Sujet: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Mer 17 Fév - 20:12
Le silence est « Le silence est comme le secret. Silencieux, intouchable, mystérieux mais surtout impossible à le respecter. »la règle d‘or à respecter sous peine de torture infligés à son insu..
Gare a toi si tu ose parler à haute voix, Dans ce lieu sacré, sous peine de torture froide. Règle que tout le monde connait mais Personne n’a prit en compte le passé.
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BIBLIOTHEQUE » 15h30
Avez-vous déjà désirer tuer quelqu’un de vos propre mains, car cette personne vous a fait venir dans un lieu que vous détester, n’étant pas quelqu’un qui préfère le calme ou brouhaha ? Avez-vous déjà penser pourquoi les humains avaient enlever cette loi, connu pour pendre les personnes qui ont fait du mal aux autres personnes ? Certes dit comme ca, quelqu’un avait fait du mal, à la reine des garces qu’est Hell Olympia Littleton - même si c’était presque impossible et qu’il avait plus de chance que ca soit elle, qui a fait du mal à ce quelqu’un - mais la vérité est tout autre. Connaissez-vous un lieu où le silence est roi et qu’il est quelque peu lugubre ? Le cimetière ? Même si cet endroit était très lugubre, on pouvait parler même si on aurait aucune réponse du mort qu’on est venu voir. Non, pour Hell, l’endroit que la jeune femme parlait était l’endroit où les intellos aimaient venir même quand la chaleur était aux maximal, autrement dire la bibliothèque. Lieu où le silence était roi, sauf si on voulait être la cible des tortures de la bibliothécaire qui aimait son calme et ses tonnes de livre, de tout matières, de toutes épaisseur, de toute taille et de toutes provenance du siècle qu’il est apparut. Pour Hell, la bibliothèque était l’endroit où elle ira le moins souvent car pourquoi allez dans une bibliothèque alors que vous pouvez payer quelqu’un pour faire votre recherche, ou que le dit bouquin est déjà chez vous dans votre immense bibliothèque ou les humains ont créer le meilleur système de recherche qui existe sur Terre alias Internet. Oui elle pensait jamais venir, mais ne dit on pas « ne dire jamais .» ? Cette phrase là, elle l’avait oublier d’où sa présence, aujourd’hui, à la bibliothèque de l’université où elle étudiait alias Columbia, attablé dans un coin où peu de personne venaient car c’était l’emplacement où les étagèrent étaient remplîtes de livre anciens, mais surtout de langue étrangères.
Et pourtant, la jeune femme était bien dans ce coin là, sans qu’aucune âme qui vive - autre que la sienne - y était et s’ennuyait ferme. Elle était venu car son professeur de langue étrangère voulait qu’elle fasse quelque chose et seul le lieu où elle était, lui permettait de savoir les réponses, d’où les dizaines de livre ouvert devant elle. Assise à sa table, ses yeux se promenaient sur les bouquins ouvert aux sommaire. Des livres à la langue grec, passant par l’italien au français. Tous livres susceptible de rendre fou un élève qui parlait que sa langue natale et non une autre. Elle se demanda encore pourquoi, elle avait accepter de venir où la raison était simple : elle faisait sauter un des cours qu’elle n’aimait pas, plus que les mathématiques : le sport. Soupirant et maudissant son habitude de jouer la parfaite présidente du conseil des élèves, elle ouvrit un livre de langue portugais où un juron lui prit, fermant le livre d’un bruit sourd qui aurait fait venir la bibliothécaire si elle n’était pas occupé à faire des choses qu’elle ne préférait pas savoir.
HELL— — Ca m‘énerve. Deux mots mais qui donna l‘émotion première d‘Hell : la colère.
Fermant des livres qui relataient sur un quelconque empire ou qu’une quelconque histoire à l’eau de rose, elle posa ses deux mains sur son visage, reprenant le contrôle d’elle-même. C’est ainsi qu’elle se rappelait de sa journée, qui avait si mal commencer pour la jeune brune qu’était miss Littleton, ici présente plus que énervé que jamais.
FLASH-BACK » 9h45, amphithéâtre
Comment une journée pouvait si mal commencer ? Pour beaucoup, une mauvaise journée doit être synonyme de mauvais temps, et de mauvaises révélation. Pour Hell Littleton, une mauvaise journée est une journée tout a fait banale mais que quelqu’un lui apprend une chose qui lui fit plus du mal que du bien, et que la seconde d’après, quelque chose qu’elle n’était pas habitude de faire arriva. Quand Hell émergea du sommeil ce jour-là, elle n’avait pas penser que sa journée allait être mauvaise, et qu’elle aurait mieux fait de rester dans son lit. Elle s’était lever, prit sa douche puis ensuite s’habiller, et avait marcher jusqu’à la cuisine pour prendre son petit déjeuné seule car c’était bien la seule, lève tôt des quatre. Puis, déjeuné dans son estomac, elle était partit prendre sa veste, ses clé de son cabriolet rouge sang, ainsi que son sac de cour, aurait saluer poliment ses colocataires qui étaient venu entre temps, puis étaient partit de l’appartement devant être en avance en cour, pour la stupide réunion qu’elle devait être présence. Une banale journée commença pour elle, au point qu’elle se dit qu’elle aurait passer une bonne journée. Et pourtant, quand elle arriva à son cour de science, se plaçant à côté de sa meilleure amie Sixteen, elle n’aurait jamais penser que cette dernière soit au courant d’une chose qui pouvait la refroidir et changer sa bonne journée en mauvaise journée. Stylo en main, elle avait écouter le cour, prit des notes où des minutes avaient littéralement passer, faisant s’endormir certain élèves de sa classe. Elle avait remercier ses parents de l’avoir donner cet éducation car sinon, elle saurait en ce moment même entrain de dormir. Heureusement, que Sixteen était là pour vous divertir où un sourire prit place quand elle entendit la voix de sa blonde de meilleure amie à son adresse, alors qu’elle était entrain de dessiner un quelque personnage ou objet sur sa feuille de note. Oui, elle n’aurait jamais penser que Sixty savait quelque chose et pourtant, c’était bien le cas perdant sa bonne journée pour une mauvaise journée qui commençait mal, de minute en minute.
SIXTEEN — Tu ne devinerais jamais ce que je viens d’apprendre. Alors qu’elle était entrain de prendre des notes, sa meilleure amie qui était assise à côter d’elle, lui avait parler. Finissant ce qu’elle avait marquer, elle s’installa confortablement à son fauteuil, gardant son regard chocolat sur le professeur alors qu’elle répondit d’une voix basse à Sixteen, blonde des Delta mais avant tout sa meilleure amie depuis le collège. HELL — Que tu as vu Alley sortir des toilettes suivit de près par Canterburry ? Un fin sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme alors qu’elle écouta son cour de science, cour qui ne la passionna quelque peu, préférant de loin parler avec sa meilleure amie Sixteen, qui suivait le même cours qu’elle à cette heure là. La réponse ne tarda pas à venir, gardant son sourire en coin malgré que quelque minutes plus tard, son sourire en coin fut forcé. SIXTEEN — Non mais ca aurait put. Les deux meilleures amies se sourirent car elles savaient toute les deux, qu’Alley aurait bien put faire cela. La blonde reprit la parole alors qu’Hell regardait le professeur faire son cour, comme si rien n’était. Notre Dom Juan a encore frapper et je pense savoir qui saura sa nouvelle proie. HELL — Et en quoi, la vie du Dom Juan m‘intéresse ? D‘une voix neutre, elle avait parler alors que quiconque l‘aurait bien examiner, elle aurait vu sa main se resserrer sur son stylo et que son regard avait prit une étincelle clair de quelque seconde a peine.
Mais personne ne l‘avait regarder en ce moment, sauf une blonde qui la connaissaient parfaitement pour savoir, que parler du Dom Juan qu‘est Connor Montgomery, lui faisait du mal. Un regard vers sa meilleure amie lui fit savoir, que la conversation était close, où poussant un soupire discret, elle écouta son cours de science, chassant toute mauvaise pensées qui avait un lien direct avec Connor de son esprit. C‘est ainsi que continua sa journée, qui commençait de la mauvaise manière qu‘elle n‘aurait pas voulu connaitre.
