atheyna . mon nom suffit déjà à me décrire

© bazzart-up

Atheyna Holly Callahen

20 ans- Économie & Droit - Célibataire
ALPHA

(a) Katie Casidy
Je m‘appelle Atheyna et je suis né à New York, le 13 janvier 1990. Je suis enfant unique et je vis dans un milieu très aisé, il faut pas se le cacher. Je suis d’origine américaine même si cela ne se voit pas. On me surnomme Atheyna mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont être drôle, sympa, fêtarde et la provocation est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que être une sale garce, une fille méfiante pour peu et on peut dire que ce dernier est mon principal défaut. Je suis hétérosexuelle et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations d’une nuit. Mon rêve est de reprendre les affaires familiales et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime ma confrérie, sortir, boire, m'amuser avec mes amis, faire les magasins, lancer des défis et en recevoir mais je n’aime pas ses petites gamines qui veulent ressembler à tout le monde et n'importe qui, les petits intellos insupportables au devant de la classe et ... les gens qui me disent "non" alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : je n'en ai pas, à quoi bon en posséder? Autant ne rien cacher. Je suis entrée dans la confrérie ALPHA car je fais partie de ses élites que tout le monde envie, des jeunes friqués à plein nez et puis on avait besoin de moi, que serait la confrérie sans moi. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est une ville pleine de rebondissement, je ne cesse de découvrir de nouveaux endroits sympas, des rencontres extraordinaires. Une ville complètement enrichissante. Je suis plus alcool et niveau piercing et tatouage, comme certaines personnes diront ce n'est pas mon "trip". Marquer à l'encre indélébile ou se piercer le corps est futil. Vous vous retrouverez bien idiot avec écrit sur l'épaule "Je t'aime Cassidy" alors qu'elle vous a quitté. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux.

© crédit

« Il était une fois une princesse qui cherchait désespérément son prince, jusqu'au jour où elle le rencontra lors d'un bal de charité. Leurs regards se croisèrent, leurs mains s’échangèrent. Ils avaient compris que leur avenir était lié. Lui, grand, blond, charmeur et élancé ; et elle, magnifique, perçante de par ses yeux et déterminée. Ils tombèrent littéralement sous le charme l'un de l'autre. Puis pendant quelques temps, chacun se fit la cour, se séduisirent et enfin se conquirent pour le bonheur de chacun. Au bout de quelques années, ils décidèrent de se marier. Ils eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps... FIN.»

Vous croyez aux contes de fées vous ? Moi non. Je m’appelle Atheyna Holly Callahen et je suis née un 13 janvier 1990 sous la froideur de l'hiver, dans la ville la plus connue des Etats Unis : New York. Mes parents étaient tous les deux entrepreneurs de grande renommée à l’époque et qui promettaient de faire fortune ensemble, ce que j’ignorais encore à cette date. La seule chose que je savais c’était que je serai fille unique. Apparemment, ils ne désiraient qu’un seul enfant, symbole de leur amour passionnel. Oui un amour très passionnel, dans le sens où, en oubliant le conte que je vous ai raconté au début qui découle des rêveries de gamines de dix ans, leur histoire s’est passée beaucoup plus rapidement. J’avoue ils se sont bien connus dans un bal de charité alors qu’il n’avait que 20 ans. Ils étaient jeunes et profitaient de cette jeunesse à bonne escient comme je profite de la mienne à leur âge. Tous les deux jouissaient des bienfaits de la drogue, de l’alcool et du sexe. Jusqu’à ce soir venu où ma mère fut enceinte. A partir de cette date, tout dû s’arrêter. Adieu les fêtes, les romances, il fallait s’accrocher à la seule chose qui leur promettait un avenir : moi et l’université. Neuf mois plutard, je venus au monde avec à la clé, pour mes parents, leur diplôme et une petite fille.

Tout semblait se passer comme dans un conte de fées. Tout commence toujours comme ça! Des parents hypnotisés par les mimiques et les sourires de leur petite protégée, on coulait des jours heureux ensemble, jusqu'au jour où ils comprirent que cela ne suffisait pas pour vivre. Ils se rendirent compte qu'un diplôme ne serait pas la conséquence d'un succès prometteur pour eux. Ils se lancèrent tous deux dans leur étude me délaissant alors soudainement. Je me retrouvais seule à occuper mes journées comme je le pouvais. Heureusement pour moi, après l'école, Matilda était là. Elle était l'unique personne avec qui je me sentais bien, la seule personne qui me comprenait si bien et savait panser mes blessures. Elle était celle qui m'avait appri, vu et admiré pour mes premiers pas, mes premiers mots, la première fois que je me mis à vélo. Elle était plus qu'une domestique, elle était mes parents. Si c'est vous dire, si je reconnaissais mes parents lorsqu'ils rentraient d'une réunion après leur boulot.

