Sujet: • Connor & Hell ▬ Joue avec moi [PV.] Jeu 18 Fév - 1:24
Quand la musique « Entre fierté et abandon, il n’y a qu’un pas »adoucie les mœurs.
Tu sais, je me suis toujours dis que même Si mon cœur me hurle de t‘embrasser, Je ne le ferais pas, par esprit de fierté. Mais sais sans compter, le pouvoir du piano.
___________________
SALLE DE MUSIQUE » 16h00
Etes-vous déjà demander si vous être maître de votre corps et de votre esprit ? Avez-vous déjà ressentit un sentiment qui vous pousse a envoyer votre fierté et votre éducation de « l’amour est pour les faible », alors que vous êtes née dans l’idée de nier tout signe de ressemblance à l’amour car vos parents, vous ont apprit que l’amour est faible et qu’il ne faut jamais lui ouvrir la porte quand il sonne chez vous ? Mais surtout avez-vous conscience de ce que vous faisiez à ce moment présent et comment vous êtes en arrivé là ? Chaque minute et seconde d’une vie humain, chaque personnes occupent leur journées par des occupations. A cette heure, certain élèves sont entrain de répondre à un devoir surprise, d’autre seront dans le parc profitant de leur heure de pause. D’autre iront à la bibliothèque s’instruire, préférant faire leur devoir que de faire des gamineries dehors dans le parc de Columbia. Et pour finir, il y en a d’autre comme Hell Olympia Littleton, qui se demandera pourquoi elle était entrain de faire ça alors que quelqu’un lui avait ordonner de faire autre chose. Oui car ce n’est pas tous les jours, que miss Littleton se retrouve dans la salle de musique, ressemblant plus à un amphithéâtre qu’une salle de classe, assise sur une surface plane d’un piano a queux noire, avec pour unique compagnie, Connor Alec Montgomery, placé entre ses jambes, entrain de l’embrasser. Embrasser, car c’était bien cela qu’ils faisaient en ce moment même, ne savant pas comment ils étaient arrivé à cette situation, mais qui ne changeraient leur place pour rien au monde.
C’est surement pour cette raison, qu’Hell avait envoyer sa fierté aux oubliettes, quand elle avait sentit les lèvres masculine du jeune homme se poser sur les siennes, comme si c’était une évidence pour elle. Ses lèvres étaient pour embrasser celle du jeune homme, dommage que ca ne soit pas réciproque. Et c’était pour cette raison, qu’elle oublia que normalement, elle devait insulter Connor et non l’embrasser, qu’elle enroula ses bras comme si elle le retenait d’un quelconque refus, marquant ainsi un signe de possessivité pour un quelconque individus qui ne les connaissaient pas. Une de ses jambes avait prit domicile entre le bassin du jeune homme, pour les coller d’avantage l’un à l’autre. Une de ses mains voyageait entre les doux fils brun du jeune homme, qui consistait les cheveux, se fichant pas mal si il allait l’insulter pour l’avoir décoiffé sa coiffure parfaite. C’était sa place à ce moment et cela, lui brisa le cœur quand ce fait arriva dans son esprit, esprit déjà partit voir un quelconque Dieu, priant que C n’entendent pas son cœur battre de plus en plus fort, comme si il participait à un marathon. C’était sa place et elle ne le brisa pas de si tôt, même si sa fierté reviendrais bien plus tard ayant oublié tout ses faits véridiques qui lui venaient dans son esprit car elle était maître d’elle-même quand le Dom Juan ne l’embrassait pas, comme il le faisait maintenant.
Mais la véritable question que se posa miss Littleton, était comment elle en était arrivé là. Elle qui avait prévu de passer une journée shopping, avait été envoyé contre son gré dans cette salle de musique, car son paternel lui avait ordonner d’apprendre le piano - seul ou avec quelqu’un- car une de ses tantes voulaient de l’originalité donc pas du violon mais du piano. Elle se souvenais à la perfection, de sa journée qui avait pourtant si bien commencer, alors qu’un gémissement sortit de la bouche de la jeune femme, reprenant les lèvres du jeune homme comme si l’embrasser était son oxygène.
FLASH-BACK » 7h15, quelque part
Connaissez-vous la vrai haine ? Vous savez, cette haine qui vous déchire en deux, tellement vous haïssez la personne qui est en face de vous. Cette haine avec un grand « H » considérant l’autre comme sa Némésis personnel, la connaissez-vous ? Quand on connait, la belle présidente du conseil des élèves qu’est Hell Littleton, tout le monde vous dira qu’elle hait une personne, plus que sa propre vie. Cette personne est nulle autre que sa Némésis personnel alias Noah Wellington, qui lui rend vraiment sa haine. Leur relation tout le monde la connait, mais ils ne savent pas une chose primordiale pour eux : leur attirance. Ils couchent ensemble, certain violement mais ils couchent ensemble, montrant leur haine même sous les couette. Ils ne deviendrons jamais amis, et c’est surement l’un des seul sujet où ils sont d’accord avec l’autre, se haïssant bien trop pour être de simple ami. Une haine amélioré qui se faisait à l’abri des regards, dans un endroit que personne ne connaissait à part eux. Personne ne connaissait cet endroit et seul les mur de la chambre vous dirons a quel point, ils adore montrer leur haine, sous les draps d’un lit. Cela n’était donc pas nouveau pour Hell, quand elle se réveilla ce jour là, où la première chose qu’elle fit était de pousser une plaine de douleur, avant d’ouvrir les yeux, pour voir sa Némésis allonger à côté d’elle et lui servant d’oreiller. Ensuite, elle s’était lever pour pousser un nouveau gémissement de douleur, la faisant se recoucher avec un Noah réveiller sous elle qui lui dit son bonjour, à sa manière. Manière qu’elle aimait beaucoup et redisait la même chose car on lui avait une chose : être toujours poli même si elle hait son interlocuteur, Noah ici présent qui, nombreuse marques de griffures harmonieux le corps masculin de son dit amant pour les nuits, qu’ils couchaient ensemble.
NOAH — Je te hait. Trois petits mots qui ne surprit pas les deux principaux concernés, l’avant trop dit depuis qu’ils se connaissaient. Et pourtant, ca ne les empêchaient pas de se le dire, comme quelqu’un qui vous salue. C’était leur méthode de salutation, et cela Hell lui répondit de la même manière. HELL— — Croit moi, ma haine est beaucoup plus forte que la tienne à mon égard. Hell haissait sa Némésis alias Noah Wellington, qui lui répondit bien.
Même trop bien, quand on vit qu’il répondit au baiser brutal qu’Hell lui donnait à cet instant présent, se fichant pas mal que leur lèvres saignent et que le gout du sang remplissent le bouche. Hell s‘en fichait, si des bleu et des marques de griffure prenait possession son dos car c‘était l‘unique endroit où ses amants ne regardaient pas, étant bien trop occupé de coucher avec qu‘elle que de voir, qu‘elle possède des bleu dans son dos, signe qu‘elle couchait sauvagement sa haine à sa Némésis. Le baiser prit fin, où elle eut un sourire moqueur aux lèvres quand il rechercha ses lèvres où feignant de regarder l‘heure, elle l‘évita pour ensuite partir du lit de sa Némésis, partant d‘un pas décider malgré le nombre incalculable de marque rouges sur son corps nu, vers la salle de bain de ce dernier. Douche qui fut plus longue que d‘habitude car chaque mouvement lui faisaient plus du mal que du bien. C‘est ainsi qu‘elle partit une heure plus tard de l‘endroit inconnu de tous, où les deux ennemis étaient amant, remarquant que Noah était partit depuis bien longtemps, où la porte claqua quand elle sortit de l’endroit, partant d’un pas décider à Columbia, université où elle étudie, se fichant pas mal si elle est en retard à son cour de littérature, tellement elle faisait son possible pour ne pas montrer ses courbatures quand elle marcha.
Elle arriva une heure plus tard à l’université, ayant finalement sauter son cour de littérature, où elle partit d’un pas décider à son prochain cour : science politique, où elle allait rester trois heures assise à la même place sans bouger, pour sa plus grande joie.