STARBUCK » 12H49
Une sonnerie des cours, annonça la fin des cours de la matinée à ses étudiant/es. L’une d’elle, prit tout son temps pour sortir, n’étant pas du genre à partir en courant même si son estomac criait famine. Tout en elle, montrant la classe et la maitrise de son sang froid, et ce n’était pas de la nourriture qui baissera cette théorie là. Portant un regard dans la salle de cour, elle y partit seulement un quart d’heure après, étant retenu par son professeur de langue vivantes pour un quelconque service, où la colère pouvait se lire sur ses trait fin et angélique de la jeune fille. Elle sortit de l’université, partant d’une démarche rapide et élégante vers le Starbuck, retrouvant déjà ses amis de sa confrérie attablé à leur table où un seul regard froid d’Hell, leur fit comprendre que quelque chose lui était arrivé donc de ne pas lui parler sous peine de se faire fusiller du regard et être sa cible pour se défouler dessus. Et pourtant, une certaine Billie Jean Carpenter, brisait cette règle au bout de vingt minutes de silence, mangeant ce qu’elles avait commander. Et le regard noir d’Hell sur BJ, ne la fit pas taire pour autant.
BILLIE-JEAN — Tu vas faire quoi cette après-midi ? Une question pourtant neutre et banale, mais pas pour aujourd’hui. BJ comprit son erreur, quand elle entendit la voix sèche et froide de la présidente du conseil des élèves à son encontre, évitant son regard par principe de non tussilage. HELL — Je dois me rendre à la bibliothèque. On peut dire, que toute les conversations des Delta ont été mis en suspens, quand sa voix leur était parvenu mais surtout sa réponse. Elle n’était jamais aller à la bibliothèque et ne l’aurait jamais été, si son stupide professeur ne lui avait pas ordonner d’y allez pour faire quelque chose pour lui. Ses pensées tournèrent sur le mort de son cher professeur quand BJ voulant détendre l’atmosphère, avec sa remarque pourtant si vérédique à son adresse. BILLIE-JEAN — C‘est une blague ? La seule réponse qu‘elle eut, est un silence glaciale de sa part. Et pourtant ce n‘est pas cela, qui enverra le courage de la Co-présidente aux oubliettes, d‘où sa fin de phrase à l‘encontre d‘Hell, qui était en ce moment même, entrain de tuer par pensée son professeur de la pire façon qui soit. J‘ai cru que je ne survivrais pas assez longtemps, pour te voir entrer dans ce lieu maudit. HELL — Le prof de langue vivants, si je le chope, ne saura plus si vivant pour faire son cour, croit moi. Sa voix claqua faisant arrêter toute discutions dans la boutique où elle mangeait. Un seul regard polaire permirent aux habitués du Starbuck de reprendre leur conversation comme si de rien n’était, laissant un silence polaire et de mort à la table des Delta, alors qu’elle avala un dernier morceau de son plat chaud.
C‘est avec des scenarios de meurtre, qu‘Hell finissait de manger avec sa confrérie, pour partir une heure plus tard à l‘un de ses cours, sautant ses deux heures de sport après, pour allez se rendre à contre cœur, dans le lieu où les miss je sais tout et intello à lunettes aimaient se rendre, alias : la bibliothèque.
FIN DU FLASH-BACK » 15h35
Elle sortie de ses incalculable pensées pour diriger son regard noisette sur ses nombreux livre qu’elle avait ouvert. Livres qui servait a rien d’autre, que de paraitre intelligence, sur des sujets qu’elle-même connaissaient de nom, les ayant déjà étudier dans sa jeunesse car ses parents trouvait intolérable que leur unique enfant ne soit pas cultivé. Alors, différents livres étaient ouverts devant sa table, table qui se trouvait éloigné des autres tables pour plus de sécurité, et Hell devait les étudier, pour son plus grand désespoir. Jetant un coup d’œil sur un roman du XVIII, en langue italienne, elle jura contre les professeur fanatique de l’italien car pour son professeur, italien de naissance, l’Italie est le meilleur pays que la Terre puisque connaître, et qu’il fallait au minimum savoir parler italien pour se débrouiller dans la vie. Pour elle, le seul avantage de parler italien couramment - autre que certain membre de sa famille parlaient italien chez eux, trouvant cela plus classe que de parler notre langue, pensant que leur enfants ne comprenons jamais leur conversations dit sérieux et adulte - était qu’elle pouvait se balader seul dans les rues d’Italie mais surtout acheter tout ce qu’elle souhaite acheter dans la merveilleuse ville qu’est Milan. Poussant un énième soupire, Hell se leva avec grâce, pour partir dans le rayon langue ancienne, préférant de loin se cultivé dans une langue qu’elle ne parlait pas très bien tel que le latin. La seule chose qu’elle n’a pas penser était que les dit livre de latin était sur les plus haute étagères et que la jeune femme était de taille moyenne. Poussant un soupire de mécontentement et levant la tête pour voir la place exacte des livre, elle se mit sur la pointe des pied tendant sa main ouverte, espérant qu’un quelconque livre de latin lui tombe dans la main. Elle prit au moins cinq minutes avant de s’avouer vaincu où elle ne se soucie pas qu’il y avais du monde autour d’elle - chose qui ne l’était pas car personne ne voulait parler du latin, ces jour-ci - pour pousser une plainte verbale, si véridique.
HELL — C‘est pas ma journée. Quelque mots mais pourtant, au sens si vérédique.
Car c‘était bien cela. Ce n‘était pas une bonne journée pour la reine des garces qu‘est Hell, car si ca l‘aurait été, elle ne serait pas présente dans cette fichu bibliothèque où le silence est roi. Elle ne remarqua même pas, que quelqu’un qu’elle connaissait très bien, voir trop bien, venait vers elle, trop occupé a maudit toute les personnes qui lui venaient à l’esprit. C’est seulement, quand une voix grave lui arriva à l’oreille, qu’elle sursauta quelque peu pour poser son regard chocolat sur la personne qu’elle connaissait que trop bien.
Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Mer 17 Fév - 21:06
La journée était très fatiguante, en effet, le professeur d'Histoire-Géographie n'en pouvait plus, les heures de cours passaient lentement, les classes étaient calmes, personne n'avait envie de s'amuser, tous étaient sympathiques, même pas de troubles-fêtes. C'était absolument navrant, heureusement, la journée touchait presque à sa fin, malheureusement pour lui, il avait encore deux bonnes heures à tenir dont une heure où il n'avait pas cours. En effet, le cerveau très puissant des administratifs devait surchauffé par moment, presque chaque jours, entre deux heures de cours, il avait une heure de libre. Parfois, il allait avaler un MacDonald, parfois il jouait à son ordinateur portable, d'autres fois, il faisait son métier de correcteur, apposant souvent de bonnes notes aux devoirs et jurant contre les mauvais élèves. Le professeur avait justement un gros tas de corrections à faire, des paragraphes argumentés sur plusieurs sujets, mais il devait absolument rendre les devoirs à une classe. Se trouvant dans sa salle de classe, le professeur s'installa tranquillement à son bureau, le silence qui régnait dans le lieu était religieux mais tellement agréable. Il sortit un stylo rouge et le tas de copies. En lisant les bêtises inscrites, il riait, comme si la date de la proclamation de la Troisième République Française était quelque chose d'impossible à se souvenir. Après trois copies, il se trouva face à un problème de taille : la copie qu'il corrigeait était très compléte mais le professeur ne se souvenait pas de certaines informations. Etant quelqu'un de très prit par son métier, il tenait personnellement à vérifier, ne voulant pas accorder de point à tord et ne pas en enlever à tord... N'ayant pas le temps de prendre sa voiture pour se rendre chez lui, un seul endroit regorgait d'ouvrages à portée : la bibliothèque de Colombia. Il regarda l'heure, il avait le temps de fouiller les étagères. Il rangea ses copies et son stylo, il s'installerait à une table tranquillement, au milieu des cerveaux de l'établissement, ceux qui ne sacrifaient pas le temps libre, des gosses biens. Il ferma la porte de sa salle en la quittant et traversa rapidement les couloirs jusqu'à un ascenseur, il pressa le bouton d'appel. Une fois qu'il fut là, il monta à l'intérieur et s'acharna sur le bouton du rez-de-chaussée. Dix secondes plus tard, il était arrivé. Il traversa le hall, presque vide, seuls des groupes de filles trainaient. Quant à lui, il ne chercha même pas à dire bonjour, il haïssait les groupes de filles, trop pénible et sans cesse entrain de glousser, "haha il est magnifique lui" et des propos encore plus idiots. John arriva devant la bibliothèque, il y entra. Il adorait le climat qui flottait, un silence de mort, une odeur de vieux livres et des lumières tamisées. Il s'installa à une table après avoir prit son ouvrage. Il l'ouvrit à la bonne page et sortit de nouveau son matériel de correction. Il parcourut la copie une nouvelle fois et chercha les informations dans le livre. L'heureux rédacteur de cette copie venait de gagner un A+. Il regarda le nom de l'élève, une jeune fille qu'il aimait bien. C'est alors qu'il vit au fond, une jeune femme qu'il connaissait vraiment très bien, à l'époque, ils avaient eu des relations "olé-olé". Aujourd'hui, il était son professeur d'Histoire. La relation avait été gardée secrète selon un accord entre les deux personnes, ils ne voulaient pas que tout le monde soit au courant. Il aurait été remercié et ses fonctions auraient été retirées. Il décida de lui dire bonjour, au fur et à mesure qu'il s'approchait, elle ne semblait pas réellement contente, c'était lui qui la mettait dans cet état ou était-elle de mauvaise humeur dés le départ ? Lorsqu'il fut assez prêt, il lui fit un sourire, il l'aimait bien, la trouvant toujours aussi belle et très sympathique à son égard.
