasins et des ticket de caisses comptant trois articles à un total d’un nombre à quatre jolies petits chiffres, mais se n’était pas pour autant qu’il ne s’aimait pas. En vérité, ils s’aimaient d’un amour presque plus que fraternel. Ils avaient toujours été l’un pour l’autre. Il était en quelque sorte sa seule famille, car elle avait définitivement exclu Dennah et Kingsley, le sénateur, de son arbre généalogique.
Mais la belle petite vie toute rose de mademoiselle Llewellyn a chaviré le jour où une voiture noire comme l’ébène à déboulé lors d’un after, ses résidents armés d’un calibre 9mm. Trois détonations. Trois vies passant au trépas. Dont celle de Kolya. Pourquoi me direz vous ? À New York, c’est la routine. Pour être honnête, dire que ça à a détruit la vie de Peyton serait relativisé les choses. Ça à… tué, mentalement du moins, Peyton. Elle a sombré dans l’alcool, ne prenait plus la peine de se traîné en cours, restant seule à sangloter sur la mort de son frère. L’infini tristesse. L’incompréhension, le refus. La peur. La solitude. Voici les stades par lesquels elle est passé. Le plus dur à été, sans aucun doute, l’incompréhension, le refus. C’est facile de se laissé pleuré ou de se terré dans un coin à attendre de ça se passe. Mais réfuté systématiquement la mort de son jumeau à été pénible, autant pour elle que pour son entourage. Elle attendait sur son lit, observant la porte, attendant que Kolya entre, lui fasse son bon vieux sourire : « j’arrive pas à croire que t’ai marché aussi facilement dans ma feinte » et la serre dans ses bras. Mais il n’est jamais revenu et elle est alors tombée dans la peur. Une main se posant sur son épaule la faisait sursauter. Une voix trop forte la faisait pleurer, un murmure trop sifflant gémir. Un bruit, hurlé. Elle a dû le vivre seul. Car ses parents sont restés deux semaines en deuil, avant d’accepter la vérité et de la laissé seul. Puis enfin, elle est passé à la solitude. Elle allait en cours, certes, mais restait planqué dans un coin, vêtu de noir et des lunettes de soleil empêchant de voir ses yeux, scotché sur son nez. Ses ami(e)s ou plutôt sa suite, essayaient de l’approché la réconforté, mais elle était emmuré dans son silence.
Puis, c’est passé, aussi vite que c’est venu. Un matin, en ouvrant les yeux. Elle a accepté si, si je peux dire. S’habillant des couleurs les plus chatoyantes. Mais ça c’était pour mieux caché son malaise.
Edward Maya • Stereo Love
TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :
▬ Ton plat préféré ; Macaroni au fromage
▬ Ta chanson préférée ; Green Day • 21 guns
▬ Ta couleur préférée ; Bleu royal
▬ Ton livre préféré ; Les Hauts de Hurlevent
▬ Ton film préféré ; Valentine's Day ▬ Ta ville préférée ; Rome
___________________
TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :
▬ 1ere attaque : le réveil
Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vie chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.
Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ? Je sors de ma chambre en furie et le fou dehors à force de coups de pieds au derrière avec son portefeuille pour qu’il puisse s’acheter de quoi manger et me fiche la paix. Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ? Bien sûr que non ^^ ce serait bien trop rapide. Je serai plus pour le retour de la chaise électrique. Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ? Il faut toujours fermer sa porte à clé.
