ABIGAIL marsera in the place

© fanny & wild hope

ABIGAIL lilya Marsera

21 ans - Photographie - Situation amoureuse complexe
EPSILON

(a) Jessica Szohr
Je m‘appelle ABIGAIL MARSERA et je suis née en Espagne, le 14 Juin. Je suis enfant unique et je vis dans un milieu plutôt aisé. Je suis d’origine espagnole et américaine même si cela ne se voit pas. On me surnomme Abby ou Bibi mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont créative, amusante, intelligente, compréhensive, souriante, calme, indépendante et ma détermination est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que rebelle, déjantée, trop franche, colérique, tête-en-l'air, têtue et être enfant gatée est mon principal défaut. Je suis hétérosexuelle ~~mais curieuse~~ et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations d’une nuit vite oubliées et je suis une personne qui a peur de l'amour. Mon rêve est de devenir photographe, évidemment et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime la photographie, rire, le café, boire toute la nuit, le sexe, les smarties rouges, les mets asiatiques, qu'on ne me marche pas sur les pieds, la chaleur, les cerises, les hommes, le soleil, les marques Puma et Adidas, voyager, les arts, etc... mais je n’aime pas le froid, le fromage, les disputes, les sciences, les voitures, oublier ce que j'ai fait la nuit dernière, les gars machos, les matins où l'on doit se lever à 5h, le maquillage, la drogue, etc... alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : J'ai déjà couché avec une autre fille. Je suis dans la confrérie EPSILON car même si je suis rebelle, je n'aime pas me chicaner avec les gens et je suis du genre à régler les problèmes plutôt que les créer. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est une ville, quelle question... Non, sans blagues, pour moi, New York est vraiment géniale surtout pour toute l'activité qu'on y retrouve. Times Squares et Greenwich Village sont des endroits que j'adore. Même si c'est un peu pollué et dangereux, cette ville est mon âme soeur. Je suis plus alcool et niveau piercing et tatouage, j'ai un petit tatouage sur le coté du bassin mais c'est bien assez... et puis je n'aime pas les piercings. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux.

WE ARE THE CHAMPIONS - Queen

TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :

▬ Ton plat préféré ; Les sushis

▬ Ta chanson préférée ; Hallelujah de Cohen

▬ Ta couleur préférée ; Le turquoise

▬ Ton livre préféré ; Aucun, j'aime pas lire...

▬ Ton film préféré ; Ah! Ça par contre, c'est dur à répondre... disons Sunset Boulevard de Billy Wilder

▬ Ta ville préférée ; Berlin, sans hésiter!

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TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :

▬ 1ere attaque : le réveil

Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vie chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.

Question 1 : Quelle est ta réaction? Intérieurement, je suis super frustrée mais je préfère lui dire de se calmer et qu'à la place de céréales, on aille manger ensemble le petit déjeuner dans un bon petit resto.
Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ? Seulement pour les criminels de guerre... pas pour une boîte de céréales et un café...
Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ? Faire les courses avant qu'il ne reste plus à manger...

•• NOM ; PSEUDO : Vicky ; Cookie ; Thalynette pour miss Mckelly
•• AGE ; 18 ans
•• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; Par un email
•• PV OU POSTE INVENTÉ ; OUI
•• PRÉSENCE ; 4/7 jours
•• NIVEAU RP ; Bonne, mais je n'ai pas d'exemples désolé.
•• COMMENTAIRES ; ///
•• AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT ; Oui
•• CODE DU RÈGLEMENT ; Code bon by King C :]

© mpgirl livejournal

CHAPITRE UN. HAUTE COMME 3 POMMES.

MONSIEUR MARSERA - Souriez!

Un homme tenant un appareil photo très vieux et poussiéreux fait signe à 5 jeunes filles de se placer bien serrer pour la photo. Les vêtements des jeunes filles sont déchirés et sales mais elles semblent très heureuses. Le père pose l’œil contre l’appareil et prend une photo, puis une autre. Au centre des cinq petites filles figure Abigail. Elle est la plus jeune de ses 4 sœurs. Leur mère n’est pas là car elle est décédée d’une maladie quelques années plus tôt, quand Abigail avait 3 ans. Cette petite famille pauvre vivant en Espagne avait tout perdu à la mort de leur mère, qui leur avait promis de les amener en Amérique. Mais la maladie l’avait empêché de réaliser ce rêve et avec sa mort, un avocat mal intentionné avait réussit à mettre la main sur l’héritage, laissant sans le sous toute la famille Marsera. Malgré leur pauvreté, les petites filles étaient les plus heureuses enfants du monde. Pourquoi? Leur père les amusait et s’occupait extrêmement bien d’elles. Même si il n’arrivait pas à faire beaucoup d’argent, il souriait toujours. Au fond de lui, il rêvait de pouvoir gâter ses filles comme des princesses. Les gens se font une mauvaise idée de l’Espagne car ils ne vont pas dans les villages pauvres et croient que tous les espagnols sont bien nantis… mais c’est faux. La preuve : La famille Marsera. Mais pour eux, la richesse, ce n’était pas le bonheur. Ils avaient une belle famille et s’adoraient tous. Qui aurait cru qu’Abigail est née dans un milieu où elle devait fouiller les poubelles… Personne et elle n’en a pas honte.

CHAPITRE DEUX. À TRAVERS LE FEU.