-Hell, comment vas tu ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette.
[Très petit, désolé...]
Hell O. Littleton
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
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Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Ven 19 Fév - 17:33
Le passé peut revenir n'importe où, n’importe quand. Alors subit ton passé, sans le chasser car il reviendra En force dans les jours à venir. Mais surtout, subit ton passé, en silence.
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BIBLIOTHEQUE » 15h39
Avez-vous déjà connu un de ses moments où vous aurez préférer de n’être jamais sortie de son lit ? Un de ses moments qui pourra certes donner de belles surprise et de bon avantages mais que sur le moment, vous aurez préférer envoyer votre dignité aux oubliettes pour ne pas connaître cela. Pour beaucoup, le moment peut être différents, dans des lieux aussi incalculable qu‘imaginables. Certains personnes n’aimeront jamais mettre les pieds dans une boite de nuit, n’aimant pas l’ambiance et les personnes douteuses qui y étaient dedans. Pour d’autre, c’est dans un cimetière qu’ils ne voudraient jamais y allez, voulant se donner une apparence froide et intouchable, alors que toute personnes qui avaient un cœur, savait qu’un jour ou un autre, ils y mettraient les pied, soit pour se recueillir ou bien qu’il aurait leur propre tombe dedans. Et il y a des personnes comme Hell Olympia Littleton, que l’endroit où elle ne voudrais jamais poser les pied est dans le lieux où le silence est roi, autrement dire une bibliothèque. Même si elle possédait sa propre bibliothèque, elle ne poserait jamais les pieds dans une bibliothèque public mais surtout une bibliothèque d’une université, car y être dedans était une chose mais se faire remarquer par d’autre était une autre. Et cela, elle ne voulait pour rien au monde, car elle n’avait pas sa place dans une bibliothèque. C’est comme si vous mettez une sainte ni touche aussi vierge qu’un ange qu’est pur et innocent, dans un club de strip-tease où la débauche est roi. Là dans cette situation c’était pareil, une reine des garces ne peut pas entrer dans une bibliothèque, car c’est comme lui dire que c’est une ange, alors que la vérité est tout autre.
Alors elle fut très heureuse quand elle entra dans la bibliothèque vide de personne qu’elle connaissait, partant vers le fond de la salle, pour ne pas y être aperçut, mais surtout que les livres où se trouvait ses recherches, y étaient là-bas. La chance lui avait sourit une fois mais elle fut vite partit quand elle avait eu l’intention de prendre les livres de latin. Elle était entrain de maudire son professeur de langues vivantes sur ses dix générations à venir quand une voix lui parla. Voix qui produit une réaction qu’elle ne contrôla pas : un sursaut. Un sursaut digne du nom des Littleton, bien évidement.
JOHN — Hell , comment vas tu ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette. Une voix grave qui la fit se sursauté quelque peu.
Quand elle se retourna pour voir qui lui avait parler - même si elle aurait reconnu la voix entre mille la connaissant parfaitement sur les différents ton qu’un homme pouvait envoyer - un sourire vint fleurir sur ses lèvres rougeâtres, ayant été un peu trop mordu par la belle brune qui commençait à s’énerver quelque peu. Son sourire lui fut renvoyer où un simple calcul mental lui disait que si elle ne pouvait pas atteindre les livres dans haut, alors John lui y arriva étant plus grand que la jeune brune. Depuis combien de temps se connaissaient-ils tous les deux au point qu‘elle savait la taille de son interlocuteur ? Une question qu‘aurait put poser des élèves si ils étaient dans leur champ de vision car même si John était connu pour être un professeur aimer par tous les élèves, il ne prenait jamais ce ton, qu‘il l‘employa juste pour elle, pour parler avec l‘une de ses élèves qu‘il avait trois fois dans une semaine où la plus part du temps, avec sa meilleure amie Kelhya Huston, elle essayait de le rendre énerver. Chose qu‘elles n‘avaient pas arrivé encore, mais qu‘elles y arriva à force de volonté, surtout qu‘Hell savait des choses que sa blonde de meilleure amie ne savait pas. Oui, car même elle ne savait pas, que la professeur et l‘élève, avait entretenu une histoire à eux deux, une histoire compliqué mais surtout très dangereuse pour eux deux, si ca venait à savoir. Elle se revit le jour, pour la première fois de sa vie elle avait connu une vrai relation père/fils, avec son professeur d‘histoire-géographie, laissant naître un sourire sur son visage, se perdant dans ses souvenirs quelque secondes à peine, n‘ayant pas encore répondu au question de l‘adulte qui lui faisait face, attendant sa réponse avec un sérieux qui lui donna du charme.
FLASH-BACK » Des années plus tôt
Le passé. Voici une chose qu’elle ne voudrais jamais s’en rappeler, car son passé était synonyme de secret noirs, qu’elle espérait que personne les connaissent - même si l’une d’elle, les savaient tous à la lettre près -. Etre une aristocrate était une chose mais avoir des personnes qui était accro à l’argent, préférant cela à leur propre fille, était une autre. C’était surement cette raison, qu’elle avait pousser à se droguer, chose qu’elle avait trouver rapidement car à New York, les bon dealeurs se trouvaient dans toute les rues mais bien cachés. Alors elle avait consommer tous produits illicites, devenant accro quelque temps plus tard, à l’héroïne et à l’ecstasy. La chose seule qu’elle ne fut pas fière - la drogue était une de ses choses qu’elle cachait secrète - était qu’elle avait mis à plat un de ses nombreux comptes, à cause de ses consommations de plus en plus fréquente et qu’ils ne faillaient surtout pas que ses parents le sachent. Surtout sur la méthode où elle gagnait de l’argent : escorte. Un métier qu’elle aimait bien même si sur le coup, ca lui faisait honte et qu’elle cachait très bien. On peut dire qu’elle s’est bien amusé à jouer la poupée de luxe, commençait à remplir son tableau de chasse avec des hommes riches et plus âgés qu’elle, donc plus expérimentés techniquement parlant. Comme toute escorte, elle avait eu ses préféré, son coup de cœur et celui d’Hell n’était pas quelqu’un d’inconnu : John Connors. Bizarrement, elle savait que si une soirée loin de New York devait se faire, elle l’y accompagnait car elle voyait bien qu’elle se faisait aimer par son « client. » . Mais surtout ce qu’elle aimait chez lui, était son figure de paternel qu’il lui donnait, même si elle aimait coucher avec lui, a chaque rendez-vous-même si elle n’y était pas obliger. Elle se rappelait exactement les nombreux détails qu’elle aimait chez lui, mais surtout le jour, où elle comprit qu’elle le considérait comme une figure d’un père et non d’un homme qui cherchait la compagnie d’une femme pour des soirées où il devait être accompagné.
