« Damien Lloyd Kurland » - Soit l'art et la manière - Terminé

© DirtySoul

Damien Lloyd Kurland

42 ans - Professeur de Littérature - Veuf
SIGMA

(a) Hugh Laurie

Je m‘appelle Damien Lloyd Kurland et je suis né en Angleterre, le 23 novembre 1968. Je suis enfant unique et je vis dans un milieu modeste. Je suis d’origine Anglaise même si cela ne se voit pas. On me surnomme Dam mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont altruiste, pragmatique et perfectionniste et avoir l'esprit jeune est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que le sarcasme et l'humour noir et la moquerie est mon principal défaut. Je suis hétéro et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations sérieuses. Mon rêve a déjà été réalisé et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime la bonne nourriture mais je n’aime pas montrer ma vulnérabilité alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : J'ai déjà été le clien d'une prostitué. Je suis entrer dans la confrérie sigma car je suis professeur. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est une belle ville. Je suis plus alcool et drogue et niveau piercing et tatouage, j'en ai aucun. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux.

© LumberJack

Suite au prochain post.

ACDC - Let there be rock

TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :

▬ Ton plat préféré ; Calamar frit

▬ Ta chanson préférée ; Scorpion - I still loving you

▬ Ta couleur préférée ; Le noir, le gris, le bleu

▬ Ton livre préféré ; La maison des feuilles de Danielewski

▬ Ton film préféré ; Arizona Dream

▬ Ta ville préférée ; Paris


___________________

TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :

▬ 1ere attaque : le réveil

Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vie chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.

Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ? Je lui demande de ce calmé et que s'il veut vraiment boire un café, il y a une brasserie en bas de l'immeuble.
Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ? Non, mais je pense qui devrait y avoir une taxe sur la connerie, les impôts ne seraient rien à côté.
Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ? Avoir des amis qui utilisent leur organe vitale et très important qui se nomme le cerveau, ou changés d'amis.

•• NOM ; PSEUDO : Sebastient ; Seb •• AGE ; 22 ans •• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; Via msn •• PV OU POSTE INVENTÉ ; Poste inventé •• PRÉSENCE ; 4 ou 5 jours sur 7 •• NIVEAU RP ; J'ai arrêtés de rp pendant un bon moment et maintenant que j'ai repris, je n'ai plus aucun post que j'avais fais •• COMMENTAIRES ; J'adore le nouveau design <3 •• AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT ; Oui •• CODE DU RÈGLEMENT ; Croque la pomme

Tous Droits Réservés.
Mise en page by Morgane
DONT TOUCH!

J'ai eu un flash pour votre forum, je trouve le design magnifique et le règlement plutôt complet. J'aime aussi le fait que vous n'avez pas oubliés les professeurs qui sont de moins en moins fréquent sur les forums rpg universitaires, chose qui n'est pas logique soit dit en passant. De ce fait, j'aimerais incarner un professeur, mais j'hésite entre Hugh Laurie et Gérard Butler. Est-ce que ce serait possible que vous m'aidiez à faire un choix ?

Merci d'avance.

Bienvenue a toi =DD
Merci de t'être inscrit
Bonne chance pour ta fiche

Pour ma part, j'ai une préférence pour Hugh Laurie qui a bien la figure de professeur ( du genre un professeur sevère mais aimer par ses élèves, en faisant du bon boulot ). Gérard Butler est bien aussi.
Je pense, que tout dépenderas de la matière que tu veux enseigner enfaite ^^

Je te conseille de suivre ton premier choix, c'est souvent la bonne ^^
Pour la matière, je te conseille littérature car tout le monde l'a, contrairement à la psychologie que peu de monde ont ^^

Un lien oblige

Bienvenuue
&bon choix d'avatar
je veux un lien aussi des que tu es validée (a)
Bonne chane pour ta fiche!

© LumberJack

Je m’appelle Damien Lloyd Kurland et je suis né le 23 novembre 1968 dans une petite ville Londonienne. C’était un jour de pluie; le dernier jour que passaient mes parents en Angleterre, car ils avaient toujours rêvé de vivre en Amérique. Je devais naître en décembre mais je naquis au huitième mois de grossesse. Malgré ça j’étais un très beau bébé : des joues roses et rondes, de grands yeux bleus et brillants, sans oublier ce petit sourire malicieux et les quelques cheveux bruns qui se dressaient déjà sur mon crâne tout blanc.