•• Marine ; Little Miss SunShine : •• AGE ; 18 ans •• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; J'étais inscrite sur Oh My God •• PV OU POSTE INVENTÉ ; Poste inventé •• PRÉSENCE ; 2 jours, samedi && dimanche. Le vendredi, parfois et rarement le mercredi. •• NIVEAU RP ;
- Spoiler:
Alex s’étira de tout son long, resserrant les prise de son écharpe autour de son cou, un craquement sec se produisit suivit d’une impression de détente totale. Le matin était calme et silencieux. La rosée humidifiait les vieilles baskets qui avait d’eut être propre dans une vie antérieur, mais délicieusement confortable et Alex s’y était toujours sentit alaise. Il bâilla de nouveau, sans vraiment penser à se couvrir la bouche. Malgré la fatigue du voyage, il ne regrettait pas d’avoir agit en hâte. Ce matin, en arrivant, les grilles franchis, il avait grimper un escalier de marbre, atteint la sixième chambre, sans se préoccuper des colocataires déjà présents et avait lâchement abandonné sa valise noire en cuir quelque part, où il ne s’en se souvenait même plus et était descendu pour voir tout son matériel d’équitation positionné au plein milieu du hall, où un homme d’âge mûr, aux paupières tombantes et aux forts accents français, l’avait accueillit d’un regard qui signifiait clairement : « T’as de la chance que tu ne sois pas mon fils, petit gars. Non, mais je vous jure, ces jeunes ils se croient tout permis, faire lever les gens à deux heures et demi du matin, un dimanche ! Je plains le Sénateur avec un fils et une fille pareille, ça m’étonne pas qu’il ait autant de caractère » Mais quand il remarqua qu’Alex l’observait avec le sourire Azraël, un sourire de prédateur, il se redressa et dit d’une voix traînante et dans un anglais, pas très américain il dit :
- Bien le bonjour, monsieur Azraël. -Merci, à vous aussi, Jeremy. Alex n’était plus très sûr que le majordome se nommait Jeremy, mais à voir l’homme tiquer, il compris que ce n’était pas le cas.
- Je vous prie, monsieur, de m’appeler George. Bien sûr, si monsieur veux m’appeler « Jeremy »… - Non, non, ça ira, George. Vous pouvez prendre congé. - Bien. Oh, j’oubliais, mademoiselle Azraël m’a demandé, fort poliment, de vous transmettre ce-ci. - Plaît-il ? Le majordome tendit négligemment une épaisse enveloppe qui semblait à si m’éprendre à de la peau de serpent, où était graver le sceau des Azraël, ou plutôt celui de Dennah, représentant une hirondelle en plein vol. siffla Alex, changeant brusquement d’humeur. Veuillez-vous en aller, je vous prie.
- Comme il vous plaira, monsieur. L’homme tourna les talons, non sans avant s’être incliné bien bas. Alex avisa les lourde valiser et soupira
- Oh, George ! Veuillez emmener ce-ci dans la chambre six, voulez-vous ? George dévisagea Alex comme si ce dernier lui avait coupé une jambe, se fit violent pour ravaler le flot d’injure qu’il aurait bien voulu cracher au visage du jeune homme, fit un sourire grimaçant, franchit en deux pas la distance qu’il avait traversé en cinq, s’inclina et dit d’une voix qui avait du mal à contenir sa haine :
- Oui, monsieur, à votre service, monsieur ! Alex tapota l’épaule du serviteur et pointa un index vers l’escalier puis sortit, mais entendit l’homme cracher : « Sal môme à la… » Il ferma la porte avant d’entendre la suite, un sourire glacial plaqué sur les lèvres. Mais Alex comprenait l’homme, c’était l’ancien serviteur de Dennah et accomplir toutes les folies de la jeune fille n’était pas de tout repos. Alex s’étira en baillant, faisant bruyamment craquer ses articulations. Enfin, il arriva devant le box, où l’étalon tournait en rond, inlassablement, poussant de profond soupir à intervalle régulier. Alex continuait à le regarder. L’entier avait longuement été un cheval mis à part. Avait eut un brillant passé et aurait pu continuer sur cette voie, mais finalement, il avait été acheté par les écuries Midlothian et finalement, il se retrouvait à déambulé dans un box sans doute trop petit en rapport à son esprit de grandeur sous les yeux d’un gosse de riche New-yorkais. L’étalon donnait franchement l’impression d’être une bombe à retardement, dés qu’un mouvement se formait dans l’air, l’étalon bondissait se cognant contre le mur, mais jamais avec assez de violence que pour se faire vraiment mal, dés qu’un son retentissait dans le silence, il pointait ses oreilles vers l’avant répondait par un long hennissement mélancolique et mélodieux. Un son que Alex aurait pu entendre à longueur de journée. Somme toute, il rentra lentement à l’intérieur et le mâle se figea sur place, en observant son nouveau propriétaire. Selon les descriptions de Solaire’ avait un caractère égale à celui de Cemetery Drive, à savoir ; Un caractère vif et puissant, ce n’était pas bon pour Alex d’avoir un cheval qui lui rappellera tout le temps le bai. Ou au contraire, ça l’aidera peut-être. Mais pour l’instant, ce qui contait, c’était l’étalon noir qui se dressait face à lui, les oreilles pointé vers l’avant.