JOHN — Tes parents t‘aiment Hell. Les yeux de la jeune femme était plonger sur le plafond, le regardant avec fascination alors qu’elle sentait le draps de sois sur sa peau nue signe, qu’elle avait coucher avant avec l’adulte. Elle soupira en ce demandant depuis quand ce sujet était abordé, où sa voix pleine de méprise à l’égard de ses géniteurs, arriva dans la chambre de l’adulte, quelque seconde plus tard. HELL— — Croit moi, ils ne gagneront jamais la palme des meilleurs parents de l‘année, une fois dans leur nuit. Ils sont tellement accro à l‘argent, qu‘ils me mettent au second plan. Mais que je n‘aime pas, juste que des fois j‘aurais préféré, qu’ils laissent leur travail de côté pour me parler. Les Littleton était comme ca, même si pour tout le monde, la famille était sacré pour eux. Des balivernes, car dans sa famille, la famille passait au second plan. Fermant les yeux un instant, elle entendit son nom prononcer de la bouche de John, où elle savait que si elle le coupa pas, elle aurait les larmes aux yeux. Chose qu’elle ne devait pas faire sous aucun prétexte car pleurer c’est mal. JOHN — Hell .. Il la regarda, voulant partir dans des phrases aussi véridiques que fausse, mais il fut couper par la voix d’Hell qui le regardait à présent. HELL — Tait toi, je n‘ai plus envie de parler d‘eux. Embrasse moi plus tôt. Elle avait dit cela, en roulant sur le côté, se retrouvant à califourchon sur le jeune homme, posant sa main droite à plat sur le matelat qui faisait office de lit, pour poser ses lèvres sur celles du jeune homme.
C‘était toujours comme ca entre, quand le sujet qu‘ils abordaient était leur famille, Hell se refermait comme une huitre, changeant le sujet de conversation par autre chose. Et quel meilleure façon de le faire taire que de l‘embrasser ? Même si elle aimait parler avec lui au point d‘avoir confiance en cet adulte, l‘éducation parental était bien trop encré dans son esprit, pour se confier a quelqu‘un, même si c quelqu‘un était John Connors. Finalement, il ne fallut encore deux mois, pour qu‘elle arrive à se confier, au point de la considérer comme un père spécial car ce n‘était pas tout les jours, qu‘un père couche avec sa fille.
FIN DU FLASH-BACK » 15h42
Elle revient à la situation présente, en chassant ses souvenirs de son passé qui lui revenait au visage. Ce n’était pas son jour aujourd’hui où elle maudit la personne qui contrôlait sa vie, alors qu’elle remettait une de ses mèches brune derrière son oreille, gardant un fin sourire sur son visage. Sa réponse se fit entendre dans les quelque secondes à venir, alors qu’elle levait la tête pour le regarder, étant plus petite que l’adulte ici présent, en ses lieux funestères, qu’est la bibliothèque de l’université où elle étudiait : Columbia.
HELL — John… enfin professeur. Pouvez-vous me rendre un service ? Elle lança un regard qui lui avertit que son choix devait être positif, avant de lui montrer un signe de tête les livres en question, reprenant le fil de la conversation comme si de rien n‘était. Pouvez-vous m‘attraper ses fichu livres de latin qui se trouve là-haut. Même si son ton ne laissait pas supposer une question, John savait qu‘Hell lui laissait le choix même si c‘était mieux préférable pour lui d‘y remédier à sa petite requête, si il ne voulait pas la voir en colère. Jetant un regard autour d‘elle, elle replaça une mèche brune derrière son oreille, rouvrant la bouche pour enfin répondre aux question qu’il lui avait posé quand il était venu près d’elle quelque minutes plus tôt. Je vais bien même si j’ai des envie de meurtre envers mon professeur de langues vivantes, pour m’avoir oser mettre les pied ici alors que j’avais prévu autre chose. Son regard signifiait qu‘elle aurait put commettre ses meurtres elle-même, si elle était plus du genre à payer quelqu‘un pour les commettre. Un sourire amusé naquit sur son visage alors qu‘elle le questionna à son tour, sur sa santé.Et vous ? Les étudiantes ne vous pas encore manger tout cru ? Son sourire amusé ne quitta pas ses lèvres, un seul instant alors que son regard restait encrer dans celui de l‘adulte, à ses côtés..
Elle faisait allusion aux groupies qui auraient voulu entrer dans le lit du beau professeur d‘histoire-géo sans réel succès, puisqu‘Hell connaissait assez John, pour savoir qu‘il était plus dans les relations sérieuse et non dans des relations d‘une nuit surtout avec des étudiantes qui pouvaient se faire passer pour ses filles ainées, pour certaines. Bizarrement, elle aurait eu son propre jugement sur son ancienne histoire avec John, mais elle ne le fit pas pour la simple et bonne raison, qu’une Littleton acceptait ses actes, même si des erreurs de jugements pouvait y être.
La bibliothèque était silencieuse, même si des brides de conversation se laissaient entendre, dans les divers rayons, provocant des sifflements ainsi que des regard noirs de la bibliothécaire de retour, armé de sa volonté et sa détermination de rendre son lieu de culte, un lieu reposant, accueillant mais extrenement silencieux. Lieu où miss Littleton n’avait pas sa place mais devait y allez contre son gré, même, si pour le moment, elle n’aurait jamais sa place pour rien au monde, parlant à l’abri des regards, a son ancien amant, et stature familiale pour la jeune femme qu’était la présidente du conseil des élèves.
Dernière édition par Hell O. Littleton le Dim 21 Fév - 17:21, édité 1 fois
Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Ven 19 Fév - 18:27
A vraiment dire, John était très étonné de voir la jeune femme dans la bibliothèque de l'université, en effet, ce n'était pas vraiment le lieu où la jeune femme aimait se rendre, il en savait beaucoup sur elle, ils avaient autrefois eu un passé assez mouvementé en commun, cette relation avait débutée lorsque John avait connue la jeune femme, à l'époque, elle était escort-girl, lui, célibataire de haut niveau avait eu besoin de ses services pour une soirée. Ils s'étaient revus plusieurs fois, couchant même avec elle mais les relations sexuelles étaient toujours réalisées avec son accord, jamais il n'aurait donné de l'argent pour pouvoir faire l'amour si la personne n'était pas d'accord, il ne donnait même plus d'argent d'ailleurs, la jeune femme était également sous son charme, de plus en plus, John devenait un soutien pour la jeune femme, il ne la considérait vraiment pas comme une escort-girl à qui on donnait de l'argent pour des services mais comme sa fille, la rassurant toujours, lui faisant oublier les comportements odieux de ses parents à son égard et lui répétant tout le temps que ces parents étaient des gens biens et qu'ils adoraient leur fille, même si les signes d'affections étaient tournés vers des liasses épaisses de billets. John et la jeune Hell avaient beaucoup plus que des rapports d'escort-girl à client, John ne considérait pas la jeune femme comme une femme a qui on achetait des relations sexuelles ou des sorties en soirées. Célibaire endurci, il n'avait pas eu la chance d'avoir un enfant, c'était maintenant le cas. Il venait en aide à la jeune femme pour qu'elle tisse de nouveau des liens avec ses parents, ce fut un échec cuisant... Pendant une période, le père spirituel de la jeune femme et cette dernière s'étaient perdu de vue, John en avait été malheureux, pourquoi s'étaient-ils perdu ? John venait d'accepter un nouveau poste de professeur et il n'avait plus réellement le temps pour les soirées branchées New-Yorkaises. Le jeune homme avait décidé de reprendre contact avec elle puis ses projets avaient été bouleverser par une femme, une certaine Jeane, cette dernière avait été sa compagne après un jeu de séduction plutôt long, après trois mois de vie commune, ils s'étaient séparés, la jeune femme étant une Chrétienne pratiquante, les principes de cette vie pieuse étaient l'opposé du modèle de vie du jeune homme. Il avait rompu, les ponts avaient été coupés. Ce fut au moment d'une rentrée particulièrement mouvementée et parfaite. Il se laissa perdre dans ses pensées.
Flashback. 3 septembre, rentrée.
La rentrée était toujours un moment pénible pour John, il n'aimait jamais les premiers jours d'école, c'était souvent pénible parce qu'il fallait expliquer les programmes, détailler les méthodes d'éducations et perdre un temps fou dans les présentations. Le professeur d'Histoire-Géographie était cette année encore, professeur principal d'une classe, c'était lui qui aurait en charge un bataillon d'élèves excités dans les premiers jours et qui petit à petit seraient des gens horriblement pénibles. Il avait traversé les couloirs de l'administration après son habituel café dans la salle des professeurs. Il avait rejoins sa classe. Il avait échoué dans une salle du rez-de-chaussée. Là, après un rapide regard vers la classe, il repéra quelqu'un, son regard se fixa sur elle, ses yeux s'étaient grossis, elle était là, sa fille de cœur, Hell était installée à côté d'une jolie et jeune blonde. John ne pouvait détacher son regard. Il ne savait pas si elle le reconnaissait, dans quelques minutes se serait clair rien que par sa voix qu'elle avait entendu très souvent.