Tandis que l’année 2009 se termine, il faut dire que ma vie New-Yorkaise me plait beaucoup - sachant que j’y ai mis les pieds dès les premiers jours de mon existence. Ma mère et mon père travaillaient avec passion : elle était dirigeante d’une agence de pub; il était un avocat réputé. Je ne les voyaient pas beaucoup (ils étaient toujours en déplacement) - ce qui veut dire que la plupart de mon temps, je le passais avec ma gouvernante : une femme que je voyais comme une seconde mère. Elle m’a élevé comme son propre fils et l’amour qu’elle m’apportait me rendait très heureux et bien dans ma peau, à tel point que j’en oublié la douleur que je ressentais face à l’absence de mes paternels. Ma mère était jalouse de la gouvernante et mon père ne disait rien, préférant le silence aux lamentations. Ma mère avait beau se plaindre de mon attachement envers ma gouvernante, peut être plus fort que celui envers elle, je l’aimais aussi, passionnément et pour toujours. Après tout, nous avons qu’une seule mère et même si Mademoiselle Sagness comptait énormément à mes yeux, je n’oubliais pas mon adorable maman, la rassurant du mieux que je pouvais avec mes mots d’enfant, attendrissants, lui offrant mille baisers.

La vie était belle: je ne manquais de rien et même si j’étais issue d’une famille riche car oui, j’en étais conscient, cela n’était pas une raison de le crier sur tous les toits, affichant ma fortune de toutes les façons possible. Je n’étais pas comme ça. Nous n’évoluons pas dans un conte de fée, la vie est dure parfois et il arriva un jour où mon père tomba malade, gravement en tout cas. J’étais encore jeune, je n’avais que 12 ans quand les premiers signes apparaissaient mais malgré mon âge, je comprenais la gravité de la chose. Il était atteint de la maladie de Kahler, autrement dit il avait un cancer hématologique de la moelle osseuse. Comment aurait-il pu imaginer une seconde qu’il avait un cancer? Les médecins l’ont détecté de façon fortuite: au cours d’un examen sanguin. Pitoyable n’est-ce pas? C’était le drame, mais mon père continua de travailler, aimant trop ce qu’il faisait pour l’abandonner du jour au lendemain et après tout, il se sentait encore en forme. Rien ne pouvait l’arrêter, du moins pour l’instant et il était résolu à profiter pour exercer encore. J’avais longtemps espéré, tous les jours qu’il revienne à la maison, profitant de son fils et de sa femme qui était ma mère pour me voir grandir un peu. Mais il faut croire qu’il aimait plus son travail que son propre fils ou son foyer prestigieux. Bizarrement, je ne lui en voulait pas. Plus les années passaient et plus l’état de mon père s’aggravait. Deux ans avant son triste sort, il fini par abandonner ses fonctions et se résolu à rester au domicile familial. Ma mère prit une année sabbatique à son tour pour s’occuper de lui. Mademoiselle Sagness était toujours là elle aussi: tout aussi touchée de la maladie de mon père. Mais même si ça déplaisait à ma mère et qu’elle avait voulu la licencier histoire de ne plus la voir, elle ne le fit pas, étant consciente du bien être que je ressentais grâce à elle. Ceci lui déchirait le cœur, elle prenait sur elle mais je voyais que cette tâche était difficile, alors elle l’ignora.

Il mourut à mes 16 ans. Ce fût en 1984. Je me souviens de ce jour comme si c’était hier. Ce fût la première fois de ma vie que je pleurais devant mon père. Ces derniers mots me fût destinés et je ne pourrais jamais les oublier. Juste avant de sombrer dans un lourd coma." Je suis fier de toi fiston…pardonne moi d’avoir était peu présent dans ta vie. Je ne t’ai pas vu grandir mon enfant…n’oublie surtout pas que je suis fier de toi que je t’aime…tu deviendras un homme formidable et je n’en doute pas. Je crois en toi. Prends soin de ta mère et surtout ne doute jamais, je serais toujours fier de toi. Tu es un Kurland et tu représenteras la famille avec élégance et bravoure." Une heure à peine, après ces mots, le bruit si douloureux et si long du défibrillateur retentissait. Mon cœur explosa dans ma poitrine mais je souffrais silencieusement. Ma mère n’a jamais réussis à venir à l’hôpital pour voir son mari. Quand je rentrais à la maison, elle compris tout de suite, s’effondra dans mes bras. Je n’avais que 16 ans; qu’est-ce que je pouvais lui dire à part un: Je t’aime ? Rien, absolument rien, je perdais mes mots et dans cette situation le silence était la meilleure chose que je pouvais lui apporter. Je voyais Mademoiselle Sagness, appuyée contre le mur, l’air désolé et était attristée par la scène et la dure réalité. Elle pleurait, je le voyais bien. Ce fût à ce moment là que je compris que Mademoiselle Sagness et mon père Jonathan Kurland avait eu une relation. Je ne sais pas comment l’expliquer mais je le sentais, j’en étais persuadé et malgré les mille questions qui trottaient dans ma tête; je ne voulais pas en savoir davantage: s’il avait trompé ma mère ou bien si Mademoiselle Sagness était une de ses ex petites amies avant de rencontrer ma mère Katrine Lewis Kurland.