COULOIR » 14h05
Dans chaque vie humaine, il y avait des choses positifs ainsi que des choses négatifs. Prenez par exemple, Hell Littleton, elle vous dira que dans les chose positifs, elle pouvait compter sur son argent, sa beauté que Dame Nature lui avait donné, ses proches ainsi que le fait que Dieu avait mit au monde des hommes aussi magnifique que coureur de jupon qu’elle. Dans les choses négatif, elle vous dira qu’une seule chose : ses parents car pour beaucoup de monde, la famille Littleton est une famille unis, et pourtant c’est tout autre. * je déteste mes parents et mon père me le rend bien * Elle n’avait jamais connu un lien enfant/parent de toute sa vie, par la simple et bonne raison que ses parents trouvaient toujours une raison pour la laisser, à ses nombreuses nourrices et domestique. C’est surement pour cette raison, qu’elle a un mauvais bien de vue sur l’amour car elle n’a connu qu’un amour de ses domestiques qui ne devait pas lui montrer, sous peine de se faire renvoyer. Donc l’unique chose a faire, était de paraitre froide alors qu’enfant, elle était aussi angélique quand un ange innocent pouvait l’être. Sa relation avec ses parents fut très différentes des autres. Avec sa mère, elle devait toujours paraitre comme une Lady, ayant les bonne manière, savant jouer au violon et posséder un don pour les vêtements. Avec son père, c’était tout autre car avec ce dernier, le respect était obligatoire et si il lui donnait quelque chose a faire, elle était obliger de le faire parfaitement sous peine de froide punition. Sa mère ne la punissait jamais mais ne disait jamais non quand son père l’enfermait plusieurs jour dans sa chambre, montrant par là qu’elle était d’accord avec les idées aristocrate de son père. Donc quand son portable se mit à trembler dans sa poche, où son regard noisette se posèrent sur l’écran affichant le nom de son père, elle se retient de ne pas lui répondre mais elle savait que si elle ne répondait pas, quelque chose de mal l’attendrais chez elle le soir même. Alors, elle porta son portable à contre cœur à son oreille, parlant la première montrant bien son hypocrisie à l’égard de son paternel qui ne prit pas la peine, de lui demander comment elle allait ou de la saluer.
HELL — Père ? Que puis-je faire pour vous ? Quiconque aurait entendu la conversation d’Hell, n’aurait jamais imaginer qu’elle s’adresse à son temps de ce ton là. Un ton de respect et d’hypocrite à l’état pur. C’était toujours comme cela entre eux, au grand jamais le père et la file avait une conversation civilisé pour savoir comment se portaient l’autre. Si son père l’appelait, alors il voulais quelque chose et cela elle le savait mieux que quiconque ayant vécu vingt deux ans de sa vie avec lui, s’étant habituer que si il ordonne quelque chose, alors elle le faisait même si très souvent, c’était à contre cœur. Elle garda en mémoire le nombre de fois elle avait protester pour rien, où elle poussa un soupire intérieurement quand elle entendit la voix sèche et grave de son père à son oreille, lui certifiant qu’il voulait que sa fille fasse ce qu’il voulait qu’elle fasse, même si ca n’allait pas faire plaisir à cette dernière. Surtout quand elle entendit sa demande. LORD LITTLETON — Votre tante Ivy aimerait que vous lui jouer la symphonie n° 9 en ré mineur de Beethoven. Au piano, j’attend bien. Alors qu’elle marcha dans un couloir où certain étudiants y marchaient aussi, elle se stoppa retenant une exclamation de surprise dans sa bouche, en mordant sa joue de l’intérieur. Jetant un coup d’œil autour, Hell soupira de soulagement quand elle remarqua qu’aucune personne ne lui avait jeter un regard où elle se permit de répondre à son père, d’une voix neutre et pourtant qui laisse ressentir sa surprise et sa colère. HELL — Au piano ? Comme si le fait de se répéter à soi-même pouvait changer les chose où un simple silence glaciale lui apprit qu‘elle n‘avait pas mal entendu. Jetant un regard noir à un élève qui la fixa un pour trop pour son bien, lui faisant partir comme si il avait un chien à ses trousses, elle reprit la conversation où elle l‘avait laisser quelque seconde plus tôt. Pourquoi veut-elle que je joue du piano alors que c’est une fidèle passionné du violon ? Elle savait à l’avance ce que son père allait lui répondre, d’où sa non surprise quand elle entendit la voix de son cher et tendre paternel. LORD LITTLETON — Ne posez pas de question. Faite ce que je demande. Hell compta jusqu’à trois, avant qu’elle n’entendit son père lui dire qu’il avait des choses importante à faire.
Mettant fin à la discussion père/fille, elle soupira passant une main dans ses cheveux brun. Comment allait-elle pouvoir jouer du piano, elle qui en avait une fois dans sa vie, pour se montrer que le son du violon était plus harmonieux que le son du piano. * depuis que je suis petite, j‘ai du apprendre à détester le piano car ce n‘était pas un instrument élégant et royal pour mes géniteurs. Pourtant, j‘ai toujours rêver d‘apprendre à en jouer *. Elle chassa cette pensée si véridique mais si honteuse qu’elle le mettait dans ses secret, partant d’une démarche élégante vers la salle de musique, espérant que le professeur de musique était présent car c’était une question de vie ou de mort - en tout cas pour elle -.
SALLE DE MUSIQUE » 15h31
Hell se retrouva à un dangereux dilemme : apprendre à jouer seul, comme la grande femme qu’elle est, ou attendre le lendemain pour demander au professeur de musique de lui apprendre à jouer du piano. Sa décision fut vite prise car son géniteur ne lui avait pas donner la date exacte de quand elle devait jouer du piano où mieux vaut tard que jamais. Poussant la porte de la salle de musique qui ressemblait à un amphithéâtre avec ses nombreux fauteuils, avec à l’avant une scène où un piano a queux blanc la rendait moins vide, voila ce que Columbia appelait salle de musique. Un fin sourire naquit sur son visage, alors qu’elle ferma la porte, sans penser une seule seconde, qu’elle l’avait mal fermer, où ses pas l’emmenèrent vers le devant de la salle, pour monter les quelque marches qui la séparait de la scène. Ayant poser son sac de cour sur un fauteuil, elle eut un vrai sourire quand elle remarqua, que la mélodie qu’elle devait jouer, était au bon emplacement. Elle regarda presque avec fascination le piano, avant de s’assoir sur la banquette. Elle resta au moins cinq bonne minute sans rien faire, lisant la composition de la symphonie n° 9 en ré mineur de Beethoven, une des mélodies les plus compliqués au piano, bien évidement. Elle poussa un soupire avant de poser ses mains manucurés sur le clavier, touchant quelque touches laissant entendre une quelconque mélodie dans l’amphithéâtre qui donna un certain charme au joueur du piano. Elle en avait jouer qu’une seule et unique fois, elle héritière d’une famille où le violon est roi en musique et que le piano est pour les sous catégories. Elle ferma les yeux un instant avant de les recouvrir commençant a touchant les bonnes notes, suivant la partition de la mélodie qu’elle devait apprendre, pour sa stupide tante Ivy Littleton, folle de violon depuis sa naissance mais qui voulait que sa nièce lui joue un air de piano pour une raison qu’elle-même ne connaissait pas.
Seulement entre jouer et apprendre à en jouer quand on ne l’a jamais apprit, avait une grande marge entre les deux et cela, même la reine des garces, intelligente et très cultivée pour son âge de vingt deux ans, ne pouvait pas changer cela. C’est surement pour cette raison, qu’elle fit plusieurs fausse notes, au point d’insulter le créateur de la partition, pourtant si bien partit. Et heureusement pour elle, personne n’était présent dans la salle de musique, tous occupé par leur occupation pour se soucier de sa personne, qui ne la dérangea pas pour une fois. C’était surement pour ça, qu’elle poussa un soupire de colère contre les personnes qu’elle maudit jusqu’à leur dixième génération, sortant même une phrase de sa bouche, se fichant pas mal du fait qu’elle était toute seule dans cette pièce.
