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© misery angel

Narcisse Versaille Lacroix

21 ans - Littérature &Sciences politiques - Célibataire
DELTA ; The Stripper.

(a) Mathias Lauridsen
Je m‘appelle Narcisse Versaille Lacroix et je suis né à Londres, le 25 décembre 1988. Je suis enfant unique et je suis issu d'un milieu bien trop aisé. Je suis d’origine française et britannique même si cela ne se voit pas. Mes principales qualités sont la patience, la détermination, la vivacité d'esprit, la tendresse (parfois) et ma créativité est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que la présomption, la cruauté, l'immoralité, le cynisme et mes soudains excès de violence forment mon principal défaut. Je suis hétérosexuel et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations d’une nuit et encore, si je peux la faire partir avant qu'elle ne s'endorme, je n'hésite pas. Mon rêve est inexistant. J’aime La littérature, Wagner, L'ivresse, les soirées arrosées, être haï, le pouvoir, les marchandes d'amour mais je n’aime pas ma mère, les sentiments, les Marlboro, Shakespeare, la sottise, les pleurs alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : je mourrai jeune. Je suis dans la confrérie Delta car je suis noctambule et la débauche est mon credo. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est une ville comme les autres. Je suis plus alcool, tabac et drogue et niveau piercing et tatouage, je n'apprécie ni l'un, ni l'autre. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux.

Clair de Lune (pour piano) ▬ Claude Debussy

TESTONS TA CULTURE PERSONNELLE :

▬ Ton plat préféré ; je n'en ai pas, je dirai tout ce qui respire la simplicité et la tradition.

▬ Ta chanson préférée ; La chevauchée des Walkyries, Wagner

▬ Ta couleur préférée ; le bleu nuit

▬ Ton livre préféré ; Faust de Goethe et Le Vieil Homme et la mer d'Ernest Hemingway

▬ Ton film préféré ; Vertigo d'A. Hitchcock

▬ Ta ville préférée ; Paris

___________________

TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :

▬ 1ere attaque : le réveil

Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vit chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.

Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ?
Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ?
Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ?

Réponse 1 ; je lui envoie certainement le cendrier en verre qui se trouve sur ma table de chevet au visage et si ça ne suffit pas à le calmer ou à lui faire comprendre que je veux dormir, je me lève et le fout à la porte de mon appartement, qu'il soit habillé ou non ça m'est égal.
Réponse 2 ; uniquement si c'est moi qui lui passe la corde au cou.
Réponse 3 ; ne jamais inviter chez soi quelqu'un qui mange des Miel Pops au petit déjeuner.

•• NOM ; PSEUDO : harper.s
•• AGE ; =x
•• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; sur un forum partenaire il me semble.
•• PV OU POSTE INVENTÉ ; poste inventé
•• PRÉSENCE ; disons 6 jours sur 7
•• NIVEAU RP ;
Spoiler:
•• COMMENTAIRES ; une question simplement, est-il possible de présenter le personnage en trois parties réellement distinctes ? (physique, caractère, histoire) ou faut-il obligatoirement tout faire d'un bloc ?
•• AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT ; oui
•• CODE DU RÈGLEMENT ; Code bon by King C :]

Tous Droits Réservés.
Mise en page by Morgane
DONT TOUCH!

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_apparel ;
Tu n’es même plus beau ; comme une fumée malfaisante, la souillure de ton cœur t’est montée au visage. Le sourire, ce doux épanouissement qui rend la jeunesse semblable aux fleurs, s’est enfuie de tes joues couleur de soufre, pour y laisser grommeler une ironie ignoble et le mépris de tout. Et pourtant je ne peux cesser de te regarder, de me noyer dans tes yeux clairs, presque transparents, à l’opposé de ton âme si sombre . Même quand tu me laisses pour te livrer à de sordides occupations, je ferme les paupières et je te vois, je vois tes cheveux ébouriffés, tes joues légèrement creuses, ton nez droit trop droit, ta barbe toujours rasée, ta bouche qui ne demande qu’à être embrassée, ton parfum même vient jusqu’à moi ; cette senteur poivrée qui te colle à la peau se mélange à cet effluve d’alcool qui ne te quitte plus. Je te déteste, je te hais pour la vilenie de ton être mais j’ai besoin que tu m’entoures de ton corps solide, j’ai besoin de voir ton air torturé devant ce monde malsain et alors j'ai l'impression que tu n'es pas si mauvais et alors, je me sens bien.