Vous savez ce que je déteste le plus au monde, la chose qui m’ait le plus désagréable à présent? Il y a bien un lieu que je n’apprécie pas vraiment; Civic Center et vous savez pourquoi? Tout simplement car cet endroit se situe bien trop près de l’hôpital où j’ai vu mourir mon père. Je vous laisse imaginer le sentiment que j’ai en passant devant le centre hospitalier et je peux vous jurer que je fais tout pour ne pas y passer devant. Je détourne toujours ma route quand je dois me déplacer.

J’aurais put parler de ça à mes amis, car il faut dire que j’en avais beaucoup surtout à l’adolescence. J’étais très populaire, mais détrompez-vous; me plaindre ou me lamenter sur mon sort n’a jamais été une de mes spécialités. Je ne parlais jamais de mes problèmes estimant simplement que c’était inadmissible: j’étais…plus que aisé, je vivais dans une maison prestigieuse et dans le quartier le plus convoité de New York. L’argent ne fait pas le bonheur mais je savais que je rendais jaloux certaines personnes de mon lycée alors à quoi bon faire parler un peu plus de moi en leur annonçant la mort de mon père? La question n’est pas là…je n’étais pas à plaindre c’était simple, clair et précis.

Je préférais accordé de l’importance à ceux qui m’entouraient au lieu de m’occuper de mes propres problèmes. J’ai toujours voulu aider les autres - pour me rendre utile d’une certaine façon et puis je prenais du plaisir à le faire, c’était naturel et le bonheur des autres apportait beaucoup à mon équilibre personnel. Ceci m’amène aujourd’hui à suivre des études de psychologie, et j’y avais pensé depuis mon très jeune âge. Je suis présent pour mes plus fidèles amis mais également pour les inconnus. Appelez les comme vous le souhaitez. Mes amis me reprochaient de vouloir toujours en faire trop, devenant presque collant et étouffant mais je m’en fichais royalement. Avec les années, je continuais toujours à être présent pour les autres - oubliant ainsi ma propre existence.

Je suis un jeune qui aime travailler et je dois avouer que je me classe dans les premiers et avec aise. Je suis très cultivé, passionné et passe des heures à étudier, trouvant même le temps de m’amuser. J’ai beau être un bosseur, je trouve toujours le temps de sortir; soit pour aller au théâtre, au cinéma ou encore marcher avec ma mère histoire de rattraper le temps que nous avions pus perdre auparavant mais je ne regrette rien et profite de chaque instant à ses côtés. Ce que je trouve dommage à présent c’est que ma gouvernante ne vit plus en Amérique. Elle a disparu du jour au lendemain, après la mort de mon père. J’ai beau essayer de retrouver sa trace via Internet ou toutes autres méthodes, je n’arrive jamais à quelque chose de concluant, alors je pense à elle et garde dans ma mémoire tous les souvenirs que je peux avoir dans mon cœur. J’ignore si, un jour nos routes se recroiseront mais je préfère ne pas espérer, de peur de souffrir un peu plus de son absente. Mademoiselle Sagness, où que vous soyez, sachez que je pense à vous.

Je vais vous faire une confidence. J’ai beau être comme les jeunes de mon âge je me trouve beaucoup plus responsable, réfléchi ou encore plus mature. C’est peut être prétentieux à dire mais je trouve simplement que c’est la vérité: ma tranquillité est un signe distinctif de ma personnalité. Il m’arrive de sortir en boîte de nuit mais je préfère de loin l’ambiance tamisée des restaurants où l’on peut discuter entre amis ou encore passer du bon temps lors d’un concert; ressentir toutes les sensations possible et partager cet instant avec l’artiste. Je pense à ce concert (qui m’a marqué dans tous les sens du terme). Je suis allé voir The Strokes il y a deux ans. C’était fabuleux. Après ça, j’ai passé la soirée avec une ravissante jeune femme. Il faut dire que je l’avais repéré dans la file d’attente. Elle avait beau être loin de moi, je ressentais une certaine attirance, qui plus est physique. Après tout, qu’est-ce que j’aurais pu ressentir de plus envers elle? Je ne la connaissais pas et elle non plus, il n’était pas question de sentiments. Nous avions terminé la nuit ensemble, dans un hôtel. Je n’oublierais jamais cette nuit: chaude et intense. C’était le pied ! Malheureusement, nous ne nous sommes jamais revus. Quand je m’étais réveillé le lendemain matin, j’étais seul dans le lit. Il ne me restais que l’un de ses bijoux: une chaîne en or avec comme pendentif une simplement lettre de l’alphabet; celle de son prénom. Plausible.