HELL — Je le déteste. Dur de comprendre ce qu’elle détestait vraiment car toute seule solution était possible avec miss Littleton.
Elle ne remarqua même pas qu’elle n’était plus si seule dans la salle de musique, trop occupé à remettre une de ses mèches de cheveux qui lui barrait la vue, de la partition qu’elle contemplait au point de la mettre en feu, si ses yeux lancèrent des flammes. Ses mains renommèrent à toucher les touches blanches et noire du piano, donnant une belle mélodie hésitante où elle remarqua la présence d’un individu - pas si inconnu que ça - quand ce dernier brisa le silence de sa voix grave et masculine, brisant aussi la mélodie du piano que miss H commençait à jouer ou plutôt essayait de jouer. Comme quoi, c e n‘était pas le jour d‘Hell Littleton, même si elle croyait dure comme fer, que sa journée n‘allait rien lui apporter de bon.
Connor A. Montgomery
DOM JUAN ♣ « Le Roi est là pour vous servir »
♣ posts. : 683 ♣ age. : 32 ♣ here since : 05/02/2010
Sujet: Re: • Connor & Hell ▬ Joue avec moi [PV.] Jeu 18 Fév - 23:49
« Comment j'ai pu en arriver là ? »
Salle de musique – 16h00
Il y a des moments comme ça dans la vie où on se dit « Mais comment j'ai pu en arriver là ? » des moments où on a beau y réfléchir, on ne comprend pas comment notre vie a pu se dérouler ainsi. Des moments où on a beau se repasser toute la journée en tête, on se demande pourquoi ça a fini comme ça. On s'était réveillé comme chaque matin, de la même manière, et rien ne prédisait que pendant un instant, les événements allaient vous échapper et que vous vous retrouveriez dans la position la plus improbable qui soit. La position dont vous savez pertinemment qu'elle ne devait jamais arriver. Peut être pas qu'elle ne devrait jamais arriver, mais au moins qu'elle ne pouvait pas arriver. C'était écrit dans votre destinée : ça n'arrivera pas. Quoi que vous fassiez, quoi que vous disiez, ce n'est pas censé arriver. Mais pourtant ça arrive. Sans que vous vous y attendiez. Sans l'avoir préméditer. Ça arrive. Tout simplement. C'est le genre de situation qui arrive à tout le monde dans une vie. Chacun avec un degré d'importance différent mais tout de même. Pour certains c'est un événement positif qu'ils n'auraient jamais espéré vivre, même pas dans leur rêve. Pour d'autres, c'est leur pire cauchemar qui devient réalité. Un accident si terrible qu'on donnerait tout pour revenir en arrière et réparer les choses. Mais dans tous les cas, on ne peut jamais rien y faire. On ne peut pas retourner dans le passé. La seule solution qu'il nous reste et de penser, se remémorer les évènements pour comprendre. Ne serait-ce que pour savoir comment les évènements ont pu tourner ainsi. Comprendre, c'est tout ce qu'on demande.
Comprendre comment Connor Montgomery s'était retrouvé dans la salle de musique, à côté d'un piano à queue avec pour seule compagnie Hell Littleton, leurs lèvres collées, et les jambes de cette dernière enroulé autour du jeune homme. Comprendre pourquoi il était là bas au lieu d'assister aux cours normaux auxquelles il devait assister. Comprendre pourquoi il ressentait comme un besoin de devoir rester ici, de ne plus jamais bouger de cette position, mais surtout... comprendre pourquoi il ne pouvait pas lâcher les lèvres d'Hell. Ces lèvres... Il les avait admirées, il les avait désirées, et maintenant elles étaient sienne. Pour rien au monde il ne voudrait arrêter de les embrasser. Pour rien, ni personne.
Il se sentait de plus en plus se rapprocher de la jeune femme. Il ne savait pas si ça venait de lui ou elle, mais peu importait. Tout ce qu'il avait en tête à ce moment là était de rester près d'elle, de continuer à l'embrasser et de sentir le corps d'Hell contre lui. Sa jambe le maintenant près d'elle, ses bras se serrant comme pour montrer que Connor était sien et sa main se baladant dans ses cheveux. Le jeune homme lui avait l'une de ses mains dans le dos de la jeune femme, et l'autre en appui sur le piano pour ne pas perdre l'équilibre. Même si vu comme il était tenu par H, il ne risquait pas de tomber. Connor, qui avait perdu toute fierté face à la situation, commençait peu à peu à reprendre ses esprits. Toutes les questions sur cette situation lui vinrent à l'esprit, mais ce n'est pas pour autant qu'il stoppa ses baisers. Au contraire, ils devinrent encore plus passionnés qu'avant, et le jeune homme profitait de chaque secondes passées à embrasser sa compagne. Mais les questions continuaient d'envahir son esprit, et même s'il adorait la tournure qu'avaient pris les évènements, il ne pouvait que repenser à sa journée. À ce qu'il s'était passé pour qu'il finisse ici. Tout avait été pourtant normal au début. La journée avait commencé comme toutes les autres.
Cuisine de l'appartement – 6h59
Le réveil est toujours différent selon les personnes. Certains, lorsqu'ils se réveillent, sont de bonne humeur et toujours prêts à passer une bonne journée. D'autres sont à l'inverse d'une humeur noire et ne supportent pas l'idée de sortir du lit. Pour cette seconde catégorie de personne, il faut tout un rituel pour réussir à outrepasser cette mauvaise humeur matinale, et chez certains, ce rituel est vraiment très spécial. Prenons Connor Montgomery. Vous le connaissez tous, il ne lui arrive jamais de se réveiller dans une chambre vide. Aujourd'hui ne fait pas exception. Vous vous dites surement que, comme il a l'habitude de se lever accompagné, il est toujours de bonne humeur. Et bien détrompez vous. C'est tout l'inverse. Si le jeune homme ne supporte pas les histoires plus longues d'une nuit, ce n'est pas seulement parce qu'il ne veut pas s'attacher, c'est aussi parce qu'il ne supporte pas l'idée de devoir passer le moment du réveil avec quelqu'un. C'est pourquoi il est toujours le premier réveillé, et d'une humeur massacrante il part prendre une douche pour passer cette humeur. Seulement, ce matin là, la douche était occupée par la fille qu'il avait emmené la nuit derrière. Pour la première fois depuis très longtemps, Connor n'était pas le premier levé. Sacrilège. Son rituel matinal venait d'être brisé. Il se leva donc du lit, enfila des sous vêtements, et partit en direction de la cuisine. S'il n'avait pas sa douche, il aurait au moins son café. En espérant que Miss Je-me-lève-tôt daigne avoir fini d'utiliser sa salle de bain d'ici qu'il retourne dans sa chambre. Mais un Dom Juan dès le réveil, ce n'est pas beau à voir. Enfin surtout à entendre et à subir...
CONNOR — « Put*in de m*rde qui a foutu une porte ici ? » hurla-t-il en se prenant de plein fouet la porte de la cuisine de son appartement qu'il n'avait pas vu venir si tôt. À cette heure ci, tout le monde avait l'habitude de dormir encore. Une chance pour le reste de ses colocataires qui n'auraient pas à le subir ainsi. GRACE — « Je dirais que c'est l'architecte » entendit-on venir de l'intérieur de la cuisine. Contrairement à ce que pensait Connor, au moins l'une de ces colocataires était déjà levée. La pauvre. CONNOR — « Tu me donneras son nom que je lui envoie un tueur à gage... » dit-il avec une voix d'outre-tombe. Sa meilleure amie avait heureusement l'habitude de voir le jeune homme dans cet état et ne prenait donc pas personnellement la violence de ses propos. D'humeur généreuse, ou ayant pitié, elle lui prépara elle même un café lorsque celui ci vînt se poser à table, s'effondrant littéralement dessus. GRACE — « Problème de tuyauterie ? » demanda-t-elle, devinant qu'il n'avait pas eu droit à sa douche. Elle ne pensait surement pas que c'était parce qu'elle était déjà occupée, non pas qu'elle était en panne. CONNOR — « Jamais avec moi. » répondit-il en interprétant mal sa question. Il but une gorgée de café, et réalisa ce qu'elle venait vraiment de lui demander. « Ah ! Non, problème de squateuse. ». Une chose est sûre : plus jamais il ne reverrait cette fille. Il avait déjà oublié son nom de toute façon... GRACE — « C'est ça de ramener n'importe qui chez soi... » conclue-t-elle en souriant. Elle voyait défiler des filles différentes tous les matins qui sortaient de la chambre de Connor. Et elle était sûre que jamais il ne les reverrait, et qu'il ne se rappelait probablement pas de la moitié d'entre elles. Même si ce rythme de vie était exagéré à son goût, elle ne pouvait pas lui reprocher. C'est ce qui faisait qu'elle l'aimait tant.