-Très bien, débutons immédiatement, nous n'avons pas beaucoup de temps.
Il se mit à parcourir les rangées, tout en fixant la jeune Hell située au troisième rang. Il prit de nouveau la parole, tout en tripotant son bouc d'une de ses mains.
-Je suis John Connors, professeur principal de votre classe. Je ne vais pas perdre du temps à voux expliquer qu'il faut travailler cette année, si vous voulez redoubler ce n'est pas mon problème. Cette année, vous allez revoir les sujets que vous avez vu les années précédentes, notamment les classes de lycée.
John retourna à son bureau, il fouilla sa malette et en sortit un tas de petits livrets, il s'agissait du règlement intérieur de l'Université.
-Cette année, je serais votre professeur d'Histoire-Géographie, vous allez voir je ne suis pas une personne pénible, non, je suis quelqu'un de plutôt sympathique et j'entretiens toujours de très bons rapports avec mes élèves, cependant, un conseil, ne me prenez pas pour un idiot. Je vais vous distribuer les règlements intérieurs.
John avait passé l'heure distrait, très distrait, il n'avait pas stoppé ses regards vers la jeune femme, cette dernière l'avait reconnu car elle aussi lui faisait des petits regards. Heureusement, aucuns étudiants n'avaient vu.
Retour à la réalité.
John secoua la tête, il s'était perdu dans ses pensées pendant quelques longues minutes, il appréciait fortement cette jeune fille. Lorsqu'elle lui demanda de lui prendre les livres de latin, il ne put s'empêcher de réaliser son souhait. Il attrapa les livres, elle n'aurait peut-être pas à tuer sa professeur de latin. Le jeune professeur lui posa sur la table. Elle lui demanda ensuite si les étudiantes avaient réussies à le manger tout cru, un sourire déformé ses magnifiques lèvres. Qu'elle était belle... Elle riait parce qu'elle savait que John n'était pas du genre à coucher avec ses étudiantes, refusant toutes formes de relations sexuelles d'une nuit, il préférait les relations sérieuses. Avec Hell se n'était pas la même chose, ce n'était pas que physique, une véritable relation "familliale" s'était instaurée entre eux. John étant devenu plus protecteur que son vrai père. Les talons de la vielle folle qui tenait à ses lieux plus qu'à ses enfants résonnaient dans les hauts lieux. John ne répondit pas tout de suite à la jeune femme, faisant une tête des plus curieuses, il fit une remarque:
-Attention, nous avons la réplique de Minerva MacGonagall à l'université.
Il lui fit un petit sourire puis il répondit à sa question:
-Sinon, je vais pas mal, j'ai justement débuté la correction de vos devoirs, c'est assez prometteur. Quoi de neuf à part des devoirs de langues ?
Hell O. Littleton
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Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Dim 21 Fév - 18:44
On ne choisis pas sa famille mais ses amis. Alors, je choisirais qui font ma vrai famille, Même si les liens du sang manquent, Tu y en fera parti.
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BIBLIOTHEQUE » 15h43
La bibliothèque était peut-être un lieu reposant, calme et pourtant, Hell n’aimait pas s’y rendre. Non pas parce qu’elle aimait quand il y avais du bruit, mais pour une autre raison, toute simple ; ca lui rappelait son passé. Quand on connaissait Hell depuis son enfance, vous devez savoir une chose : elle n’a jamais été aimer par ses parents, subissant plus de punitions que de paroles fières, où elle avait trouver refuge dans les livres. Les livres qui la faisait rêver, une vie meilleure amie, la changeant en des héros d’histoire, à la vie parfaite avec un happy end. Comme ca, elle avait été Aurore dans la belle au bois dormant, avec un prince qui venait la réveiller. Elle avait été aussi Juliette dans la pièce de théâtre Roméo et Juliette, se tuant par amour pour son prince, pour vivre à ses côtés éternellement. Elle s’était amusé dans un rôle de femme pirate, d’enfant dans une vie où l’espoir n’y était plus, dans le rôle d’une princesse au cœur du Moyen Age. Des personnages de romans et pourtant qui fascina Hell, car c’était la seule chose que ses parents ne la punissait pas, car comme cela, elle se cultivait - même si elle préférait livre des romans que des documentaires-. Elle avait même eu une passion pour la littérature, au point de demander ou acheter que des livres, pour son immense bibliothèque. C’est surement à partir de là, qu’elle eut envie d’apprendre d’autre langue, du plus basique qu’est l’italien, au plus dur qu’est les hiéroglyphes car si elles savait les lire, alors elle aurait plus de livres chez elle. Cette passion plut à ses parents, car qui ne rêverait pas d’avoir une fille qui savait parler presque toute les langues mondiale, comme si il était née là-bas, même si leur vision était tout autre : car pour eux, parler plusieurs langues signifiait avoir plus d’argent alors qu’Hell les apprenaient par amusement et par envie de parler une autre langue, car comme cela, elle pourrait voyager mondialement, loin de sa vie.
Une vie de rêve qui fut vite terminé quand ses parents l’éduquèrent plus méchamment, froidement lui interdisant les livres au point de mettre tous ses livres qui étaient dans sa chambre, dans une autre pièce où elle avait le droit d’y allez que quand, la leçon était apprise et maitriser à la perfection. C’est surement pour cette raison, qu’elle n’y allait jamais dans la bibliothèque de l’université, lui rappelant son passé. Un passé qui est loin d’être un conte de fée - comme tous étudiants pensèrent - mais c’était son passé, à elle seule étant enfant unique, pour son plus grand déplaisir et plaisir d’ailleurs. Alors quand elle était venu dans la bibliothèque, même si à l’intérieur d’elle-même, elle souriait, elle ne le montra pas car une reine des garces n’a que faire des livres poussiéreux, à l’odeur des vieux parchemins. Sa journée fut bien meilleure quand elle tomba sur son professeur d’histoire-géographique qu’était John Connors, une personne qu’elle connaissait presque par cœur ayant fait un passé avec ce dernier. Personne qu’elle crut ne jamais revoir quand elle avait fini ses mois d’Escort, mais c’était pour son grand plaisir qu’elle l’avait revue comme professeur principale de sa classe, un jour de rentrée. Elle se perdit dans ses pensées, alors que son regard chocolat regardèrent sans voir, les nombreux livres de langues posés sur les étagères de ce lieu calme et reposant qu’était la bibliothèque.
FLASH-BACK » Salle de cours, rentrée scolaire
Avez-vous déjà penser au bonheur suprême ? Bonheur qui pouvait aussi vous causer des ennuis, si ca le savait. Rien n’est comparé au bonheur qu’eut Hell Littleton, à la rentrée scolaire, quand elle entendit une voix qu’elle connaissait parfaitement bien, pour l’avoir déjà entendu sur les différents ton qu’un homme pouvait employé. Voix qui appartenait à son père adoptif, une personne qu’elle avait eu une relation quelque peu compliqué, dans le passé de la belle brune. Cette personne était John Connors, qui faisait apprendre qu’il était leur nouveau professeur d’histoire géographie. Elle ne l’avait pas vu entrer, trop occupé à parler avec l’une de ses meilleures amies, à savoir Kalhya Hudson, mais c’est quand ce dernier avait parler pour s’annoncer, qu’elle avait tout de suite retenu. Elle avait fait preuve d’une grande maitrise en soi, pour ne pas le voir pour le serrer dans ses bras, comme une fille réclamant un câlin au près de son père. A la place, elle avait passé l’heure, à l’écouter, mais surtout le regarder où la chance avait là avec elle, quand elle avait aperçut qu’aucun élève, ne regardait le manège entre l’enseignant et son élève. Si ca avait sut, de nombreux problèmes auraient intervenu, d’où son manège quelque peu ennuyé pendant tout l’heure de cour, alors que son regard montrait une joie si énorme que quelqu’un la connaissait, aurait douté de quelque chose. La sonnerie de l’université marquant la fin des cours pour sa classe, avait raisonner où elle avait prit tous son temps, au point de demander - et non ordonner - à sa meilleure amie K de partir sans elle, ayant quelque chose qu’elle devait faire avec le professeur - chose que K ne douta pas une seule seconde de la vérité de ses paroles, car pour K, H prenait son rôle de présidente du conseil des élèves à cœur, et donc elle devait se présenter à ses professeurs en tant que tel -. Quand la classe avait disparu, laissant que l’adulte et sa personne, et ayant remarquer que la porte de classe était fermé et que la vitre était quelque peu noir, elle était partit à son encontre, avec un grand sourire placé sur son visage d’ange, pour prendre la parole quelque minutes plus tard, se dégageant des bras de l’adulte qui l’entourait quelque secondes plus tôt.