Ma mère me dit souvent que je ressemble à mon père et quand je regarde des photos de lui plus jeune je me vois à travers lui. Nous avons les même traits de visage, le même sourire parait-il. Ceci me fait chaud au cœur; ce qui est une raison de plus pour moi de le faire vivre à travers moi; d’une certaine façon. Je suis conscients que je ne serais jamais comme lui, mais je deviendrais un grand homme, du moins j’espère. Je ne veux pas le décevoir et j’irais au bout de mes rêves.

On me dit souvent que je suis un homme très charmant et on trouve que c’est bizarre de me savoir célibataire. J’ai beau être un…tombeur?; je ne suis pas vraiment doué avec les femmes. Je suis si maladroit et peu sûr de moi que je n’ai jamais eu un grand nombre de petites amies. Je pense à l’une d’entre elles: Leyna Andrezao. Nous, nous sommes rencontrés, tout juste quelques jours suivant l’arrivée de la jeune femme. C’était un matin, au Starbuck tandis que je prenais mon café. Il était tellement tôt que nous étions les seuls clients. Une très forte amitié nous liés et puis au fur et à mesure l’amour s’est installé entre nous, de façon très naturelle et nous sommes sortis ensemble. avant de rompre d’un commun accord cinq mois plus tard mais cela n’empêche pas que je garde un agréable souvenir de notre histoire d’amour. On ne se voient plus autant qu’avant mais nous continuons à nous parler et je ressens un profond respect envers elle: je l’estime beaucoup. Leyna fait partie des premières femmes avec qui j’ai pu sortir.

Il y a d’autre femmes dans ma vie. Je pense à Lokelani Luna, Carolynn Wentz ou encore Lori Wickford, ma meilleure amie. Je vois ce sourire, détrompez-vous je ne suis pas entouré que de femmes, il y a mon très cher ami Juan Luis Alvarez qui sait que je serais toujours là s’il a besoin de remettre ses idées en place ! Et dire que je ne "sentais" pas au départ...

Je suis simple d’esprit et également vestimentaire. Pourtant je suis toujours classe. J’ai la chance d’être quelqu’un qui porte tous les genres de façon parfaite, si je puis dire. Je conclue que m’habiller n’est pas quelque chose de compliqué pour moi. Tee-shirt, jeans, basket ou encore Costume cravate je suis tout le temps élégant et j’avoue être un peu coquet sur les bords.

Je croque la vie à pleine dent, je profite de chaque instant j’essaye de me poser le moins de questions possible. J’avance en pensant à demain sans oublier mon passé et mes erreurs qui me servent à avancer.

J’y pense…vous pourrez en entendre parler mais certaines personnes disent que j’ai volé dans un magasin à mes seize ans mais je démens cette rumeur ! C’est entièrement faux mais peu importe l’avis des autres, cela ne m’empêche pas de dormir. Je sais qui je suis et je suis loin d’être un menteur.

Ma vie est loin d'être misérable, j'ai réussis à trouver le grand amour Eli Sanders, une femme tout à fait exquise, raffinée, coquette, tout ce que j'aime. On a entretenu une relation qui avait duré une petite année avant de concrétisé tout sa en se mariant. Après quinze années de mariage, Eli décéda d'un tragique accident de voiture. Elle avait une toute petite voiture qui n'avait pas fait le poids face à un trois tonnes qui roulait en sens inverse. Je n'avais pas pleuré, mais mon coeur était en miette, je me demandais à quoi bon vivre quand on vous prends les personnes les plus chères à vos yeux. Je n'arriverais sûrement plus jamais à m'en remettre, depuis ce jour je suis devenu désagréable, jusqu'à repousser tout acte d'amitié, je profitais d'eux, j'étais devenu manipulateur et je me servais d'eux. Ce qui me choquait le plus, c'est que je n'avais aucun remord face à cela et pire, je continuais ce que je faisais. Mes études m'ont poussés à devenir professeur de littérature dans une prestigieuse université de New-York, j'aimais pas vraiment la présence des élèves, ce n'est pas une chose que j'aimais faire, mais je le faisais quand même parce que ça m'amusait de me moquer des adolescents qui ne comprenait rien à ce que je disais. Une chose est sûr, je ne risque pas de m'ennuyer dans cette université.

Tout est parfait
Fiche validée

Bon jeu & Amuse toi bien parmit nous =)