Ainsi débuta la journée de Connor. Mais aussi mauvais le commencement fut-il, ça ne pouvait pas expliquer pourquoi il s'était retrouvé dans cette situation plus tard. Car il s'était finalement remis de ses émotions et avait retrouvé son caractère calme et posé de Dom Juan que tout le monde connait. Il lui en fallait plus que ça pour que les choses dérapent et qu'il finisse dans la salle de musique. La réponse se trouvait beaucoup plus tard dans la journée. Lorsque le jeune homme avait fait une rencontre inattendu et très surprenante.
Entrée de l'université – 15h13
Il y a certaines personnes qu'on aimerait ne jamais avoir à croiser dans sa vie. Des personnes qu'on hait à un point qu'on préférerait ne pas les voir plutôt que devoir affronter une confrontation avec elles. La haine, d'habitude, entraine ce petit jeu d'insultes et de provocation que tout le monde apprécie. Mais il existe une haine si noire que ce jeu n'est même pas envisageable. Rien que la vue de cette personne pourrait vous donner des envies de meurtre ou vous transformerait du tout au tout. Ce genre de haine est très rare, mais elle existe. C'est cette haine qu'éprouve Connor Montgomery à l'égard de Noah Wellington... son frère. Comment est ce possible de haïr à ce point son frère ? Longue histoire... Déjà pendant leur enfance ils ne s'aimaient pas, mais ce n'était rien comparé à maintenant. Tout avait changé lorsque Noah avait quitté la famille Montgomery, qu'il avait changé de nom et que la dispute la plus mémorable de l'histoire de la famille avait éclaté. Depuis ce moment là, les deux frères ne se parlaient plus, ne se voyaient plus et faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour ne pas avoir à se fréquenter. Ils s'en portaient tout les deux mieux ainsi. Mais en plus de cette haine, Connor éprouvait de nombreux autres sentiments pour son frère. C'était un mélange de dégout, de honte, et d'incompréhension qu'il avait pour lui. Il ne comprenait pas pourquoi Noah avait tout quitté du jour au lendemain. Il savait pertinemment qu'il ne s'entendait avec personne dans la famille et qu'il ne voulait pas suivre le chemin qui lui était dicté par ses parents. Mais de là à partir et à changer de nom. C'était un vrai mystère pour C. Comment un enfant peut il autant se détourner de sa famille ? Il faut dire que cette dernière lui avait bien répondu et l'avait renié presque aussitôt qu'il l'avait quittée. Depuis, le nom de Noah est banni de toutes les bouches. Et pour le monde entier, la famille n'a qu'un seul et unique fils héritier : Connor.
C'est pourquoi cette journée prit un tournant tout à fait particulier. Pour la première fois en presque cinq ans, les deux frères allaient être réunis et allaient s'adresser la parole. La raison de cette discussion reste encore un mystère. Du moins pour Connor qui ne peut s'empêcher de se demander ce qui a poussé Noah a venir lui parler alors qu'il se trouvait devant l'entrée de l'université à fumer une dernière cigarette avant de retourner en cours. S'il s'attendait à ça... Oh que non. Sans y être préparé, il fut surpris par l'arrivée de N près de lui.
NOAH — « Comment va le fils prodige ? » demanda-t-il sans réellement vouloir de réponse à Connor à qui il faisait face. Sans avoir annoncé sa venue, sans aucune raison apparente il était là. Devant lui. À prendre de ses nouvelles. Étrange. Mais son interlocuteur ne répondit pas, trop choqué par la situation. Il reprit alors : « J'ai entendu parler de toi récemment. Un mariage se profilerait pour le jeune fils héritier Montgomery avec la fille Carpenter. J'entends parler de ce mariage depuis toujours, et même si je sais que tu es incapable de dire non à tes parents, je pensais que tu auras plus de c*uilles et que tu refuserais ça. Tu me déçois petit frère. » CONNOR — « Petit frère ? » dit-il en s'étranglant à moitié. « Tu te fous de moi ? Ça fait cinq ans que tu n'as plus de petit frère et que tu ne fais plus parti de cette famille. Alors je te demanderais de dégager de ma vue et d'arrêter de me donner ton avis sur ma vie. » dit-il à demi énervé, en essayant de garder un semblant de calme pour éviter d'attirer l'attention des personnes présentes autour d'eux. Ils n'avaient pas besoin d'entendre parler de la vie de Connor et de ses déboires familiaux. NOAH — « Je ne faisais que dire ce que je pense. Je me suis toujours féliciter de le faire. Tout comme je me suis toujours féliciter de prendre mes propres décisions. » reprit-il avec un air hautain et sarcastique. C'était bizarre de faire face à ce ton, car Connor le reconnaissait entre mille : il avait le même. CONNOR — « Tu te félicites aussi d'avoir briser le cœur de tes parents et d'une famille entière peut être ? » lança-t-il sur un ton sec et blessant. Comme si c'était la chose la plus horrible qu'une personne puisse faire. NOAH — « Je ne me fais pas de soucis pour eux. Ils t'ont toi pour les consoler. Le fils merveilleux et doué qui fait la fierté de sa famille et qui obéit comme un petit toutou. ». Il avait toujours ce même ton hautain et sarcastique, mais on entendait au fond une certaine touche de nostalgie. Du regret ? Mh, surement pas. CONNOR — « Il faut au moins quelqu'un pour leur rappeler qu'ils n'ont pas fait que des enfants indignes de porter ce nom, grand frère. » dit-il de la même manière que précédemment avant de s'éloigner de lui, souhaitant mettre fin à cette affreuse conversation. « Au fait, si tu voulais une invitation pour le mariage, c'est loupé. Premièrement, je ne t'aurais jamais invité. Et deuxièmement, il n'existe pour l'instant que dans la tête de mes parents. » dit-il en insistant sur le « mes ». Il conclue enfin : « Il faut que tu revois tes sources, elles ne sont pas très fiables. ». Et il partit enfin, entrant dans le grand bâtiment principal de l'Université de Columbia, énervé et perturbé comme jamais il ne l'avait encore été.
Pourquoi était-il venu lui parler ? Ce n'était certainement pas la première fois que Noah entendait des rumeurs sur Connor, alors pourquoi aujourd'hui précisément était-il venu à sa rencontre ? C'était vraiment incompréhensible. Et il n'en haïssait qu'encore plus son soi-disant frère. Il avait eu la certitude, pour la première fois depuis qu'il avait été renié, que son frère n'avait aucun regret. Ce qu'il avait fait, ce qu'il avait dit, tout le mal et la tristesse qu'il avait engendré, ça ne lui importait guère. Rien que pour ça il était heureux d'avoir fait le choix de tirer un trait sur son existence. Connor ne s'était jamais senti plus fils unique qu'à ce moment précis. Mais il ne s'était surtout jamais senti aussi... triste. De la tristesse ? C'était vraiment ce qu'il ressentait ? Après l'énervement, après l'incompréhension, c'était ce qui l'envahit. Connor Montgomery... triste ? Qui l'eut cru ?