HELL— — Alors comme ça, tu es professeur d’histoire-géographie ? Je ne te voyais pas faire carrière là-dedans John. Un sourire naquit sur son visage quand elle remarqua que John n’avait pas changer d’un poil, même si les années étaient passé sans se voir. Elle l’écouta lui répondre, gardant un sourire heureux au visage, un de ses vrai sourire qu’elle donnait qu’a ses proches dont J en fait partit. JOHN— Que veux-tu l’histoire me passionne et je ne pouvais pas refuser l’offre du directeur. Il était toujours aussi amusant où elle se mit a penser que son année dans cette matière là, allait vraiment être intéressante d’où ses vrai paroles à son encontre, en toute franchise. HELL — Je suis contente de te revoir. Tu m’as manqué. Oui il lui avait manqué, chose réciproque d'ailleurs.
Elle avait passé des nombreuses minutes avec ce dernier où la chance avait été elle avec jusqu’au bout, car tous élèves étaient partit de l’université, car leur cour était finis. Ils s’était quitté, elle partant chez elle et lui chez lui. Elle n’avait pas été déçut de son année d’ailleurs, même si elle s’amusait à montrer qu’elle s’ennuyait, chose tout a fait fausse d’ailleurs et J le savait mieux que quiconque.
BIBLIOTHEQUE » 15h45
Elle fut chassé de ses pensées, par la voix grave et masculine de son professeur d’histoire-géo où son sourire s’accentua de seconde en seconde. Elle l’aimait beaucoup, le connaissant presque par cœur. Elle aimait beaucoup ses cours, même si ca lui arrivait de faire du bruit dans son cour, jouant un jeu car une Delta, est plus occupé par ses soirées que par les cours, même si le cour en question était fait par son ancien amant, mais surtout par sa figure paternel. Alors dans ses cours, elle faisait mine de ne pas écouter, alors qu’elle écoutait très sérieusement, montrant sa culture dans les devoirs à rendre, car seul sur feuille elle pouvait montrer que tel matière lui passionnait vraiment. Et cela, John du le savoir mieux que quiconque. Elle le remercia d’un sourire, de l’avoir aider à prendre ses livres qu’elle ne pouvait pas atteindre de sa moyenne taille, pour l’écouter ensuite lui parler. Un léger rire sortit de sa gorge à l’entente de la phrase de John, affirmant que l’université de Columbia, possédait sa Minerva MacGonagall, personnage de fiction dans la saga Harry Potter. Elle jeta un coup d’œil vers la dite Minerva, où un sourire quelque peu moqueur s’installa sur ses lèvres alors qu’elle bougeait sa tête de gauche a droite, faisant voler ses cheveux brun à son geste, signifiant par là qu’elle n’était pas du tout d’accord avec lui, d’où sa réponse à l’intention moqueuse à son adresse.
JOHN — Attention, nous avons la réplique de Minerva MacGonagall à l'université. Un fin sourire s’étira sur les lèvres de la jeune femme à l’entente du commentaire de son professeur d’histoire géographie, à l’encontre de la bibliothécaire. Jetant un regard vers cette dernière qui les scruta d’un mauvais œil, elle se permit de faire un commentaire tout en remettant en place une de ses mèches de cheveux derrière son oreille droite, gardant un fin sourire sur son visage d’ange mais au caractère démoniaque à l’encontre de John Connors, ici présent. HELL — Moi j‘aurais plus tôt dit, Rusard version féminine, même si il lui manque un chat qui la suit partout. Son sourire s‘accentua à ses paroles.
Voici une chose qu’elle aimait chez son professeur, qui faisait figure du paternel qu’elle aurait rêver d’avoir : son humeur et son âme d’enfant. Hell fut l’une des premières à savoir la tendance amusement du professeur, et même si ce dernier était adulte, il se comportement souvent en un adolescent. Adolescent qui aimait les jeux vidéos d’ailleurs, ce qui donna encore plus du charme et de la sympathie dans la personne qu’était John. Son regard parcourra les rangées des livres, faisant mine de chercher un quelconque bouquin, ne voulant pas se faire repérer par la bibliothèque qui aimait son silence royale, et était quelqu’un qui n’avait pas peur de dire les quatre vérité aux enfants de riches ou les mettre en retenue malgré les grandes menaces qui pouvaient lui atterrir sur sa personne. Elle écouta la réponse de la question de son ancien amant, qui laissait sous-entendre qu’il avait corriger certaines copies de sa classe, en prenant de ses nouvelles. Prenant un livre au hasard et le tournant pour regarder le titre du roman en langue ancienne qu’elle avait choisit, elle se permit de lui répondre, le plus franchement possible même si un sourire quelque peu manipulateur venait s’inscrire sur ses belles lèvres pulpeuses, montrant par là qu’une idée brillante venait de s’installer dans son esprit cultivé.
JOHN — Sinon, je vais pas mal, j'ai justement débuté la correction de vos devoirs, c'est assez prometteur. Quoi de neuf à part des devoirs de langues ? Son sourire fut partagé alors qu’elle leva la tête pour plonger son regard dans celui de son interlocuteur, cachant son sourire manipulateur derrière un fin sourire. Juste qu’elle avait oublier une simple petite chose : même si John l’aimait beaucoup en la considérant comme sa propre fille, il aimait plus son poste de professeur d’histoire-géographe, et ne faisait de favoritisme à personne. Même pas à elle, c’est pour dire. HELL — Vous avez corriger mon devoir ? Rien ne laissait sous-entendre qu‘elle voulait avoir sa note mais son regard prouvait bien le contraire, de sa voix innocente. Levant les yeux au ciel, elle continua sur sa lancée, déjà bien commencée. Et bien rien d’intéressant si je peux dire, à part mes nombreux amants où certains croient que je changerais mon mode de relation, pour des relations sérieuse. Du fait, que je suis en ce moment même entrain de sécher deux heures de sport, grâce aux informations que je dois trouver dans les livres de langues anciennes, pour mon professeur de langue. Rien d’intéressant en somme, juste des broutilles d’une adolescente.
Oui juste des broutilles d’adolescent et pourtant s’était les siens, et John savait par les bruits qui courraient dans les couloirs, sa véritable réputation, celle de reine des garces qui couchaient avec un homme différent chaque soir, et qu’il ne faudrait jamais lui parler de relation sérieuse, n’étant pas du genre à entrer dedans. Oui, une vie bien différente de celle que John connaissait, se mit elle à penser quand elle reposa son roman de langue ancienne à sa place, faisant voler ses cheveux volé avec grâce, dans son dos.
Dernière édition par Hell O. Littleton le Mer 24 Fév - 16:08, édité 1 fois
Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Dim 21 Fév - 19:50
John regardait son élève, sa favorite sans aucuns doutes, celle avec qui il partagé un passé commun et pas des plus déplaisants, en tant que père spirituel, il avait toujours était là pour la jeune femme, lui apportant toujours un réconfort très important lorsque ses parents n'étaient pas là. Au départ, John n'avait pas trop était orienté vers un futur de professeur, non, il fréquentait du beau monde et voulait devenir banquier, seulement, le monde finnancier n'était pas fait pour lui, haïssant les personnes agissants dans le dos, il s'était très vite rendu compte que le monde de la Banque n'était fait que de gens mauvais. De plus, une passion était au centre de ses intêrets depuis très longtemps, il était un véritable passionné d'Histoire. Il avait engagé des études pour devenir Professeur d'Histoire-Géographie. Une fois que ses études fut terminées, il était devenu professeur au lycée de New-York, après plusieurs années d'enseignement, il fut recruté par le directeur de Colombia lors d'une conférence. John en avait de très bons souvenirs.
Flashback. Quelques années auparavant.
