« you know i would walk a thousand miles if i could just see you, tonight » • JBE

©rosie lullaby

Jules Brooklyn Everleigh

vingt-et-un ans - littérature, option musique - célibataire
EPSILON

(a) minka kelly

Je m‘appelle Jules Brooklyn Everleigh et je suis né à NY, le quatre mars. J'ai un grand frère et je vis dans un milieu aisé. Je suis d’origine asiatique même si cela ne se voit pas. On me surnomme Brooke ou Ju` mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont d'être généreuse, souriante et le fait d'être extravertie est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que la méfiance, d'être lunatique et têtue et mon impulsivité est mon principal défaut. Je suis hétérosexuelle et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations d’une nuit. Mon rêve est de trouvr la stabilité, et simplement de réussir ma vie et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime sortir, faire la fête, l'insouciance, la musique, le chocolat mais je n’aime pas les araignées, l'hypocrisie, le travail mal fait et les dragibus noir alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : je suis enceinte, mais je compte avorter, enfin je crois. Je veux entrer dans la confrérie Epsilon car je ne suis pas la reine, je ne veux pas l'être. je ne cherche pas à être la meilleure, je veux juste étudier et m'amuser en même temps. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est ma ville natale, et j'y suis très bien. j'en connais tous les recoins. Je suis plus alcool et niveau piercing et tatouage, je n'en possède pas. je pense que ça ne m'irai pas du tout. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux.

©inconnu

New-York, États-Unis.
Quatre mars mille neuf cent quatre-vingt huit. Aujourd’hui est un jour spécial, celui de ma naissance. On pourrait d’abord se dire que c’est un évènement heureux, toute la famille est réunie autour d’un joli bébé en bonne santé. Mais tout ne s’est pas déroulé de cette manière concernant ma naissance. Tout d’abord, j’allais vivre dans une famille monoparentale. Bon je sais, c’est quelque chose de courant de nos jours, mais en général, cela se fait après que l’enfant soit arrivé. Pour ma part, cela s’est déroulé pendant que j’étais en cours de création. Quand ma mère était enceinte quoi. Alors qu’elle entrait dans son quatrième mois de grossesse, une violente dispute éclata entre mon géniteur et elle-même. Sûrement la dispute de trop, puisqu’elle eut raison de leur couple. Le jour même, ma mère partit chez une de ses amies, pour oublier tout ça et se faire chouchouter un peu, histoire de se plaindre, et le soir, lorsqu’elle rentra dans le petit appartement qu’elle partageait avec mon géniteur, plus personne. Aucune trace de lui, c’était comme si elle avait toujours vécue seule. Il ne lui restait plus que les photos pour pleurer le souvenir de son amour perdu. Depuis ce soir là, elle n’eut plus jamais de nouvelles de lui, elle essaya bien de l’appeler, d’avoir des nouvelles, et des explications, mais apparemment, il avait effacé toute trace, changé de numéro, et même de ville. La jeune femme se retrouva donc seule, enceinte de quatre mois, sans vraiment d’aide. Elle ne pouvait compter que sur elle-même. Elle se réfugia donc chez ses parents, même si ses relations avec sa mère étaient plutôt tendues. Le trois mars, ma mère dut être transportée à l’hôpital pour des complications. En effet, je n’avais pas tellement envie de sortir du ventre de ma mère, j’aurais dû naître six jours plus tôt. A force de faire ma tête de mule et de refuser de sortir, j’ai mis en danger à la fois la vie de ma mère mais aussi la mienne. Après vingt-deux heures de dur travail, je vis enfin le jour, aux alentours de dix heures et quatorze minutes. Ma mère décida donc de m’appeler Jules Brooklyn, pas à cause de quelqu’un ou de quelque chose, mais tout simplement parce qu’elle adorait ces deux prénoms. J'avoue que mon prénom fait assez garçon, c'est pour cela que tout le monde m'appelle par mon deuxième prénom. Nous recevions régulièrement la visite de mes grands-parents maternels, mais aussi des amis de sa mère. En effet, cette bande d’amis que la jeune femme connaissait depuis très longtemps était comme sa famille. Enfin bref, pour résumer mon enfance et ne pas en faire tout un plat, j’ai eu une enfance heureuse, assez banale. Ma mère étant issue d’une famille assez riche, nous n’avions pas de soucis financiers, mais en ce qui concerne le moral.. Il n’était pas présent en permanence. En effet, il arrivait à ma mère d’avoir des coups de barre, durant lesquels elle craquait un bon coup. Souvent, ces moments de solitude apparaissaient lorsque la petite fille que j’étais posait des questions par rapport à mon père. Voyant les autres enfants avec un homme, par exemple à la sortie de l’école, je me demandais pourquoi moi, je n’avais pas le droit à cette présence masculine. Je questionnais donc ma mère qui ne me donnait qu’une seule et unique version.