- Danseur Solaire, c’est ça, hein ? Cause toujours, tu m’intéresses, décrypta t-il dans le regard de mâle. Ce cheval avait un regard si expressif !
- Ç’a le fait pas trop « bad boy », ça ? Tu trouves pas ? L’étalon continua à l’observé, l’expression disant toujours « Parle à mon cul, ma tête est malade. »
- Purée, ça pue la bonne volonté ici, t’trouves pas ? Aucune réaction. Il restait toujours tapi dans le fond de son box, observant Alex avec agacement. Ce dernier souffla et se laissa glisser le long de la porte du box, les genoux collé contre sa poitrine, sa tête posé dessus. Il savait parfaitement que la meilleur chose à faire n’était pas de regarder le cheval. Mais il avait été catalogué, que parler à un cheval le détendait. Alors, on va essayer. Il sortit de sa poche l’enveloppe que George lui avait donnée de la part de Dennah. Il n’aurait jamais imaginé sa sœur entrain d’écrire, il avait été certain, plusieurs années, qu’elle en était tout bonnement incapable. Son serviteur du moment avait sûrement dû l’écrire à sa place… Il l’ouvrit, décolla soigneusement le bord de l’enveloppe. Et – ô surprise – ce n’était pas un lettre mais un enregistreur vidéo, extra plat. Ça n’étonnai même pas le frère de Dennah. Comment, cette fille aurait pu passer… 10 minutes sans parler ? Il remarqua la curiosité dans le regard de la grosse bête noir qui se tenait droitement devant lui.
– Tu sais, j’ai une jumelle. Dennah. Je la hais… Il appuya gauchement sur le bouton « play ». Il eut d’abord un silence, l’écran resta noir et Alex se demanda vaguement si la magnéto n’avait pas été cassée lors du voyage. Soudainement, le visage de Dennah apparu. Toujours aussi belle avait ses cheveux blonds, ses yeux bleu, sa peau d’une pâleur cadavérique, ses paupières tombante sur le fond blanc du salon… blanc de la maison Azraël. Sa voix retentit, elle avait une belle voix, douce et mélodieuse, mais grinçante, qui vous hérisse le poil. « Hey… Alors… Tu te souviens de moi. Oui, moi, Dennah, ta sœur… Non ? Je m’en serais douté ( sa voix monte d’une octave, elle est en colère), j’espère que tu t’amuses bien… en… ( long silence, elle disparaît de l’écran, j’entends de vague éclat de voix, elle revient ) en Ecosse. ( J’étais certain qu’elle ne s’avait même pas où c’était, sans doute car l’Ecosse n’était pas une capitale de la mode ). Enfin, quoi, Alex, tu nous fais quoi là ? T’es en manque affectif ? Si c’est ça, Pauline, tu vois ma meilleure amie ? Elle à totalement flashé sur toi ! Cool, non ? Bon. Si tu décides d’arrêté ton p’tit délire préviens-moi, je pars pour l’Italie, pour un casting de mannequinât à Venise, si je suis prise que part pour Milan et si Guess me prend c’est carrément Rome ! et puis papa nous fait une dépression, mais j’pense sa psy le réconforte, tu vois ce que je veux dire, n’est-ce pas ? Mais ce serait bien s'il y a quelqu’un à la maison avec lui, quand je suis pas là ( Premièrement, je ne voyais pas comment je pouvais être avec mon père, alors qu’il n’était jamais à la maison, en fait, il domiciliait à son bureau, à savoir, à la maison blanche, enfin presque, car c’est pas le président non plus et deuxièmement, il y avait les domestiques, même si Dennah ne semblait pas les prendre pour des personne doué d’émotion) bon, là, j’dois y allez ! Oh, n’oublis pas, j’adore le chocolat belge, donc si tu reviens dans la semaine, tâche de t’en rappeler. » Je restais bouché bée, observant l’écran où ma sœur était immobilisée, la bouche ouverte O. J’avais enfoncé le bouton « pause » avec tant de hargne que l’appareil avait gémit. En relevant la tête, je vis Solaire m’observer avec inquiétude. Personnellement, je ne pouvais ne supporter plus, mes pauvres petits nerfs étaient à bout. Je me suis relevé.
- Tu vois, ça, c’était Dennah. Charmante et généreuse, ne trouves-tu pas ? L’étalon à agiter vivement la tête. Alex sourit, l’étalon semblait le comprendre, au moins, il en donnait l’impression.