-Ce que vous venez de voir est bien réel, il ne faut pas croire que les images sont truquées. Non, c'est quelque chose qui fut, et il y a soixante ans à peine. Les crimes perpétrés à l'égard des personnes de confessions juives et aux opposants des fascistes ont été attroces. John venait d'éteindre le lecteur DVD, les jeunes lycéens venaient de voir les images d'archives du procès de Nuremberg ainsi que quelques images des activités pratiquées dans les camps de concentration et d'extermination montés par les partisants des mouvements d'extrême droite dans les pays occupés par les Allemands et les autres fascistes, c'était son sujet d'Histoire préféré, aussi, il en parlait le plus souvent possible. Il s'animait d'une passion lorsqu'il traitait de la Seconde Guerre Mondiale, cette période étant la plus intéréssante dans tout les programmes. Une cloche se fit entendre, la salle fut envahie par des bruits, des paroles d'étudiants préssés de sortir pour aller en récréation. Le professeur avait alors mit ses affaires dans sa malette, au moment où il avait relevé la tête, un homme en costume noir s'approchait de lui, au départ, il avait cru à un agent du Bureau Fédéral venu pour l'arrêter pour téléchargement de films, mais très vite, il avait compris que ce n'était pas cela, l'homme avait affiché un grand sourire et s'était présenté en lui tendant une main que le professeur avait prit dans la sienne.
-Je suis Monsieur Jack Franklin, doyen de l'Université de Colombia, je suis enchanté de faire votre connaissance Professeur Connors.
-Je suis enchanté également Monsieur Franklin.
L'homme avait sorti un cigare aussi gros que deux de ses doigts. Il l'alluma, très vite, une odeur puante se fit sentir dans l'air. Le professeur Connors était intrigué, pourquoi le directeur de Colombia venait à sa rencontre ?
-Si j'ai désiré vous voir, professeur Connors, c'est parce que j'ai entendu parler de vous à plusieurs reprises dans la sphére enseignante. Et nous recherchons un professeur d'Histoire-Géographie.
-Travailler à Colombia ? Intéréssant !
-En plus, nous vous proposons un salaire très élevé ainsi que des archives pour vos travaux personnels.
La bibliothèque de Colombia était très réputée, dans cette dernière s'entassait des milliers d'ouvrages, il pouvait donc faire des recherches pour son ouvrage qu'il était entrain de rédiger. Le professeur avait pris la carte du vieux doyen et quelques mois plus tard, lors de la rentrée, il était devenu professeur d'Histoire-Géographie à l'université de Colombia.
Retour à la réalité.
Le jeune professeur regarda son élève, en plus d'être une fille très mignonne, elle possédait également un cerveau, ce qui était de moins en moins courant chez les jeunes d'aujourd'hui, ces derniers s'abrutissaient devant des matchs de sports, ce qu'il haïssait profondement, le sport et lui, ça faisait quinze. Il regarda la jeune Hell, cette dernière lui demanda si il avait corrigé son devoir, c'était le cas, il avait corrigé son devoir, d'ailleurs, elle avait obtenue une très bonne note, un bon A+, son devoir était recherché. Elle voulait avoir une réputation d'élève turbulante et de peste, mais John la connaissait déjà assez pour savoir que c'était qu'une image, au fond d'elle, c'était une personne de très bien. Elle lui disait maintenant qu'elle n'allait pas en cours de sport, préférant faire son devoir de langue.
-En effet, j'ai corrigé ton devoir, excellent d'ailleurs.
Il lui fit un petit sourire et la regarda avec des yeux profonds.
-Tu séches les cours ? C'est pas bien ! Il avait pronnoncé les mots dans un immense sourire, très proche des élèves, il comprenait parfaitement de sauter les cours d'éducation physique. John n'avait jamais aimé les cours de sports. John regarda autour de lui, les étudiants présents dans ces lieux étaient de véritables boulets, tous avec une paire de lunettes sur les yeux, c'était une bande de sans amis dont le maitre, la vielle femme régnait en digne seigneur. John s'attirait les foudres des documentalistes, se fichant très clairement d'eux à chaque fois qu'il pouvait, faisant des commentaires déplacés envers eux. Le professeur tira une chaise et prit place, il était fatigué.
Hell O. Littleton
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Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.] Mer 24 Fév - 17:41
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BIBLIOTHEQUE » 15h47
Connaissez-vous l’adjectif « improbable » ? Vous savez ce mot qui vous certifie qu’au grand jamais, quelque chose pouvait arriver dans un tel endroit. On pouvait qualifier d’improbable, le fait de voir un rat de bibliothèque dans un tel endroit débauché qu’est un club de strip-tease - sauf par défis -. Improbable aussi de voir un drogué dans un tel endroit qu’une église car c’est bien connu, les drogués n’ont pas foi en Dieu. Donc la situation était improbable, quand on connaissait la réputation d’Hell Littleton, reine des garces, apparaître dans un tel lieu qu’est la bibliothèque, lieu pour les miss-je-sais-tout et intellos à lunettes. Donc imaginer la surprise quand elle apprit qu’elle devait y allez là-bas pour un devoir personnel, que son professeur de langue lui avait juger bon de lui donner - pour la simple raison qu’elle était première de sa classe de langue vivantes et anciennes - et que le meilleur endroit pour faire ce devoir était la bibliothèque, n’ayant pas le temps de rentrer chez elle pour voir ses nombreux livres de langues anciennes et vivantes.
Heureusement, la chance lui avait souri quand elle était entrée dans la bibliothèque, où les personnes étaient trop occupé à lire pour lever la tête. Donc elle était passé inaperçu, même de la bibliothécaire qui était partit chercher un tel conque document pour sa recherche personnel. Elle était donc partit vers une table au fond où les étagères étaient remplîtes de livres de différents langues, lieux où personne ne posait les pied pensant que leur langue maternelles suffisait pour régner sur le monde. Stupide dans un sens car chaque pays avait sa propre langue. Alors elle était partit chercher ses nombreux livres pour finir par s’énerver n’étant pas assez grande pour prendre des livres de latin. Finalement, son énervement était partit quand la voix grave et chaude de son ancien amant et figure paternel, qu’était son professeur d’histoire géo lui avait parler, sans se douter de son affreux dilemme, à sa voir les malédictions envers la patronne de ce lieu, qui n’avait pas juger bon de mettre les livres de latin en bas, mais très en haut pensant qu’aucune personne ne les lisaient. Tromperie car Hell était là, et réclamait ses livres comme si c’était sa vie qui lui en coutait. Heureusement pour elle, John avait juger bon de les lui passer tout en lui parlant. Si il y avait une chose qu’elle avait aimer faire avec son professeur, était la géographie. Pas les géographie des pays tel que l’Espagne, la Grèce, ou encore le Japon. Non, la géographie du corps où elle était très doué pour trouver ce qu’il cachait. Cette simple phrase lui fit sourire, tout en se replongeant dans ses nombreuses pensées où elle avait été Escort dans une période de sa vie et que John Connors, était son client favori et régulier.
FLASH-BACK » Chambre inconnu, des années plus tôt
Comment une matière pouvait servir à d’autre choses ? Voila une question, que beaucoup de monde se posa, mais que personne n’aurait leur réponse. Prenez par exemple, Hell Littleton, elle était certes quelqu’un de cultivé, mais n’aimait pas les cours. Donc pourquoi, parlaient-elle d’une matière aussi banale qu’est la géographie ? Pourtant, quand Hell avait été invité par John Connors, à une soirée mondaine, elle n’avait pas penser que deux heures plus tard, elle enseigné sa culture géographique à l’adulte qui était plus intelligent sur ce sujet qu’elle. Et pourtant, Hell était bien là, dans cette chambre appartenant à la personne qui avait fait cette soirée, où elle s’était retrouvé à califourchon sur l’adulte dominé, avec la tenue - ou plutôt sans tenu - d’Adam et Eve. Et pourtant, depuis quelque minutes, elle s’amusait à dessiner des choses invisible sur le torse de l’adulte dévêtu, avec l’aide de ses mains manucurées ou avec l’aide de sa langue. C’était elle, qui avait briser le silence groupé de gémissements et soupires rauques de plaisir. Et elle s’amusait vraiment, à le torturer physiquement, avec des paroles aussi innocente et sérieuse, qu’elle dans un de ses moments là.