Salle de musique – 15h32
On a tous des remèdes particuliers pour effacer certains sentiments. Fumer une cigarette qu'on est stressé, frapper un mur quand on est énervé, etc. Tout le monde a ses secrets et ses méthodes pour contrôler ces sentiments. Connor lui, n'avait la plupart du temps besoin de rien. On lui avait appris toute sa vie à les contrôler aisément, sans avoir recours à quelconque rituel ou accessoire. Il pouvait toujours tout contrôler : la colère, le stress, l'amour, le ressentiment, la joie, etc. Tout, sauf un sentiment : la tristesse. C'était la seule chose qu'il ne pouvait contrôler avec facilité. Mais il avait quand même trouver une technique pour aller mieux. C'était certes peu pratique, et encombrant, mais il avait sa méthode. Quelle est-elle ? Jouer du piano. Il y a beaucoup de chose que vous ignorez sur le Dom Juan de la ville. Dans le monde de l'art, ce nom, Montgomery, est synonyme de Roi. Les Montgomery sont tout simplement les Roi de l'art dans tous les domaines : la peinture, la musique, le théâtre, etc etc. Connor ne fait pas exception à la règle. Si vous vous y connaissiez dans les grands noms de la musique classique de ces dernières années, son nom ne vous serait certainement pas inconnu. Connor Alec Montgomery, le jeune prodige du piano. Le gagnant de nombreux concours internationaux qui était promu à une grande carrière s'il n'avait pas tout arrêter à 17 ans pour se concentrer sur l'économie et la gestion d'une si grande entreprise qu'est celle de la famille Montgomery. La reine de l'art, celle qui possède tous les plus grands musées et galeries du Monde. Difficile à imaginer n'est-ce pas ? On aurait plus imaginé le Dom Juan comme héritier d'une multinational qui exerce dans les investissements importants dans le fin fond de la Chine, ou comme héritier d'une chaine hôtelière prestigieuse, ou quelque chose de ce genre. Et pourtant, vous seriez surpris de l'importance des Montgomery dans le monde et de l'argent qu'ils peuvent avoir. Mais tout de même, Connor... un artiste ? Eh bien si. C'est pourquoi, quand tout va mal, son seul refuge reste son piano. Même si pendant ces dernières années, il ne l'a que très peu touché. Il n'en a pas pour autant perdu son talent, et parfois, lorsque l'envie lui prend, il lui arrive de s'aventurer dans les classes de musique de l'université pour jouer un morceau. Si vous entendez un jour un piano raisonné dans les couloirs de Columbia, il est fort possible que ce soit Connor qui joue. Même s'il ne l'avouera probablement jamais. Sa renommée est derrière lui, et personne n'est au courant à part les personnes qui le connaissaient d'avant son entrée à l'université, soit pas grand monde.
C'est donc pour se remonter le moral que Connor partit en direction des salles de musique, cherchant désespérément un piano libre. Une sonate de Schubert lui démangeait les doigts. C'est alors que marchant dans les couloirs, il entendit une mélodie qui émanait de l'une des salles. La symphonie No 9 de Beethoven d'ailleurs. Mais ce n'était pas joué par un orchestre. Étrange, c'était au piano. Le Dom Juan reconnut alors les notes, c'était le 2nd mouvement de la symphonie retranscrite au piano par Liszt. Ce fou de Liszt avait eu l'idée d'adapter toutes les symphonies de Beethoven au piano. Quelle idée. Mais quel génie. Personne n'aurait cru ça possible, et pourtant. On en entendait le résultat, et c'était brillant. Enfin de ce qu'il entendait, il y avait beaucoup d'erreurs dans le jeu de la personne qui jouait. Mais en même temps, ce morceau était loin d'être facile. Trop de note, trop rapide, difficile de ne pas finir en quelque chose de très bordélique. Mais elle se débrouillait. Intrigué, Connor se mit à rechercher la salle d'où provenait cette musique. Il ne mit pas longtemps à la trouver et entra dedans dans la seconde, trop curieux de savoir qui jouait ainsi. Son entrée fut discret, et il ne fut pas vu. Heureusement d'ailleurs, car Connor ne tarda pas à reconnaître la jeune femme qui était en train de jouer sur le piano à queue de la salle qui ressemblait à un amphithéâtre : Hell Littleton. Depuis quand jouait-elle du piano ? Il la connaissait comme étant une très bonne violoniste pourtant. C'était assez perturbant de la voir s'essayer sur l'instrument que lui même pratiquait.
Il s'avança dans la salle et alla s'asseoir sur l'un des sièges sans être vu. Il admira la jeune femme jouer. Son jeu était étrange, hésitant, et elle sautait beaucoup de note. Mais ça restait joli à écouter. Il resta donc poser là pendant plusieurs minutes sans rien dire. Il ne lâchait pas une seconde Hell du regard. Il s'imaginait sa réaction si elle voyait qu'il était là, à l'écouter, à la voir s'énerver sur le clavier. Mais pas seulement sur le clavier. Il l'entendit soupirer de colère, et parler. Il crut entendre un « Je le déteste », mais il ne fit aucune remarque. Pour l'instant. Ce n'était pas son jeu qui l'énervait, il était évident qu'autre chose la travaillait. Mais quoi ? Il ne le saura surement jamais. Mais ça continuait de l'intriguer. Finalement, Hell reprit là où elle s'était arrêtée. Continuant de suivre la partition, elle jouait le morceau à sa façon. Enchainant les erreurs, mais produisant tout de même une mélodie agréable. C'était un fait assez bizarre. Connor continuait de la regarder, d'analyser sa façon de jouer. Il lui donnait des conseils mentalement après avoir trouvé ses erreurs, mais il les gardait pour lui même. Il préférait ne pas signaler sa présence si tôt. Il finit enfin par se lever de sa place, laissant sur son siège ses affaires. Il monta les marches de l'estrade pour rejoindre Hell et son piano, et sans faire le moindre bruit il se positionna derrière elle et prit enfin la parole.
CONNOR — « Tu es trop loin du clavier, ça te fait perdre de la souplesse et donc te fait louper pas mal de notes. » dit-il posément, comme s'il tenait vraiment l'aider à s'améliorer. Il l'aida alors à avancer légèrement son tabouret puis il passa ses bras autour d'elle pour avoir accès aux touches du clavier et joua quelques notes du morceau de la partition qu'ils avaient sous les yeux. « Parfait. » conclue-t-il après avoir joué.
Leur deux visages étaient presque collés, et même s'il ne jouait plus, Connor resta dans la même position. C'était la première fois qu'il se sentait bien dans sa journée. Mais ça risquait de ne pas durer. Il connaissait Hell et sa fierté maladive qui risquait de se faire entendre d'ici peu qu'elle aurait réalisé dans quelle situation elle était. Jamais elle n'accepterait l'aide de quelqu'un pour jouer, et surtout pas celle de Connor. Mais il lui offrait tout de même son aide, qu'elle le veuille ou non. Le Dom Juan n'était pas dans son état normal depuis sa confrontation de toute à l'heure. Il avait besoin de se changer les idées, de se sentir utile à quelqu'un. Et sur le moment, son besoin le plus grand était d'être avec Hell. C'était donc pour ça que les évènements lui avaient échappé ? Il ne contrôlait plus ce qu'il faisait et ce qu'il se passait. Il était perdu.
Hell O. Littleton
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
♣ posts. : 1462 ♣ age. : 32 ♣ here since : 05/02/2010
Sujet: Re: • Connor & Hell ▬ Joue avec moi [PV.] Ven 19 Fév - 3:29
Je te déteste pour me faire ressentir ça. Pourquoi dois-je garder contrôle de Mon corps, cœur et esprit, Quand tu es dans mon champ de vision ? La réponse je la connais que trop bien...