_ bad &so pathetic story ;

Tu n'as pas de famille, t'es qu'un petit bâtard qui n'aurait pas du naître. Tu n'étais même pas sorti du ventre de ta pauvre mère que t'emmerdais déjà le monde ! T'as foutu sa vie en l'air, elle ça lui allait très bien d'être l'amante de ce parfait homme d'affaire à l'allure pédante et à l'accent insupportable, elle ne voulait rien d'autre. Juste se sentir importante auprès de ce Dashiell Pullman mais qui voudrait d'une maîtresse enceinte ? Alors il est parti, lui et sa jolie famille et ta mère, elle est redevenue cette héritière dépressive et incompétente. Elle te hait, putain qu'est-ce qu'elle te hait ! Parfois quand je pense à ton histoire j'ai presque de la peine pour toi, j'ai presque envie de t'aimer.. Tu n'es rien, t'as personne. Ton père tu ne sais même pas qui il est, ta mère, elle n'a qu'un amour c'est sa bouteille de whisky pure malt, aucun frère pour t'aider à te relever, aucun bras tendu vers toi, nulle part.. Peut-être une cousine quelque part, tu n'en sais rien. Pour savoir il faudrait que ta pétasse de génitrice t'adresse la parole. Famille. Tu n'en connais que le mot.

Tant de sentiments m’habite, je ressens haine, passion, peine, bonheur à la vue de cet appartement vide. Cet appartement qui fut tien pendant toutes ses années. Il regorge de souvenir, il a été le spectateur privilégié du drame qu’est ton existence. Il a vu ton père s’enfuir sans un mot, il a vu ta mère sombrer dans l’alcoolisme et il t’a vu, toi, perdre ton innocence bien trop vite. Je marche dans l’immensité du lieu et fatalement je me retrouve dans la pièce qui était ta chambre, je revois ce lit dans lequel tu n’as sûrement jamais été seul ses dernières années, même lorsque je n’étais pas là, je revois cette table basse en verre sur laquelle tant de rails de coke ont été dessinés par tes soins. Je revois cette poudre blanche et instinctivement je passe mon doigt sur mon nez. Finalement, c’était peut-être elle ta seule compagne, pas moi. Elle t’a permis d’oublier faiblement l’atrocité de ce monde n’est-ce pas. Elle t’a fait oublier que ton connard de père n’a jamais voulu de toi, elle t’a fait oublier que ton alcoolique de mère n’était qu’un spectre incompétent et empli de haine, elle t’a fait oublier que t’étais impuissant.. Tu l’as goûté et elle ne t’a plus quitté. Vous étiez fait pour vous entendre, tout aussi mauvais, destructeurs et nocifs l’un que l’autre, répandant le malheur autour de vous, anéantissant tous ceux qui avaient l’idée de vous toucher. Ensemble vous avez obtenu tout ce que vous désiriez, vous avez vécu au rythme d’une musique effrénée qui ne se taira qu'en même temps que les battements de ton cœur. Oh musique ne t'arrête pas. Vous êtes entrés dans ce cycle qu’est la débauche sans pouvoir jamais en sortir. Et c’est ce que vous vouliez je crois. Vous étiez toujours avec quelqu’un mais au fond vous n’étiez que tous les deux, personne n’a donc réussi ne serait-ce qu’à effleurer ton cœur, n’est-ce pas ? Pas même moi. Tu es parfaitement entouré mais ton âme est condamnée à ne connaître que la solitude mais c’est ce que tu voulais et j’ai mis trop de temps à le comprendre. Tu disais que tu ne t’encombrerais pas de relations inutiles, que tu étais déjà bien assez torturé et que tu n’avais pas besoin de te lier beaucoup à eux pour les détruire, pour leur faire partager juste l’espace d’un instant la souffrance que tu subis chaque jour. Je croyais que c’était différent avec moi, je ne t’avais rien demandé, pourquoi es-tu donc venu me chercher ? J’étais spéciale tu ne cessais de me le chuchoter, je suis ta plus grande œuvre, grâce à toi, aujourd’hui je suis tout aussi désillusionnée que toi ! Tu aurais pu rester auprès des tiens, t’amouracher d’une belle héritière au parfum délicat, à l’élocution sans défaut et à l’esprit libertin mais elles sont si faciles, si accessibles qu’elles ne présentent aucun n’intérêt, tu aurais pu te contenter d’une jeune femme sucrée de la classe moyenne, assez cultivée pour comprendre tes paroles mais non elles t’ennuient, il te fallait plus, il te fallait une fille sans avenir qui n’avait rien à part cette recherche incessante du bonheur, alors tu m’as choisie et détruire ce soupçon d’espoir fut ta quête, une quête de chaque instant. Tu as effleuré mon cœur, m'a détruite tout autant que je t'ai détruit, oubliant le reste, oubliant le monde dans les bras de l'autre. J'ai même cru que c'était ça le bonheur.. Mais tu t'es enfui, tu t'es enfui avec mon infime, mon insignifiante petite âme et j'ai perdu qui j'étais, ce que j'étais. Après tout, t’as que ça à faire, le monde t’offre tout ce que tu souhaites sans que tu n’aies même besoin de claquer des doigts alors à part assassiner l’espoir, faire de demain le même jour qu’aujourd’hui mais avec quelqu’un de différent qu’est-ce que tu peux bien faire ? Je tourne la tête et regarde une dernière fois cette magnifique vue que tu avais sur Londres, elle aurait mérité un peu d’admiration.. Je distingue l’école dans laquelle tu as évolué. Peut-être aurais-tu du y aller plus souvent ainsi ton intelligence aurait servi à autre chose qu’à manipuler tes semblables. Je n’aurais pas été la seule à connaître ton incroyable plume, je n’aurais pas été la seule à lire tes pages emplies de cynisme et d’amertume. T’es parti pour les Amériques je crois, c’est ce qu’on raconte.. J’aurais voulu espérer pour toi, espérer que ce départ allait être associer à un nouveau chapitre, à un nouveau livre même ! Que t’allais oublier ce passé répugnant mais rappelle-toi, tu l’as tué mon espoir. Alors je ne me fais pas d’illusion, ton existence sera toujours la même. Tu ne vieilliras pas. A 25ans tu seras mort de n’avoir trop vécu, si tu ne te suicides pas avant dans un moment de lucidité totale ou si tu ne meurs pas avant d’une overdose ou si tu ne t’écrases pas avant contre le pare-brise de ta Porsche alors que tu roulais à 150 en ville défoncé et sans ceinture.. Tant de possibilités s’offrent à toi.
Prends soin de lui Amérique.
épilogue ; à peine quelques mois ont passé et tu n'as pas changé. Non. Une jeune femme a failli atteindre ton âme mais, comme toujours, tu n'as pas fait face. tu évites le bonheur comme la peste.. tu es un lâche. Un lâche..