HELL— — J‘adore la géographie. Une phrase qui pouvait signifier beaucoup de chose, mais vu la situation présente, une seule évidence est possible. Car comment penser à la géographie qu’on apprend à l’école, quand les deux personnes étaient nu, dont l’une à califourchon sur l’autre. Hell avait sortit cette phrase innocente, alors que sa main s’amusait a tracer des cercles sur le torse de l’adulte, adulte qui brisa le silence de la chambre qu’ils avaient prit possession alors qu’en bas, au rez-de-chaussée, une soirée mondaine s’y déroulait. JOHN — Vraiment ? Dis moi ce que tu sais. Une voix innocente et pourtant, il savait très bien de quel géographie elle parlait. Une géographie que les amants découvraient, a chaque vêtements enlever. Cette géographie là, qu’Hell Littleton, prit à plaisir à lui apprendre sa leçon qu’elle avait apprise dans sa jeunesse. HELL — Je sais, que ce torse est recouvert d‘une plaine où l‘herbe y es douce et que dans chaque plaine, conduit à un ruisseau où l‘eau est abondante et rafraichissante. Ses mots dut d’un sérieux, qu’elle-même surprit alors que sa main montrait ce que ses paroles disaient.
Oui, elle avait l‘âme d‘un professeur, à cet instant là et l‘adulte, ne protesta pas d‘être l‘élève. Un cours particulier qui n‘aurait pas dut arriver, car ils n‘étaient pas là pour coucher ensemble, mais de discuter avec les paroles de la soirée mondaine, où John l‘avait invité. Certes, c‘était le métier d‘Hell à la base, d‘accompagnée les hommes a tel endroit, d‘où son rôle d‘Escort, mais aucune personne ne lui avait dit de coucher avec son « client » . Et pourtant, ils sont bien entrain de coucher ensemble, et même si ils s‘appréciaient au point de se considérer comme père et fille, ils n‘avaient aucun problème de conscience de coucher avec malgré le grand égard de leur âge. Comme quoi, Hell était studieuse, dans toute les circonstances surtout quand un homme charmant et séduisant tel que John Connors, servait d‘élèves curieux et attentif.
BIBLIOTHEQUE » 15H49
Qui a dit que la bibliothèque pouvait être ennuyant ? Elle bien sur, mais c’était sans compter le destin qui lui avait mit au travers du chemin de John Connors, professeur d’histoire géo à son université, mais surtout homme qui faisait figure de père qu’elle avait tant rechercher. Alors quand, il lui avait parler la première fois, où l’énervement avait prit son esprit, elle avait vu une autre image de la bibliothèque. Certes, elle avait toujours aimer les livres, au point d’en lire beaucoup pour se cultivé mais surtout pour faire sa bulle à elle, mais au grand jamais, elle vous le dira. Elle n’était pas connu pour être une femme calme, préférant l’univers des boites de nuit à l’univers des intellos et rat de bibliothèque, d’où son mutisme et sa fierté d’avoir dit qu’elle haïssait cet endroit là. Finalement, la chance lui avait sourit, et depuis plusieurs minutes déjà, elle faisait la conversation avec son professeur, professeur qu’elle connaissait par cœur, a force de le connaître. Comme quoi, elle aimait faire de la géographie avec ce dernier. Un sourire venait d’apparaitre sur son visage, quand elle chassa ses pensées pour le moins non catholique, pour écouter la réponse de son professeur, qui lui annonça qu’elle avait eu une excellente note à son dernier devoir. Chose qui ne la surprit pas d’où sa réponse calme et neutre à l’adresse de l’adulte, même si une pointe de fierté pouvait se faire sentir dans ses mots.
JOHN — En effet, j'ai corrigé ton devoir, excellent d'ailleurs. Il lui fit un petit sourire et la regarda avec des yeux profonds. Qui ne pouvait pas avoir une excellente note dans un devoir ayant pour sujet, un devoir que ses parents lui avait dit et redit, dans son enfance ? Sa réponse ne tarda pas à venir, alors qu’elle laissait ses cheveux se balancer quand elle bougeai, comme si un vent silencieux s’amusait avec ses cheveux long et brun ondulés. HELL — Ca ne me surprend pas. Quand on a des parents, comme les miens, qui veulent que leur progéniture soit cultivée, les sujets d‘histoire sont excellente pour permettre la culture. Car comme tout Littleton, Hell avait dut connaître l’histoire du monde où elle était incollable niveau guerre mondiale.
Un fin sourire naquit sur son visage quand elle avait dit à John, qu’elle séchait ses cours de sport, pour faire un devoir de langue que son professeurs lui avait donné, qu’a elle. Injustice ou favoritisme ? Quel est la question mais en tout cas une chose est sur, ce devoir lui avait permit de sauter des cours de sport, chose qu’elle haïssait encore plus que les mathématiques, c’est pour dire. La réponse de l’adulte ne se fit pas entendre, où elle se mordit sa lèvre inferieur, pour ne pas laisser échapper un rire cristallin. Rire qui aurait envahit toute la bibliothèque car c’est bien connu, le bruit tel que les rires et les téléphones portables se faisaient entendre dans ce lieu, comme si ils étaient dans une église où l’écho était roi. A la place, elle avait croiser ses bras et incliné la tête d’une façon qu’on aurait dit un enfant en faute qui boudait, pour lui répondre le plus simplement possible.
JOHN — Tu sèches les cours ? C'est pas bien ! Un immense sourire était apparut sur les lèvres de l’adulte, où prenant une voix innocente et boudeuse, laissant apparaitre une moue boudeuse et capricieuse sur son visage, Hell avait prit une voix enfantine, qu’elle n’employais jamais. Comme quoi, elle jouait l’enfant capricieuse avec son père d’adoption, mais en tout cas une chose est sur : elle bénit que la bibliothèque ne soit pas un lieu populaire, auprès des étudiants de l’université, sinon sa réputation aurait baisser en flèche. HELL — M‘en fiche. Voix boudeuse, on l‘aurait prit pour une enfant qui boudais pour tel chose.
Hell avait toujours été très belle, mais dans cette situation là, Hell était mignonne et adorable. Mais fier comme elle l’est, elle vous dira qu’une Littleton n’a rien de mignon et encore moins d’adorable, même si elle pouvait l’être dans chacun de ses geste. Un sourire en coin naquit sur son visage, alors qu’elle décroisa ses bras qu’elle avait croiser quand elle lui avait répondit, pour remettre une de ses mèches derrière ses oreilles, plus par habitude qu’autre chose, pour poser un regard vers la bibliothécaire qui les regardait d’un mauvais œil. La snobant avec tout la grâce qu’elle avait en elle, elle se tourna de façon à être devant les étagères remplit de livre, où sa main partit en prendre un, sans savoir le nom exacte du livre. Son regard partit vers l’adulte, qui partit s’installer à une table, où les livres étaient ouvert. Sa table, où un simple regard vers lui, montrait qu’il était fatiguée. Un sentiment d’inquiétude arriva en elle, où sa voix se fit de nouveau entendre entre eux, gardant en main un livre, sur les différentes façons de décrypter les hiéroglyphes.
HELL — Votre nuit, a été courte professeur ? Reposant un livre sur l‘étagère, elle s‘était tournée pour lui lancer cette phrase là.
Certes, sa question pouvait sous entendre beaucoup de chose, mais la seule vérité signification était qu‘elle s‘inquiétait pour lui. Prenant un livre au hasard, elle partit s‘installer en face de l‘adulte, tirant sa chaise, de façon a s‘assoir. Bras croisés sur la table, tête incliné de façon a mieux encré son regard dans celui de son interlocuteur, voici comment elle était installer. Son regard pour beaucoup était inexpressif, ne montrant aucune émotions et pourtant, dans le regard qu’elle jeta à son professeur d’histoire géo, il y avais une lueur qui était très rare chez elle : l’inquiétude. Inquiétude pour une fatigue certes, mais inquiétude quand même, montrant par là, que la personne qui avait ce regard, était importante pour l’aristocrate qu’était miss Littleton. Le silence pouvait avoir du bon, surtout dans une bibliothèque, mais c’est sans compter ses deux là, que même si la règle d’or était de rester muet dans cet endroit, soyez sur qu’ils le briseront s’attirant les foudres de la bibliothécaire, qui aimait ses livres comme ses propres enfants. Comme quoi, elle avait bien fait de venir dans cet bibliothèque, préférant de loin d‘être ici que de faire un sport idiot tel que le football ou la course.
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Sujet: Re: • John & Hell ▬ Briseur de silence royale [PV.]