Je me rappelle peu de mon enfance… Surement parce qu’elle fut courte. J’ai du grandir plus vite que les enfants de mon âge. Je compris donc très vite ce que signifiait les larmes que la domestique de la maison avaient lorsqu’elle venu vers moi. Mes parents venaient de virer Matilda. On m'enlevait la première personne avec qui je m'étais liée d'amitié, la seule personne que je voyais en rentrant à la maison. Elle. Je n’avais à peine 10 ans et on m’enlevait mon amie.

A partir de là, je compris alors qu'il était important d'être indépendante, à faire confiance à quelqu'un. Grace. Voilà la seconde personne qui fit rayonner mes journées. A vrai dire, je la connaissais depuis la maternelle. Et depuis le jour où Matilda était partit de la maison, je remplissais mes fins de journées avec elle. C'est avec elle que j'ai grandi, même chez elle. Je m'y sentais mieux que chez moi. Chez moi tout était vide et sans vie. J'avoue que ca me faisait peur. Alors soit Grace venait dormir à la maison, ou soit je dormais chez elle. Et durant ses séjours chez l'un et chez l'autre, des confidences se faisaient à propos de tout et de rien: mes parents, les cours, mon premier amour, mon premier baiser, ma première fois puis mes coups d'un soir. J'ai tout parcouru avec elle, c'est elle qui m'a tout fait découvrir, je lui dois tout, elle m'a sauvé. Je la considère comme ma soeur, ma meilleure amie, ma confidence, la seule en qui je peux réellement avoir confiance, ma queen. Mais n'exagérons pas, j'ai besoin d'elle comme elle a besoin de moi. On est rien sans l'une et l'autre [ rires ].

Comme je vous ai dit, j'ai passé mon adolescence avec Grace mais aussi quelques petits sujets. Des personnes qui ne jouent pas de rôle conséquent dans nos vies mais qui nous enlève un poids aux épaules On peut dire que ce sont nos toutous Pas besoin de dessins pour ça, si? Biensur mise à part ça, pleins de choses ce sont passé dans ma vie, durant mon adolescence, je me suis pas mal... dévergondée! Je me suis mise à sortir un peu partout, dans les bars, des clubs branchés, je me suis mise à voyager tôt avec Grace et quelques amis. J'ai aussi fait la rencontre de nombreuses personnes en étant sur New York comme Jaxhuem... Même si tout présagé que ce n'était l'affaire que d'une seule nuit, les choses se corsèrent. On s'est trouvé pas mal de points communs, des habitudes... On s'est alors retrouvé plusieurs fois chez lui, chez moi, ailleurs... Il ne s'agissait pas de sexe ici, même si j'en avais l'habitude par moment avec certains, là c'était différent. Il était différent et attentionné mais aussi avec un charme à faire fondre... Je me demandais même quelle foudre m'avait frappé pour tomber littéralement de lui. C'était inexpliqué, inconcevable. Moi la garce, la manipulatrice... Il m'avait changé... Jusqu'au jour où je découvris ce qu'il me cachait... C'était en septembre dernier... Il me trompait. Moi qui avait pensé que son côté séducteur et coureur de jupons était parti, j'avais tord. Je l'ai quitté! Que voulez vous? Je ne supporte pas d'avoir été trahi... Rah eh puis l'essaie tomber [ sourit ] C'est de l'histoire ancienne.

Maintenant j'ai repris ma vie. Ce n'est qu'un garçon parmi tant d'autres non? Je continue à vivre après tout et je m'investis vraiment mais vraiment beaucoup dans mes études, si vous voyez ce que je veux dire... Avec ça, pas besoin de faire l'intello au devant de la classe pour décrocher une bonne note. J'ai mes astuces!
Pour ce qui est de mon come back dans la vie de célibataire, ma passion refut les hommes, les hommes et encore les hommes. Quoi de mieux qu'un homme pour oublier? Redevenir manipulatrice, briseuse de coeur et fille d'un soir redevient mon péchés mignons... Faites attention les filles, garder bien vos hommes en cage...

Ta musique du moment

TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :

▬ Ton plat préféré ; Sushis, porc au miel, nouilles... Toutes sortes de plats chinois

▬ Ta chanson préférée ; Rude Boy de Rihanna

▬ Ta couleur préférée ; Rouge

▬ Ton livre préféré ;

▬ Ton film préféré ; Sex and the City

▬ Ta ville préférée ; Paris

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TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :

▬ 1ere attaque : le réveil

Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vie chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.

Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ? Je sors de ma chambre en furie et je le jette dehors avec de quoi s'acheter son petit déjeuner et me laisser en paix
Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ? La pendaison est une faible sentence, il lui faudrait une mort lente et pénible...
Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ? Ne jamais partager un appartement et penser à faire accélérer les travaux de ma nouvelle villa.

•• NOM ; PSEUDO : Justine
•• AGE ; 19 ans
•• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; Par un autre forum
•• PV OU POSTE INVENTÉ ; Pv
•• PRÉSENCE ; 4 sur 7 jours
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