_behaviour
Des défauts tu n’en manques pas, c’est certain. Tant de mots désagréables me viennent en tête mais même moi je ne m’abaisserais pas à te les cracher au visage, car comme toujours tu me regarderais de ton sourire méprisant. Voilà donc peut-être ton plus grand défaut ; tu es si impassible, comment peux-tu rester froid face aux pleurs d’une femme blessée, comment peux-tu rester insensible face aux aveux d’une femme amoureuse ? Tu es un être cruel [Qui aime à faire souffrir], tu vois chaque jour toute l’atrocité de ce monde et tu te sens obligé de le montrer aux autres, t’es un assassin, un putain d’assassin d’espoir et de bonheur ! S’il n’y avait que cela.. Tu as cet air présomptueux qui révèle une telle arrogance. Rien ni personne n’est assez bien pour toi ou devrais-je dire mauvais ? Ta suffisance ne fait qu’augmenter la haine qu’ont certains pour toi et l’attirance qu’ont les autres. Tu transpires l’arrogance, et si tu prononces quelque parole, tout s’accentue. Tous ces sarcasmes, tu ne peux plus t’en défaire, ils habitent le moindre discours, tout comme le cynisme hante chacun de tes actes. Oui tu es cynique [Personne méprisant les conventions sociales et l’opinion publique] et sûrement fier de ce défaut, tu es même immoral [Qui est contraire à la morale] parfois et pourtant tu n’es pas amoral [Qui est étranger à la morale]. Tu as tout détruit, tu aimes cela, c’est si triste. T’aurais pu être tant et finalement tu n’es plus rien, tu n’es qu’une pute, t’es un gigolo de bas étage et le plus idiot c’est que c’est la vie qui t’a le plus baisé, vite et mal, comme si t’étais pas assez bien pour elle. Tu as tout de même des qualités et c’est sûrement cela qui m’a détruite, je m’y suis accrochée et j’ai préféré oublier tous tes défauts. Tu es si habile, ton intelligence m’a toujours émerveillée et ta culture encore plus. Il n’existe pas deux hommes comme toi. Tu me cites quelques vers de Rimbaud et malgré le fait que je n’y comprenne pas un mot je ressens alors toute la complexité et la grandeur de ton âme, tu te dévoiles dans l’écriture, c’est souvent sans amour, sans douceur, juste violence et fougue mais ça me touche jusqu’au fond du cœur. T’es un véritable poète et c’est peut-être pour cela que t’envoies le bonheur se faire foutre ! Aussi, tu es déterminé et patient, tu n’abandonnes jamais, tu laisses ça aux faibles et aux idiots, tu aimes les défis et les énigmes. Tu aimes l’effort, la poursuite, la quête d’une vérité fuyante : recherche passionnante dans laquelle tu t’oublies toi-même. Tu aimes te dépasser, franchir des limites hypothétiquement infranchissables. C’est dans ces instants que tu es toi je crois, mais tu ne te montres pas ainsi, tu préfères qu’on te croit pédant et inintéressant c’est plus pratique. Malgré tout, tu restes sincère, c’est ça le plus con dans l’histoire ; tu es honnête et ne cherche pas à mentir pour arriver à tes fins, tu dis ce que tu veux et on te le donne quand même. Tu pourrais dire à une fille que tu vas tout lui donner pour ensuite tout lui reprendre et lui voler son âme qu’elle te ferait tout de même confiance. Elle rirait aux éclats et se ferait avoir comme tant d’autres avant elle. T’es un putain de génie Narcisse..

Bienvenue & Merci de ton inscription,
Bonne Continuation =)

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