Un 14 décembre, alors qu’Abigail avait 11 ans, un drame est arrivé. Alors qu’elle revenait de l’école, la seule chose que leur père pouvait leur payer, la jeune espagnole trouva sa maison (enfin ce qui ressemble à une maison) en flammes. Des cris déchirants lui parvenaient de la rue et elle resta figée là sans pouvoir réagir. Après quelques secondes qui lui parurent une éternité, son père et une de ses grandes sœurs jaillirent de la maison. Du feu chatouillait les bras et les jambes de sa sœur et son père était couvert de poussière et de fumée. Il se jeta par terre sous les yeux de la petite Abby et tenta d’éteindre les flammes qui tuaient peu à peu Lena, la cadette. Quand il réussit, il la couvrit d’une couverture et leva les yeux sur Abby. Il venait tout juste de la remarquer. Et elle n’avait toujours pas bougé. Il se leva pour la prendre dans ses bras mais Abigail s’enfuit vers la maison qui brûlait alors qu’un autre cri s’élevait. Abigail s’époumona pour dire qu’elle venait les aider mais son père la rattrapa et l’empêcha d’entrer dans la demeure détruite. Des larmes plein les yeux, Abigail hurla sa douleur. C’est alors qu’elle s’effondrait dans les bras de son père que les policiers arrivèrent. Malheureusement pour Lena, elle ne survécut pas à ses brûlures malgré tous les efforts du père. Il ne restait plus que Monsieur Marsera et Abigail. Ils avaient tout perdu… leur maison, leurs sœurs et filles et leurs biens. Plus d’argent… Monsieur Marsera devait tout recommencer à zéro, déjà qu’il n’était pas allé très loin. Au moins, il ne tombait pas de haut. Le 17 décembre, 3 jours après le drame, désespéré, Monsieur Marsera décida d’aller acheter deux billets de loto avec les 4,33$ qui lui restait…

CHAPITRE TROIS. UNE CHANCE SUR DEUX.

MONSIEUR MARSERA - Abby!!! J’ai gagné! mon billet est gagnant!

La nuit du 17 décembre, Monsieur Marsera réveilla sa fille, complètement fou de joie. Il prit la fragile petite fille dans ses bras et sauta partout. Il lui montra un des deux billets. Il était inscrit : Felicitaciones (Félicitations). Un peu plus haut, le gros lot était écrit en grosse lettre rouge… 10 millions de dollars… À cet âge, Abigail ne comprenait pas la valeur de cet argent. Mais voyant que son père était heureux, elle l’était elle aussi. Bref, Monsieur Marsera empocha le gros lot et devient riche… mais à quel prix… Abigail n’a jamais su que penser de cet argent si facilement gagné au prix de la vie de 4 jeunes femmes superbes. Pendant longtemps, elle n’a pas voulu suivre son père à Madrid mais elle a finalement accepté. Ils ont aménagé dans un loft très luxueux et Abigail put enfin aller dans une belle école luxueuse et reconnue. Elle voulut se faire des amis mais elle se rendit vite compte que le milieu des riches était… comment dire… froid. Surtout envers une fille que son père est riche simplement par chance. Les autres enfants la méprisaient à cause de la raison qui a fait que son père était riche. Donc, elle passa plusieurs années seule pendant les classes. Puis, le choix de l’université arriva…

CHAPITRE QUATRE. PETIT OISEAU PREND SON ENVOL.

Abigail voulait aller à l’université de Madrid mais son père en décida autrement. Sans l’avertir, il l’inscrit à plusieurs universités américaines. Elle fut acceptée dans plus de la moitié d’entres elles. Son père lui révéla son secret après avoir reçu toutes les réponses. Abigail n’était pas certaine de vouloir quitter son père, la seule chose qui lui restait. Mais son père lui promit de lui rendre visite. Depuis qu’il avait gagné 10 millions, il était devenu un homme d’affaires redoutable et maintenant, il gagnait environ un million par mois. Cette fois, il n’avait plus besoin d’acheter des billets de loto. Il voulait que son argent soit utile aussi pour sa fille.

MONSIEUR MARSERA - Je veux que tu ailles là-bas. Tu pourras trouver du travail plus facilement. Et puis, les écoles de New York sont bien meilleures qu’ici. Tu parles bien l’anglais et tu es une excellente élève. Peu importe quel programme d’études tu choisis, je suis sûre que cela te seras utile.
ABIGAIL - Mais je ne veux pas y aller sans toi. Que je sois à New York ou ici, le domaine de la photographie est très compliqué.
MONSIEUR MARSERA - Ce n’est pas grave. J’aime mieux te voir là-bas qu’ici simplement pour ton vieux père.

Il lui fit signe d’attendre et alla fouiller dans une armoire. Il en ressortit l’appareil photo qu’ils avaient au temps où ils étaient pauvres. Celui tout poussiéreux et antique. Émue, Abigail reçut de son père cet objet qui avait survécut après l’incendie de la maison. Cela suffit à convaincre la jolie espagnole d’aller vivre à New York.

CHAPITRE CINQ. NEW YORK.

Cela fait quelques années qu’Abigail est arrivée en ville. Elle retrouva le même milieu de riches qu’elle avait tant détesté à Madrid alors, elle tente de se faire des amis ailleurs. Elle a décidé de travailler… enfin… et surtout de se prendre en main. Cependant, New York offre bien des distractions et elle a de la difficulté à atteindre les objectifs qu’elle s’est fixée. Même si l’école va bien, ce n’est pas les problèmes qui manquent. Elle se plaît ici même si son père lui manque. Elle retourne l’été en Espagne et commence à se sentir dépaysée de son pays natal. Cela la trouble un peu. Bienvenue à New York Abigail.