- Alors, tu sors de ton mutisme, bombinet ? Bombinet, mot made in Alex, féminin de bombinette.
- Moi, c’est Alex. Tu vas devoir me supporter longtemps, je le crains, grosse bête odorante. L’étalon semblait compatir avec le jeune homme, grâce à Dennah.
- On écoutera la suite après, soupira t-il, désespéré. Il tendit une main hésitante vers le mâle, qui était toujours collé contre la paroi du fond, Alex coinça deux doigts dans sa bouche et poussa un long sifflement qui fit grogner le stall’ d’indignation. Genre, il se prenait pour qui le p’tit bipède, là, pour Lucky Luck ? Mais ça attira l’attention de la bête velue, le gosse de riche s’agenouilla sur le sol de paille fraîche, récemment changé, son coude de la main gauche posé sur son genou gauche, la main tendue vers l’animal. Le mâle sembla se demander se qu’il devait faire de cette main, j’approche, j’approche pas, j’approche… pas. Alex chatonna doucement, une symphonie, simple et tentatrice. Les oreilles du noir se mirent vers l’avant puis vers l’arrière, changeant sans cesse de positon, finalement l’oreille droite resta pointé vers l’avant, alors que l’autre se cachait dans les crins épais du cheval. Alex manqua d’éclater de rire, mais ce n’étaient pas le moment de s’arrêter, sa voix vibra un peu, mais il fit violence pour garder son calme. Enfin, il se tu. Il n’y avait plus un bruit, imperceptiblement, l’Akhal Téké noir avait fait deux pas vers lui. Deux autres et ils seraient tout proche l’un de l’autre.
- T’es pas beau quand t’as tes oreilles en arrière. Et comme ça tu es tout à fait ridicule. Arrête de faire une tête de saisie, comme ça ! Il continu à l’observé, l’entier incline la tête sur le côté. No comprede, je suis un beau gosse, point. Alex s’amusait à déchiffrer le regard intelligent du mâle. Il ne savait pas trop comment il faisait, les yeux du cheval pétillaient d’une certaine manière à chaque changement d’émotion, sa bouche bougeait parfois ; là, il machonnait sans conviction sa langue. Deux pas. Deux pas les éloignaient l’un de l’autre. Mais finalement le mâle franchit la limite, inclinant la tête, son nez raflant le sol paillé. Respect envers le new-yorkais et vint sentir sa main. Alex se releva en caressant la grosse tête noire.
« Joli » renifla. Alex lui tendit deux morceaux sucre, posé dans le creux de sa main. Il ne fallut pas le dire deux fois à Danseur Solaire, pour qu’il croque promptement le sucre. Limite s’il n’a pas entendu l’équidé gémir : m-mmmmmmmiam, les oreilles joliment pointées vers le jeune. Alex ébouriffa le toupet ébène de cheval noir qui lapait avidement les sucres baveux qui coulait le long des doigts du jeune homme. Ce dernier examina la robe de l’équidé. De grosse plaque de terre séchée collant sur ses flancs, des brindilles emmêlé dans ses crin, ses sabots légèrement écorché. Mais on ne voyait pas ses côtes, l’étalon avait été bien soigné et nourri.
- On va aller te refaire une beauté, grosse chose. Le jeune homme attrapa le licol en cuir clair qui pendait négligemment prés de la porte et le passa autour de la tête de Danseur Solaire et attacha rapidement une corde en nylon noir. L’entier dilata ses narines et souffla profondément. Alex sortit son cheval du box, lentement vu les réticences et l’attacha finalement, il ne lui sembla pas que l’animal tirai au renard. C’était donc parfait. Il alla chercher le lourd bac de pansage qu’il avait nouvellement acquis. Danseur Solaire l’observait avec curiosité, observant et calculant tous les gestes de l’humain. Alex se mit au travail, parcourant la robe ébène de Danseur’ avec de vastes gestes circulaires, se qui provoqua un envole de poussière, nauséabond, mais les muscles de l’Akhal Téké se détendaient, au point qu’il luttait à garder les yeux ouverts, la tête basse et poussant de profond soupir, sa peau frissonnait sur les quelques points sensibles, il était chatouilleux à la basse de l’encolure, Alex en prit note. Il passa le bouchon, ce que Solaire apprécia moins, mais il ne bougea pas pour autant. Finalement il passa la brosse douce, lissant le poil et le lustrant. Alex recula de quelque pas, contempla les reflets matinaux du Soleil sur la robe noir du cheval, donnant des miroitements argentés. Les pieds, maintenant. Alex savait qu’il ne risquait rien, mais ç’était toujours la partit qu’il aimait le moins. Sans doute, car une fois, il avait reçu le pied de Cem’ en plein tibia, tibia cassé, direct aux urgences. Il sortit le cure-pieds et caressa la jambe du noir, de la naissance de l’épaule au fanon, par pur reflex le mâle contracta ses muscles, offrant aimablement sa jambe au jeune homme, qui cura rapidement les résidu. Arrivé au postérieur gauche, le dernier à curer, une odeur de moisissure, légère mais existante, monta aux narines du cavalier, il retira la terre et vit clairement de la fourchette commençait a pourrir.