- « Maman, pourquoi moi j’ai pas de papa ? »
- « Blue’.. Tu es malheureuse ? »
- « Non maman, mais pourquoi il n’est pas là ? »
- « Il.. Il est au ciel ma chérie. Il a eu un accident, avant que tu viennes au monde. »
- « Alors, je pourrais jamais lui offrir de cadeau, à la fête des pères. »

A cette époque, j’avais six ans. Je pensais que la vie m’avait enlevé mon père, un de mes repères. Je ne savais pas qu’il était bel et bien en vie, mais qu’il avait tout simplement refusé de me voir lorsque ma mère lui avait appris ma naissance. Il avait décrété que comme il avait refait sa vie avec une autre personne, nous n’avions plus rien en commun. Mais bon, ma mère m'avait dit qu'il était mort, donc, dans tous les cas, il pourrait bien être vivant, à mes yeux, il serait comme inexistant. Un père n'abandonne pas son enfant de la sorte, c'est tout simplement lâche.

Vingt-deux mars deux mille sept. Aujourd'hui, j'étais au lycée, comme d'habitude, je m'ennuyais fermement en cours de mathématiques, cette matière que je déteste, parce que je rame tellement que j'ai l'impression d'avoir traversé l'océan atlantique au moins une dizaine de fois. Mais aujourd'hui, un événement vient perturber le cours. Le proviseur entre dans la salle, et nous annonce qu'un nouvel élève fait son arrivée dans notre classe. Il s'appelle Cameron Hamilton, est âgé de dix-neuf ans, et vient tout droit d'Angleterre. Ça m'intéresse. Je relève le nez de mon bureau, et là, c'est comme dans les films. Tu sais, quand y'a le ralenti qui se met en marche, avec la fille qui a les yeux braqués sur le mec. Ben la fille, c'était moi. Un vrai coup de foudre. Mais bon, je fourre à nouveau mon nez dans mon algèbre, et je deviens toute rouge. J'ai croisé son regard, il a du remarquer que je le fixais. Une fois le cours terminé, je m'en vais telle une flèche, et après ça, je ne cherchais plus vraiment à croiser ce nouvel élève. Je n'étais qu'une élève banale, et c'est bien connu, quand les nouveaux arrivent, ils se rapprochent plus des élèves populaires, pour se faire connaître, plutôt que la fille qui aime la littérature et qui n'es pas spécialement populaire. Je n'étais pas non plus une de ces filles rejetées, qui ne rapportait que des bonnes notes et qui ne pensait qu'à ses études. J'étais invitée aux soirées, je connaissais pas mal de monde, mais voilà, je n'étais pas la reine de beauté.
Et au départ, c'est effectivement ce qu'il se passa, Cameron se fit entraîner par ces hyènes, et intégra même l'équipe de football. Il était fort, et avait toutes les pom pom girls à ses pieds. Mais alors qu'un jour, j'étais en train de lire tranquillement sur un de ces bancs que l'on trouve à l'extérieur du lycée, je sentis une présence à mes côtés. Pourtant, je n'attendais personne. Je tourne la tête vivement, et me retrouve bête quand je le vois, lui, à mes côtés.

- « Salut, ça fait un moment que je veux te parler, mais je me fais intercepter à chaque fois. Cameron, dit-il en me tendant la main. »
- « Hum.. Salut, Brooklyn, répondis-je en serrant la main qu'il me tendait. Pourquoi tenais-tu tant à me parler ? »
- « J'sais pas, tu m'intrigues. Je te vois à la fois à toutes ces fêtes auxquels les élèves les plus populaires sont invités, mais en même temps, j'ai l'impression que tu es assez.. solitaire. »
- « Du tout, c'est juste que j'aime lire, et qu'en général, ça se pratique.. seule. Mais j'aime faire la fête, je ne suis pas une reine, mais je m'amuse aussi. Disons que je suis.. entre les deux. »
- « D'accord, ça me va. Demain, 20H chez toi. »
- « Quoi? Qu'est-ce qui te fait dire que j'en ai envie? »
- « Je sais que tu en as envie, autant que moi. Et tu seras prête, tu verras. »

Le jeune homme disparut ensuite parmi la foule d'élève, et je le regardais partir, un sourire aux lèvres. J'aimais son culot, et il me plaisait vraiment. Le lendemain, effectivement, j'étais prête à 19H30, et j'attendais nerveusement pendant une demi-heure Cameron, me demandant s'il viendrait vraiment ou pas. Ce dernier arriva pile à l'heure, et fut galant durant toute la soirée. Cette soirée, je ne l'oublierais jamais, tout fut parfait, et puis, ce fut notre premier baiser. Depuis, ce soir là, nous ne nous quittions plus. Ma popularité monta en flèche, mais je m'en moquais. Tout ce qui m'importait était d'être avec lui.