___________________
SALLE DE MUSIQUE » 16h02
Comment aurez-vous réagit quand la chose que vous rêver de faire depuis des mois, est enfin là devant vos yeux ? Pour beaucoup, ils auraient prit cela comme un miracle du ciel, et aurait bénit dieu. D’autre aurait prit cela simplement car ils savent que dans leur vie, tout est progressif et que les miracles existent. Et les derniers, ne sauront pas comment prendre cela, n’ayant pas penser que la chose rêver arriverait plus vite que prévu. Hell Littleton est dans le dernier groupe, car elle était du genre a voir sa journée la veille et de construire des phrase toute faite la veille. Donc les surprises n’étaient généralement pas aimer pour la jeune femme et pourtant, elle en recevait une. Et de taille. Car comment prendrez-vous quand la situation que vous rêver arrive dans un jour aussi mauvais que l’était aujourd’hui ? Mais surtout, comment pouvez-vous nier un fait alors que la vérité est devant votre nez et que quelqu’un vous prouve le contraire ? Dur de nier même si cette personne est miss Littleton, qui préfère nier quand il est nécessaire. Et la chose qu’elle nie depuis bien fort longtemps était son envie d’embrasser Connor Montgomery, la personne qui la connaissait un peu trop pour son bien, et qui pourrait la faire chanter quand il veut et où il veut. Une chose qu’elle nia car elle savait que jamais, la chose qu’elle rêvait allait se réaliser. Alors imaginez sa surprise, quand elle se retrouva dans la même pièce avec ce dernier, et faire ce qu’elle rêvait de faire sans savoir comment cette situation était arrivé, car c’est bien connu : entre Connor et Hell, il y avais beaucoup de dispute et pas de baiser passionnés. Et cela son destin s’amusait bien à lui donner ce qu’elle voulait, dans une journée où la colère et la fierté était maître de son esprit.
Et pourtant, elle se retrouvait bien là, dans cette salle de musique, assise sur le piano a queux noir qui donnait un signe de vie dans la salle de musique, avec entre ses jambes, le Dom Juan qui lui rendait ses baisers. Baisers qui se multipliaient de seconde en seconde, de minute en minute. Si on demandait à Hell depuis combien de temps, elle était dans cette situation, elle ne pourra pas vous répondre, ayant l’esprit embrouillé par Connor et ses fabuleuses lèvres qui avait sa place sur les siennes. Une évidence qui lui brisa le cœur, quand elle sut, que jamais cette théorie serait une évidence pour son interlocuteur et pourtant, elle était loin de la vérité.
Comment la situation pouvait-elle en arrivé là ? Si vous demander l’opinion de la jeune femme, soyez sur que même elle-même, elle n’aurait su vous répondre, trop occupé à embrasser Connor. Car, la jeune femme savait que si quelque chose ou quelqu’un avait pour malheur de les faire arrêter, la fierté reprendrai le dessus, et ils feront comme si ce n’était rien passé. Et cela, Hell le savait trop bien, préférer nier quelque chose avec les fait établies devant ses yeux, que d’accepter une situation qui pourrait briser son cœur en glace, déjà fait fissurer. Alors Hell, continua de l’embrasser, comme si les lèvres du jeune homme était son oxygène, le marquant comme sien en ayant refermer ses jambes autour du jeune homme, pour le faire coller contre elle encore plus ce qu’il était possible de faire dans une telle situation, gardant ses bras enroulé autour du cou du jeune homme, laissant l’une de ses mains s’amuser avec les cheveux de ce dernier, dans une position que des personnes auraient nommé la position du koala, mais qu’Hell aurait surnommé la possessivité, la fierté d’être là, et le bonheur passionné qu’il dégageait entre eux. Un soupire de contentement sortit de sa bouche, vite couper par les lèvres du jeune homme. Ils avaient une chose en commun, a part leur amis, a part leur titre, a part leur relation sociable etc., c’étaient qu’ils ne pouvaient plus se passer des lèvres de l’autre. Un sentiment de jalousie traversa l’esprit de la belle brune, quand elle se mit à penser que nombreuse étaient les femmes qui avaient embrasser le Dom Juan, où elle accentua ses baiser, pour les faire devenir passionné avec une pointe de fougue, comme si elle le punissait d’avoir embrasser d’autre femme qu’elle. C’était stupide pour la simple et bonne raison, qu’ils ne s’aimaient pas car l’amour est une chose néfaste et faible pour eux, et qu’ils étaient loin d’être un couple, n’étant pas prêt à s’engager dans une relation sérieuse tout les deux - surtout eux, qui se ressemblaient plus qu’ils ne le pensaient-. C’était stupide et pourtant, elle continua à l’embrasser gardant sa main dans les cheveux ébouriffer, de C comme si elle ne voulait pas le faire partir. Des personnes extérieures et qui connaissaient H, vous dirons qu’elle l’embrassait comme si sa vie était en jeu, d’un sentiment de regret qu’elle cacha par de la passion, sans qu’un instant à l’autre, leur instant magique, leur bulle a eux allaient éclater.
Reprenant la bouche du jeune homme sur les siennes, elle se souvient de sa journée qui avait pourtant si bien et mal commencer, se demandons comment cette situation pouvait être arrivé là, loin de douter que dehors, les minutes passèrent de fils en aiguilles.
APPARTEMENT » 10h16
La loyauté. Vous devez surement connaitre cette qualité que toute personnes aimeraient avoir mais que seul les plus dévouées long ? Cette loyauté qui ne vous fera pas faire quelque chose qui risque de briser une amitié. Cette loyauté, Hell Littleton l’a possède et la montre envers ses proches mais surtout sa confrérie. Elle pourra même tuer de ses propres mains, les personnes qui font du mal à sa confrérie, c’est pour dire que la loyauté fait bien partit de son esprit. La seule chose qu’elle n’avait pas prit en compte est l’attirance, mais surtout les sentiments d’une meilleure amie amoureuse d’une personne qui l’attire étrangement. Cette personne qui l’attire est nulle autre que Nolan Hurlake, la personne qu’aime sa meilleure amie Sixteen Clarkson même si elle ne lui a pas dit mais la connaissant sur le bout des ongles comme si c’était elle qui l’avait fait, elle avait vite remarquer que Nolan ne laissait pas indifférent sa blonde. Seule chose qu’elle n’avait pas penser était que Nolan l’attirait aussi et comme son premier défaut était d’être une garce, elle fonçait. Bizarrement entre les deux là, une relation ambigüe les reliait mais au grand jamais, ils n’ont franchit le cap des baiser car quelque chose les faisaient arrêter avant : cette stupide loyauté bien évidement. Alors quand elle était entrer cher elle, avec qui elle partageait avec Grace sa cousine, Connor et Nolan, elle n’avait pas penser tomber sur ce dernier, dans un appartement totalement vide normalement à cette heure-ci. Donc elle ne fut pas surprise quand elle se retrouva un quart plus tard, contre un mur du salon et contre le corps de Nolan entrain de l’embrasser. Baiser qu’elle répondait toujours même si elle allait être en retard.
HELL— — Nolan, je n‘ai pas le temps pour ça. Dur de se convaincre d’arreter car ses lèvres étaient attirés par celle du jeune homme, qui en ce moment même l’embrassait dans son cou et qui n’hésita pas à lui dire des choses qu’elle ne ferait jamais. NOLAN — Alors pousse moi. Comme quoi, Hell pouvait rendre les armes surtout quand cet alpha l’embrassait à cet endroit là. Un gémissement sortit de sa bouche alors qu’elle reprit la parole, gardant à l’esprit qu’elle n’était pas là pour embrasser le meilleur ami de Connor, mais était là pour chercher ses livres de science politique, oubliés le matin même. HELL — Tu sais très bien, que je ne pourrais pas le faire. Une douce vérité qui fit accentuer les baiser de Nolan sur son cou où il n’eut qu’un dire qu’une phrase pour la faire rendre les armes. NOLAN — Je le sais très bien. C‘est surement cette phrase qui fit rendre les armes Hell, qui envoya aux diable ses livres de sa matière favorite.
Ils continuèrent à s’embrasser, l’une collé contre un mur et l’autre contre le corps de sa interlocutrice. Moment qui aurait put continuer bien longtemps si un téléphone n’avait pas sonner. Son téléphone qui ramena les deux étudiant à l’autre mais surtout Hell, qui poussa Nolan pour partir chercher ce qu’elle avait devait prendre : ses livres de science politique. Comme quoi, le destin s’acharnaient sur eux, mais intérieurement, la jeune femme bénissait cela car sans cela, elle aurait coucher avec l’amoureux de sa meilleure amie, chose qu’elle ne voulait pas, car son amitié pouvait être briser si ca l’entendait. Finalement, elle partit une demie heure après son arrivé dans son appartement, appartement qui était à seulement dix minutes de l’université. Et soyez sur, Hell arriva en retard à son cour, prétextant un rendez-vous avec le directeur. Excuse prise par son professeur qui l’accepta dans son cour où seul une personne qui l’aurait bien regarder, aurait remarquer les lèvres gonflés de la jeune brune, montrant par là, qu’elle n’avait pas été chez le directeur, mais avait embrasser quelqu’un. Et pas n’importe qui d’ailleurs.