- Hum… Eh ben, va falloir arranger ça, gros… Il alla chercher un spray vide, qu’il remplit d’eau chaude avec de l’eau de javel, un sceau d’eau, et sortit du bac un peau de goudron et des gouttes d’eucalyptus. Il reprit le pied moisi du cheval qui avait tourné sa tête et observait son maître avec inquiétude.
- T’inquiète, vieux, ça fait pas mal… L’entier poussa un profond soupir, qu’à présent Alex reconnaissait comme de l’exaspération de la part du beau noir. Fort heureusement, un troue avait déjà été percé dans la fourchette, car Alex ne se serait pas sentit capable d’ouvrir, il l’avait déjà fait à Cem’ et ce dernier l’avait boudé pendant une journée entière. Il nettoya avec l’eau fraîche le sabot pour mieux voir le petit trou. Il enfonça le spray eau-javel dans la petite cavité et appuya sur la détente, l’animal tressaillit, mais à cause du bruit, car ça ne faisait pas mal ça. Maintenant, ça devenait compliqué et douloureux pour le beau noir. Il attrapa le flacon d’eucalyptus, sortit la pipette et laissa tombé, une, deux, trois, gouttes dans la plaie. Le cheval bondit vers l’avant, mais Alex s’y attendait et suivit le mouvement.
- Du calme, mon grand, je sais, c’est pas agréable, c’est terminé, maintenant. Et enfin – ô joie, c’était terminé – il recouvra l’intérieur du sabot du goudron avec le pinceau, qui avait l’air d’avoir été propre dans une autre vie, très vite, la matière noir lui colla aux doigts et il s’en voulu de ne pas avoir mit les gants en caoutchouc rouge qui reposaient juste à côté de lui. Tant qu’il y était, il couvrit l’extérieur des quatre sabots. S’exclama t-il, une fois le travail terminé. Il alla rapidement se laver les mains et vider le sceau et le spray. Quand il revint l’étalon hennit doucement. Ce qui réconforta le jeune homme. Il sortit la brosse à crin et s’acharna à démêler les crins soyeux du mâle sans trop les casser et faire empirer l’état des crins. Retirant les moindres brindilles ou crasse. - Et ben, voilà, j’ai comme réussi à te faire beau ! Il sourit, carrément éblouit par l’éclat de l’Akhal Téké.
- Allez, on rentre au box, Danseur. Il détacha la longe et l’étalon le suivit en piaffant et donna quelque coup de tête joyeux à son propriétaire, qui le repoussait sans vigueur. Une fois dans le box, L’Akhal, fixa Alex avec intensité et celui-ci lui tendit un bout de sucre qui fut avalé goulûment. Finalement, le jeune homme sortit et alla chercher une ration pour l’animal, quand il entra dans la stalle, la grosse bête noir lui bondit dessus manquant décrassé le jeune homme.
- NON ! Casses-toi ! Allez, au fond du box ! Cria t-il, sa voix explosant dans le silence. Danseur Solaire baissa la tête, ses oreilles légèrement mise sur les côtés. Alex pointa le coin opposé de la mangeoire.
Le cheval gourmand ronfla bruyamment et partit vers le coin, se tourna et observa le jeune homme. Le pire, c’est qu’il avait appris les mesures de respect, car un cheval qui ne savait pas qu’il devait attendre que son propriétaire soit partit avant de se jeter sur la mangeoire, n’aurait pas obtempéré, aussi, facilement. Alex attendit deux petites secondes et versa les granulé dans la mangeoire qui produirent un bruit sec et répétitif, tourna les talons et sortit. L’étalon plongea alors sur le grain et mangea comme s’il avait peur de n’être plus jamais nourri.