Aujourd'hui. Je ne me souviens plus exactement de la date, mais Cameron a rompu avec moi, il y a deux mois de cela. Nous venions de passer la nuit ensemble, chez moi. Je l'avais senti distant. Je ne sais pas pourquoi, je ne comprends pas. Cela faisait presque trois ans que nous étions ensemble. Toute la soirée, il fut distant, et au moment d'aller nous coucher, son comportement changea, nous nous étions « réconciliés sous la couette » et ce fut d'ailleurs la dernière fois que j'eus l'occasion de sentir sa peau contre la mienne. Le lendemain matin, il n'était plus là, il m'avait laissé une lettre sur l'oreiller. Froide. Courte. « N'essaie pas de ma chercher. Je suis désolé. Tout est terminé. » Ces mots me brisèrent. Il n'avait aucune raison de faire cela. Encore à Noël dernier, tout allait bien, il était attentionné.
Depuis, je n'eus plus goût à rien, je me concentrait uniquement sur mes études, sur ma musique, mon piano. Le soir, je sortais, buvais et il m'ait même arrivée de me drogué. J'enchainais les relations, qui ne durait pas plus de deux semaines, mais par contre, je ne couchais jamais avec ces garçons pour qui je n'éprouvais absolument rien. J'essayais simplement de me rassurer, de me prouver que je pouvais avoir qui je voulais, mais il n'y en avait qu'un seul dans mon cœur. Où est-il ? Que fait-il ? Pourquoi m'a-t-il quitté ? Toutes ces questions sans réponses. Le problème est qu'il y a une semaine, j'ai appris quelque chose. Je suis enceinte, de lui. Ça ne peut être personne d'autre. Il est l'unique. Or, maintenant que je sais cela, je ne compte pas rester sans nouvelles, le laisser s'échapper de la sorte. Il doit savoir, et je n'avorterais que si je suis sûre qu'il soit au courant. Je ne peux pas. Et de toute façon, si j'en viens à garder cet enfant, il ne grandira pas sans connaître son père, comme moi. Je dois tout faire pour le retrouver. Seulement, je n'ai plus beaucoup de temps..

Alanis Morissette • Ironic

TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :

▬ Ton plat préféré ; les gnocchiiiiiiis

▬ Ta chanson préférée ; il n'y en a pas qu'une, ça dépend de l'humeur..

▬ Ta couleur préférée ; le rose, le violet, le noir.

▬ Ton livre préféré ; je pourrais lire Roméo et Juliette une centaine de fois.

▬ Ton film préféré ; N'oublie Jamais.

▬ Ta ville préférée ; J'aime NY, mais j'aimerais partir à Camberra, ou à Paris.


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TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :

▬ 1ere attaque : le réveil

Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vit chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuner, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.

Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ? C'est simple. Deux adjectifs; je suis impulsive, et pas du tout, mais alors pas du tout matinale. Il me faut mon quart d'heure pour me réveiller. Là, s'il me réveille d'un coup, en criant, et pour une raison non valable, je me lève, je hurle à mon tour, et je le gifle sûrement. Çà, c'est le genre de situation qui a le don de me faire sortir de mes gonds.
Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ? Je sais pas. Je ne m'occupe pas vraiment de ça, mais je ne pense pas. Et si on condamne un innocent et qu'il meure. Et si on s'en rend compte, mais c'est trop tard, il est mort..
Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ? Ne JAMAIS réveiller Brooklyn brutalement.

•• NOM ; PSEUDO : boo' •• AGE ; dix-huit ans •• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; par publicité •• PV OU POSTE INVENTÉ ; inventé •• PRÉSENCE ; aussi souvent que je le peux. •• NIVEAU RP ; un exemple en spoiler •• COMMENTAIRES ; nope •• AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT ; oui. •• CODE DU RÈGLEMENT ; Code bon by King C :]

Tous Droits Réservés.
Mise en page by Morgane
DONT TOUCH!

Bienvenue a toi =DD
Merci de t'être inscrite
Bonne chance pour ta fiche

Vanessa Hudgens est déjà prise ( poste vacants ) par BJ S. Carpenter

en gros, c'est une jeune femme un peu banale, qui a appris il y a peu qu'elle est enceinte, mais elle ne veut pas avorter avant d'avoir retrouver le père, qui est l'homme qu'elle aime plus que tout. bref, en quelques mots, généreuse, impulsive, lunatique, fêtarde, intelligente, extravertie, méfiante. je penche moi aussi plus pour ces deux là, mais j'hésite encore..

Même avis que Grace et Calypso, Minka est mieux ^^