JARDIN DE COLUMBIA » 14H20
Avez-vous déjà vu ou entrevu, Hell Olympia Littleton, dans un état qui lui fit perdre toute notion du temps, se fichant pas mal que sa maitrise de soit, soit partit rejoindre son père en enfer, tellement la situation l’énervait. Quiconque aurait vu Hell, à ce moment là, vous aurez dit qu’Hell était posséder par le diable en personne, tellement sa colère était grande. Quiconque aurait été dans l’un des jardin de Columbia, aurait vu sa vie arrêter et aurait prit un sprint tellement, qu’il ne voulait pas être la cible de tant de colère de la part d’Hell. Et pourtant, elle était bien là, aussi énerver que pouvait l’être une personne qui avait eu une conversation avec son père tant détester par l’enfant unique. Après être partie du couloir, ayant ranger son portable avec une telle force que son sac en peau de crocodile en avait trembler, elle était partit d’une démarche élégante et d’un regard polaire vers les jardins, à l’abri des regard. Personne n’avait vu l’état d’H depuis le jour où elle était entrer à l’université, dans la confrérie Delta. Ce que personne ne savait était qu’elle avait revu la personne qui connaissait tout ses secret dut à un stupide perturbation d’un vol direction Londres, alias Connor Montgomery aussi Delta qu’elle était. Donc quoi de plus normal que de montrer qu’une Littleton n’était pas beau à entendre quand sa maitrise de sang froid était partie. A présent, elle se retrouvait dans le même état, assise sur un banc, coude sur ses jambes et ses mains plongés sur son visage, sans que personne viennent la chercher. Seul les plus courageux viendrons, ou plutôt les suicidaires où elle eu raison quand elle entrevit diverses personnes qui partirent du jardin, comme si ils avaient l’enfer à leur trousse. Poussant un soupire, elle repensa à la discussion qu’elle avait eu avec son père, où une rage sans nom l’envahit. Comment un être aussi important qu’était son père, pouvait rendre sa fille aussi folle de rage ? La raison était pourtant très simple, se résumant à un seul mot : piano. Stupide piano qui lui fit penser qu’elle n’en avait jamais fait, et qu’elle devait l’apprendre car tout Littleton accomplissait quelque chose avec grâce et perfection, sinon c’était l’humiliation assurée. Alors qu’elle était dans ses pensées là, elle entendit plus qu’elle ne vit une personne qu’elle connaissait, étant une ses plus proche amis, à savoir Sixteen Clarkson, meilleure amie de la belle brune, qui cette dernière n’était pas d’humeur à lui parler. Dommage pour Sixteen qu’elle ne le savait pas.
SIXTEEN — Hell tu ne devinera jamais ce… Une voix cristalline comme de l’eau sortit Hell de sa rage. Voix qui lui affirmait que sa meilleure amie était heureuse. Si elle était en état, elle l’aurait souris et lui avait demander ce qu’elle savait mais elle n’était pas en état, où elle lui fit bien comprendre, en coupant la parole à Sixty. HELL — Sixteen ? Sa voix était sèche comme un rasoir, où elle ne sentit plus qu’elle ne vit, le regard surpris de la blonde à son adresse. Blonde qui lui répondit sans savoir dans quel état elle était, ayant sa tête dans son visage depuis qu’elle était arrivé à ses côtés. SIXTEEN — Oui, Hell ? Blonde qui eut pour sa visite, quand elle lui répondit d’une voix polaire, que même un iceberg aurait été jaloux de ne pas l’être. HELL — Sors de ma vue. Je ne suis pas d‘humeur à entendre un ragot même si il vient de ta bouche. Alors soit gentil, et dégage j‘ai besoin de rester seul. Bizarre de dire qu’elle était très en colère, mais elle l’était car Hell n’aurait jamais dit à Sixteen un mot tel que « dégage » étant poli dans n’importe quel situation, d’où la réponse inquiète de la blonde à son adresse qui ne partit pas comme elle lui avait gentiment demander. SIXTEEN — Hell qu‘est-ce qu‘il t‘arrive ? Parole qui fut de trop pour Hell où elle leva la tête prête à répondre d’une voix acide et polaire à la blonde, inquiète fut elle qu’elle l’était à ce moment précis. Moment qu’Hell voulait rester seul et au calme, chose que Sixty n’avait pas comprit. HELL — Je ne vais pas te le dire en grecque Sixteen : dégage de là. La réaction qu’eu Sixteen ne fut pas celle qu’entendit Hell, surtout quand elle vit le regard choqué de sa blonde.
En sentant de l’eau tombé sur sa main, elle leva la tête pour voir un ciel bleu. Alors cette goutte venait d’elle où elle essuya ses larmes de rage, car elle pleurait bien, avant de se lever et de laisser Sixteen dans le jardin, bien trop choqué - car depuis qu’elle se connaissait, H n’avait jamais verser une seule larme - pour partir loin d’elle. Des choses plus préoccupantes l’attendait, où elle partit d’une démarche fier, gardant un gémissement de douleur quand une de ses courbatures se faisait sentir pour arriver, quelque minutes plus tard dans la salle de musique ayant l’intention de jouer du piano. Mais c’est bien connu, c’était plus facile qu’a dire, qu’a faire où elle apprit à ses dépends.
SALLE DE MUSIQUE » 15h36
Elle était là, dans cette salle de musique, essayant de comprendre l’enchainement de la Symphonie n°7 de Beethoven car elle savait, que quand elle serait chez sa tante, elle n’aurait le droit à aucune erreur, aucune partition car c’était ca d’être une Littleton : savoir tout, sans avoir quelque chose pour les aider à accomplir n’importe quel tâche. Elle se demanda pourquoi elle n’avait pas envoyer promener son père à la seconde même où il lui avait ordonner de jouer du piano pour sa tante, mais au plus profond d’elle-même, elle savait qu’elle ne pourrait jamais le faire. Non par cause de peur ou qu’elle n’avait pas le cran de le faire - ça, croyez le, elle en a plus que personne d’autre dans sa famille - mais elle voulait rendre ses parents fier d’elle mais surtout de ne pas recevoir des punitions même si les dit punitions étaient pour les enfants insolant de dix ans. Alors elle était là, dans cette pièce de musique, avec pour seule compagnie le piano a queux, instrument qu’elle aurait voulu apprendre à jouer mais qu’elle n’en avait eu jamais le droit car ses parents détestait le piano pour une raison qu’elle ne connaissait pas et ne le saurait jamais. Même si elle avait l’hypothèse que ses parents n’avait pas réussit cet exploit là, où qu’ils jalousaient en secret les plus grand pianistes, la vérité ne sortira jamais de ses parents, préférant être mort que de dire pourquoi le piano est un sujet tabou. Sujet tabou que sa tante n’hésitait pas à mettre au devant de la scène, et quoi de mieux qu’Hell Olympia Littleton, pour relever le défis ? Un sentiment de haine lui prit à la gorge alors qu’elle produisait une autre erreur. La défaite n’était pas permise pour une Littleton, et au plus profond d’elle-même, elle aurait préférer ne pas être une Littleton, juste une fille normal et aimer. Alors, Hell continua à jouer, enchantant note correct sur erreur, se fichant pas mal si elle devait passer la nuit dessus. Elle se promit qu’elle sortirait de l’université quand elle aurait apprise par cœur, la partition du 2nd mouvement et pouvoir le jouer sur n’importe quel piano, aussi cher soit il. Un soupire de mécontentement franchis ses lèvres sèches et mordu, préférant avoir le gout du sang dans sa gorge, que de se mettre en colère contre un stupide objet.
La seule chose qu’elle ne savait pas, était qu’elle ne jouait pas seule, ayant son petit public où elle savait que si quelqu’un l’entendrais jouer à ce moment là, alors elle l’envoya sur les roses avec autant de force qu’elle n’avait pas donner à ses ennemis, pour la simple et bonne raison qu’elle n’aimait pas montrer quelque chose de non parfait chez elle. Elle était loin d’être parfaite, contrairement au dire de certain étudiants - et aurait préférer avoir un don pour tous instrument de musique et non qu’un seul. Oui, on la connaissait pour être une prodige au violon, pouvant jouer et accompagner, n’importe quel partition, se retrouvant même être la personne la plus jalouser des grand violonistes. Bizarrement, cette pensée là lui fit naître un sourire, alors que son ouïe entendit, encore et encore, une mauvaise note. Un son désagréable se fit entendre dans la salle de musique, quand elle mit ses deux mains à plat sur les touches du piano, se fichant pas mal si elle brisait des cordes dans le mécaniste. Ses yeux se fermèrent un instant, reprenant contrôle d’elle-même, s’humidifiant ses lèvres rougeâtre par trop de sang perdu, pour les rendre moins sèches qu’elle l’était déjà. Elle ne savait pas combien de temps elle était dans cette salle de musique, et elle s’en fichait comme sa première chemise acheter dans une quelconque boutique. La seule chose qui lui importait, était devant ses yeux : jouer à la perfection cette symphonie, aussi compliqué que l’était l’art du piano. Un gémissement de douleur franchit ses lèvres gercés, quand elle fit un mauvais mouvement, lui faisant de nouveau ressentir les courbatures et les bleu qu’elle avait dans le dos et sur une bonne partie de son corps caché par une couche de vêtement aussi cher que pouvait être les vêtements de gosse de riches. Un silence royale prit possession de la salle de musique, brisé par une phrase si véridique pour elle. Un « je le déteste » qui montrait a quel point, elle haïssait son père pour ce qu’il était, où elle ne sera pas surprise si c’était son père qui avait demander à sa tante ivy de lui faire jouer du piano, pour une ultime humiliation. Humiliation qui n’arrivait que rarement mais qui donnait un coup à sa fierté mal placé. Alors qu’elle allait reprendre là où elle était - autrement dire, rien du tout -, elle sentit plus qu’elle ne vit quelqu’un dans son dos. Un corps masculin, a ce qu’elle put sentir quand son dos entra en contact avec le torse du jeune homme. Torse qui appartenait à la dernière personne qu’elle ne préférait pas voir à ce moment là : Connor Montgomery, Dom Juan de New York mais surtout la personne qui en savait beaucoup trop sur son compte, qu’il ne le devrait.
Alors quand ce dernier passa ses bras pour permettre aux mains masculine du jeune homme, de se poser sur le clavier, elle sentit son heure arrivé. Comment une journée aussi banale pouvait se finir mal ? Elle eut un sourire moqueur intérieurement, quand elle trouva sa réponse en elle-même : avoir Connor Montgomery, présent qui l’avait écouter une chose remplîtes d’erreur. Bizarrement, elle qui entendait son heure arrivé avec les remarques sarcastique du jeune homme, elle entendit autre chose, des paroles qui l’aurait put l’étouffer si elle n’était pas surprise du ton du jeune homme qu’il l’employait vers elle, mais surtout de la douce et parfaite musique qui raisonnait à son erreur. Sa fierté prit un nouveau un coup, quand elle constata que même lui - surtout lui - jouer mieux qu’elle. Un sentiment de jalousie s’encra dans son esprit, alors que son ouïe écouta les paroles du jeune homme avec tant de sérieux, qu’elle fut surpris.
CONNOR — Tu es trop loin du clavier, ça te fait perdre de la souplesse et donc te fait louper pas mal de notes dit-il posément, comme s'il tenait vraiment l'aider à s'améliorer. Il l'aida alors à avancer légèrement son tabouret puis il passa ses bras autour d'elle pour avoir accès aux touches du clavier et joua quelques notes du morceau de la partition qu'ils avaient sous les yeux. Parfait conclue-t-il après avoir joué.
Avez-vous déjà connu une situation où le silence est roi mais surtout très pesant ? Ce genre de situation qui vous fait dire les premières paroles qui arrivent dans votre esprit, n’aimant pas le silence qui s’était installer. Voila dans quel genre de situation était Hell après que Connor avait fini de jouer les quelque notes, mais d’une simplicité étonnante. La seule chose qu’elle n’aimait pas était ce silence, alors elle le brisa à sa manière : par méchanceté, et montrant sa fierté mal placé au grand jour, car même si elle aurait aimer l’aide du jeune homme, qui l’avait fait avancer de son tabouret pour être proche des touches, une Littleton ne demandait jamais de l’aide surtout pas celle d’une personne comme son interlocuteur. Alors, sans le faire exprès, elle posa une main sur le clavier, ne quittant pas le clavier une seule seconde de son regard chocolat - créant un son désagréable à entendre, mettant plus d’effet dans ses paroles, n’ayant pas remarquer la situation présente, qui les rendaient très proche pour rien du tout. Fierté et mauvaise foi, ses deux et troisième prénom, vous le saviez ? Soyez sur, que le Dom Juan le savait mieux que quiconque, connaissant sa fierté légendaire depuis qu’ils se connaissaient tous les deux. Une fierté qui la surprit quelque peu, car ses paroles n’étaient pas aussi froide qu’elle l’aurait voulu. Non, ses paroles étaient neutre, avec un arrière fond de lassitude, qu’elle se surprit elle-même à ressentir.
HELL — Je n‘ai besoin d‘aide de personne .. Et même si elle aurait préférer se couper la langue que de lui dire, elle avait besoin d’aide. Mais son éducation lui avait interdit et cela l’énervait quelque peu d’où sa reprise de conversation d’une voix froide qui se laissait douter de conviction. surtout pas de la tienne. Fierté mal placé, alors pourquoi entendait-elle sa voix devenir lassante, comme si elle n’avait plus de force de lui parler, tellement la fatigue et l’énervement était dans son esprit, à cet instant là. La seule chose qu’elle ne remarqua pas était qu’elle appuya son dos contre le torse du Dom Juan même si ca lui faisait plus de mal que du bien où remarquant toujours les mains masculine de C dans son champs de vision, elle fit une chose insensé : elle reprit la parole en faisant un geste de tel sorte qu’elle montrait qu’elle n’avait pas besoin de lui : en lui enlevant sa main droite par une tape horizontale de sa part, espérant ainsi le faire partir. Tu n‘as pas mieux à faire que de rester ici ? Genre allez en cour, ou mieux fait ce que tu arrive le mieux : trouve toi une étudiante, emmène là dans une salle de classe vide ou un placard a balai, coucher ensemble mais surtout oublie moi, deux secondes et sort de cette salle. Voix sèche qui avait un ton de lassitude.
Mais s’était sans compter l’entêtement et ;la détermination du jeune homme qu’il ne bougea pas d’un poil où la pensée qu’il était décider de lui apprendre cette pensée arriva dans son esprit. Chose qu’elle ne voulait pas officiellement mais qu’elle voulait intérieurement. Alors, elle soupira de nouveau en colère, tournant la tête de tel façon, a pouvoir encrer ses yeux dans ceux d’un marron virant sur le noir, de Connor. Bizarrement, il ne la regardait pas avec moquerie mais avec un tel sérieux qui lui coupa la parole, au point de fermer ses lèvres, gardant un sarcasme au fin fond de sa gorge, tellement la situation était surprenante.
Mais ce n’était pas cela, qui lui fit demander pourquoi, dans les minutes qui suivent, qu’elle allait retrouver dans la plus magnifique des situation que l’être humain à créer sur terre : en l’embrassant d’une tel possessivité et d’un tel passionné, qu’elle ne crut jamais capable d’arriver à le produire surtout envers la personne qu’elle détestait pour lui faire ressentir des sentiments qu’elle ne devrait pas ressentir, surtout avec un homme tel que Connor Montgomery.