- T’es incroyable mon vieux, on peu même pas dire que tu as été sous nourri et tu te jettes sur la bouffe comme un affamé ! L’étalon termina sur le regard de jeune homme. Il releva la tête et s’avança timidement vers le new-yorkais et posa doucement ses naseaux sur le creux des bras croisés d’Alex. Ce dernier sourit et caressa le chanfrein de l’animal, descendit jusqu’à la basse de l’encolure et gratouilla, l’étalon tendit la tête vers l’avant, sa peau s'est mise à frémir et il soupira de bien-être. Alex sourit et fit lentement remonter sa main jusqu’au milieu de l’encolure, fit une claqua amical, caressa les naseaux et murmura : L’entier poussa un petit hennissement et recula, regardant le jeune homme partir.
•• COMMENTAIRES ; =D •• AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT ; Yes, I do •• CODE DU RÈGLEMENT ; .{Croque la Pomme}.
|
Dernière édition par Peyton B. Llewellyn le Sam 6 Mar - 15:08, édité 16 fois | |
| | | Calypso T. Jefferson
♣ posts. : 104 ♣ here since : 16/02/2010
♦ mood. : happy
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 12:07 | |
| bienvenuuuue mais je suis désolé miley est prise par lux >< | |
| | | Peyton B. Llewellyn
♣ posts. : 7 ♣ here since : 05/03/2010
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 12:22 | |
| Ah... J'avais pas vu. Pourtant elle est pas dans les ava' pris ? | |
| | | Clover E. Hilbrand
♣ posts. : 15 ♣ age. : 33 ♣ here since : 04/03/2010
♦ mood. : Good good...
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 12:36 | |
| | |
| | | Peyton B. Llewellyn
♣ posts. : 7 ♣ here since : 05/03/2010
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 13:28 | |
| Merci | |
| | | Hell O. Littleton
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
♣ posts. : 1462 ♣ age. : 32 ♣ here since : 05/02/2010
♦ mood. : ◘ Démoniaque
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 13:37 | |
| Bienvenue a toi =DD Merci de t'être inscrite Bonne chance pour ta fiche
| |
| | | Clover E. Hilbrand
♣ posts. : 15 ♣ age. : 33 ♣ here since : 04/03/2010
♦ mood. : Good good...
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 13:56 | |
| | |
| | | Jadyss A. Nhelson
♣ posts. : 24 ♣ age. : 32 ♣ here since : 20/02/2010
♦ mood. : Happy :)
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 14:36 | |
| Welcome !!! Je viens justement de re regarder un film avec hilary J 'aiiime trop | |
| | | Peyton B. Llewellyn
♣ posts. : 7 ♣ here since : 05/03/2010
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Sam 6 Mar - 14:44 | |
| Merci | |
| | | Peyton B. Llewellyn
♣ posts. : 7 ♣ here since : 05/03/2010
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Dim 7 Mar - 14:12 | |
| Désolé du DP, mais j'ai fini =D | |
| | | Pandora L. Sanders Lady Pandora ▬ It's fun with me
♣ posts. : 73 ♣ age. : 30 ♣ here since : 19/02/2010
♦ mood. : Good
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Dim 7 Mar - 14:35 | |
| | |
| | | Krystal Hope Stuartson
♣ posts. : 85 ♣ here since : 28/02/2010
♦ mood. : Lunatique
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Jeu 11 Mar - 18:57 | |
| | |
| | | Shannon J.Winstead
♣ posts. : 70 ♣ age. : 35 ♣ here since : 18/02/2010
♦ mood. : Happy =D
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Ven 12 Mar - 22:35 | |
| Hilary Bienvenue =) | |
| | | Peyton B. Llewellyn
♣ posts. : 7 ♣ here since : 05/03/2010
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Dim 14 Mar - 11:14 | |
| Merci a vous tous =D
Personne ne veux me valider ? | |
| | | Calypso T. Jefferson
♣ posts. : 104 ♣ here since : 16/02/2010
♦ mood. : happy
▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. Dim 14 Mar - 16:39 | |
| Apparemment, le forum va encore changer >< | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. | |
| |
| | | | La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu\\\'il n\\\'existe pas. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |