Sujet: La vérité éclate toujours [PV] Jeu 25 Fév - 1:00
Il avait pour lui l'odeur des parfums qui vous chamboulent, les yeux sombres dardant le monde avec arrogance, le charisme certain et le sourire diablement attirant. Tout chez lui ne se prêtait qu'à ces effluves félines de prédateur prêt à vous bondir dessus lorsque vous vous y attendez le moins, et malheureusement aujourd'hui, cela tomberait sur Hell. Car ses yeux pleins de vices se posèrent bientôt sur la demoiselle, adossée contre le mur froid. Noah se stoppa, un sourire en coin, la dévisageant dans un mutisme froid alors qu'elle même ne l'avait pas encore vu, et comme pour parfaire son entrée en matière, le jeune homme s'approcha à pas de félin, jusqu'à la belle demoiselle. D'un geste furtif et expérimenté, comme le loup pratiquant depuis toujours la chasse à la brebis, le jeune garçon se plaça devant Hell, terriblement proche de cette dernière il posa une main sur sa hanche fine, la toisant de son regard brûlant. Tout chez le jeune homme n'était que provocation ; de son rictus satisfait à son regard imposant et froid, jusqu'à sa voix terriblement suave et sensuelle ; il la défiait de vouloir se dérober à lui. Et alors que la jeune femme leva son regard troublé à son encontre, le fait qu'elle demeure taciturne poussa Noah à prendre la parole dans une tirade cynique.
NOAH- « Bonjour Hell »
Un sourire, une œillade diablement brûlante, et un murmure suave et bas à vous en faire frémir l'échine. Si Noah pouvait être attachant, chaleureux et sympathique envers ses amis, il demeurait diaboliquement vénéneux avec ses proies et ses ennemis. Hell ne dérogeait pas à la règle et Noah ne lui épargnait rien. Ni les passages dans son lit, ni les ordres superflus, ni les quelques humiliations encore gentillettes mais rabaissant -quoi que cela étaient dans les deux sens-. Le plus acide et dépravé des Gamma adorait s'amuser avec la jolie brune, sentir ses frémissements sous ses doigts était terriblement jouissif surtout après une dispute cela ne faisait que développer leurs sens au lit. Aussi il porta sa main sur sa joue dans une caresse, portant une mèche de cheveux de la demoiselle derrière son oreille avant de prendre dans un murmure suave, pourvu d'un sourire en coin face au mutisme de la belle.
NOAH - « Quelle malpolie, tu ne me dis pas bonjour ? Je ne vais pas te manger. »
Non pas tout de suite... Noah finit par ôter sa main, le regard du jeune garçon brilla d'une étincelle interrogative à l'encontre de la demoiselle, curieux, dépravé, impatient de commencer le jeu avec sa souris chétive. Un jeu qui commença rapidement car aujourd’hui devait être un jour comme les autres dans les contrées brumeuses de New York. Des cours à n'en plus finir, des élèves affalés sur leur table à attendre que l'heure tourne, des conversations intempestives au détour des couloirs ainsi que quelques rires.... Excepté pour Noah dont la routine lui était fatidiquement insupportable ; pourtant petit génie avide de culture et de savoir, les cours administrés n'étaient pas toujours pour lui une partie de plaisir. Non pas qu'il ne parvenait pas à suivre, mais il s'ennuyait. Car dès lors que cela ne l'intéressait pas, le jeune homme décrochait bien vite, au grand désarroi de ses professeurs. Pour autant, sans doute était-ce plus avisé de le voir s'ennuyer en cours que de ne pas l'y voir du tout, car il arrivait bien souvent que le plus débauché des Gamma n'en sèche un ou deux pour sa satisfaction personnelle : répondre à un besoin de nicotine voire de quelques substances illicites, ou bien à une envie bien plus portée sur la luxure qu'il s'adonnait avec son amie de toujours : Hell. Aujourd'hui donc, le cours commun de droit se devait de réunir nombre d'élèves toutes années confondues, néanmoins il manquait deux élèves à l'appel.
NOAH - « Apparemment ton régime actuelle ne fonctionne pas à merveille … Mais j’en connais un qui t’aidera à perdre tes kilos en trop ! »
Douce Hell, désirable et appétissante, sans doute un peu trop, car le loup en l'instant ne veut qu'y planter ses crocs. Maintenant, toujours, à jamais, dans une envie lubrique qui ne s'éteint plus, qui enflamme ses pupilles bakélites, et qui la toisent avec trop d'insistance. Un sourire se dessina un peu plus sur les lèvres de Noah, amusé, charmé, séduit... carnassier, comme ses mains vinrent se poser sur les hanches de la demoiselle, la rapprochant alors de lui sans que jamais, il ne détourne son regard du sien. L'atmosphère se fit plus intense, plombée d'un désir trop palpable et presqu'intenable, prêt à lui sauter dessus et quelques minutes avant le début des cours seulement, le ténébreux Wellington avait attrapé délicatement la main de sa douce amie qui était à présent dotée du titre peu reluisant mais si véridique "fucking « friend » ", l'entrainant loin du regard des autres dans la plus grande discrétion et s'engouffrant dans les couloirs sombres. Noah avait eu tôt fait de trouver un placard dans lequel il poussa sa belle le regard plein d'avidité, un rictus sombre au coin des lèvres, avant de refermer la porte derrière lui. Au final, le cours fort ennuyeux de droit avait été remplacé par une partie de jambe en l'air exercée dans un placard sombre et étroit, de quoi pimenter la journée bien que Noah ne tombait que rarement dans la routine. Excessif et débauché, il aimait par dessus tout enfreindre les règlements et pousser ses violations le plus loin possible. Un jour, sans nul doute, le jeune homme se ferait virer, mais pour l'heure sa préoccupation première était de donner du plaisir à sa belle tout en tentant de demeurer discret et silencieux afin de ne pas éveiller les soupçons. Ce fut finalement après des ébats passionnels lui arrachant un sourire satisfait et pervers que le jeune homme passa sa tête brune par l'entrebâillement de la porte, vérifiant que personne ne se dressait à l'horizon afin de sortir de son placard de fortune. S'échappant alors des portes de ce dernier, Noah renoua sa cravate émeraude, reboutonna sa chemise et passa une main dans ses cheveux afin de paraître un tant soit peu "clean".
NOAH - « Ne me remercie pas pour tes quelques kilos perdu … Il t’en reste encore pas mal à perdre ! »
Hell O. Littleton
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
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Sujet: Re: La vérité éclate toujours [PV] Jeu 25 Fév - 1:51
La vérité « Entre la haine et la vérité, il n’y a qu’un pas. »éclate toujours.
La haine peut être un bon mobil, vous savez ? Un de ses mobil qui consiste a révéler des informations qui sont dites secrètes. Alors ne t‘inquiète pour moi, dis moi tout..
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CHAMBRE INCONNU » Pas loin des sept heures du matin.
Pour vous, une belle journée, original se résumait a quoi ? Pour beaucoup, une belle journée devait commencer par un bon réveil, suivit d’un bon petit déjeuné, où le calme serait briser que quand, vous sauriez laver, habillé et sortit de votre demeure, pour remarquer un beau ciel bleu avec un soleil qui pétillait de mille feu. Pour d’autre, une bonne journée devait suivre leur choix, mais surtout voir quelqu’un de vital pour eux, qui les feront sourire jusqu’à la nuit. Pour d’autre, une bonne journée commençait par une veille de fête, où la personne avait ramener dans son sac un quelconque amant, donnant signe de relation d’un soir. Pour Hell Olympia Littleton, elle faisait partit de la troisième catégorie, car pour elle, quoi de mieux que de voir, qu’un nouvel homme avait succomber à ses charmes et que son tableau de chasse augmentait d’un cran ? Alors quand ses yeux s’ouvrirent quand une lumière lui était arriver sous ses yeux fermés, elle avait d’abord insulter la personne qui l’avait réveiller de cette matière là. Puis elle s’était souvenu, que ses rideaux étaient fermé et que personnes ne la réveillait sous peine de mort certaine. Et un simple frôlement du drap en sois, sous sa peau nu ainsi qu’un soupire de contentement, provenant d’une deuxième personne, lui fit ouvrir les yeux pour regarder la vérité : sa journée allait être belle. Un simple regard vers un réveil digital, lui fit comprendre qu’il n’était que sept moins cinq où la pensée qu’elle devait se lever car elle n’était pas chez elle, arriva dans son esprit embué par le sommeil et par l’alcool qui se trouvait encore dans son corps. Mais c’était sans compter, la personne blonde, au corps d’apollon de ce qu’elle voyait, qui avait été son amant du soir - où la simple pensée qu’elle ne se souvenait plus du prénom de son amant arriva dans son esprit - que cette dite personne brisa le silence accueillant et chaleureux dans la chambre aux teint bleuté , signe qu’elle était dans une chambre d’étudiante d’un autre université que la sienne et n’avait pas de risques, de voir des personnes qu’elle n’aimait pas aux réveil. Des mots ensommeillé qui arriva dans son esprit, alors qu’elle s’était mise à position assise, pour sortir des draps en soie - relation d’une nuit qui était un fils de riche - depuis que ses yeux chocolats s’étaient ouvert dans ce lieu. Mots qui fit arrivée ses paroles, même si c’était bien connu : une Littleton n’était jamais du matin, surtout quand elle n’avait pas prit son café au lait matinal, mais vu que ses parents lui avaient toujours apprit à être poli et répondre aux personnes qui partageaient son lit, sa voix rauque et quelque peu brisés par les soins du sommeil, se fit entendre à l’adresse de l’inconnu qui la regarda d’un regard marron tirant sur le noir - regard qui lui avait tout de suite plus, sans savoir le pourquoi -, ayant sa tête enfoncé dans un oreiller en plume d’oie.
AMANT — Qu‘est-ce que tu fais ? Cela faisait déjà cinq bonne minute, qu’Hell essayait de partir, sans réveiller l’un de ses incalculable amant, pour ne pas avoir une conversation comme quoi, elle l’aurait tromper dans ses paroles sages de la veille, elle se permit de garder une réplique cinglante au fond de sa gorge, pour parler d’une voix quelque peu neutre, alors qu’elle enlevait un de ses draps en soie, qui puait l’argent à plein nez. HELL — Ca ne se voit pas ? J‘essaye de sortir du lit, pour partir d‘ici. Finalement, elle n’a pas put sortir quelque brides de mots cynique à l’égard de l’homme allongé, à plat vendre dans un lit où au points une équipe de football américain auraient put y dormir. Elle n’était pas du matin, et cela, son amant ne le savait pas, quand elle entendit la voix masculine et rauque de l’homme qui avait partager sa seule et unique nuit, avec sa noble personne. AMANT — Et quel heure est-il ? Même si Hell, n’était pas du matin, même après une nuit de plaisir charnels avec un inconnu aussi blond qu’elle était brune, dont le prénom lui était inconnu a cause de grande substance d’alcool fort dans son estomac, elle se permit de lui répondre, alors qu’elle sortait du lit, portant une sans tenue pour l’occasion. HELL — Pas loin de sept heures cinq. Un simple baiser d‘entrevoir, elle partit vers la salle de bain aussi nue que le jour de sa naissance, pour y rester une bonne demi-heure dedans.
Après être doucher et rhabiller, la jeune brune qu‘était Hell Littleton était partit, laissant le soin à son amant, de ranger le désordre qu‘ils avaient mit. Amant qui était replongé dans les bras de Morphée, quand elle arriva, habillée et cheveux trempé, où un simple soupire de remerciement, à l‘encontre des personnes intelligentes sortit de sa fiche bouche, avant qu‘elle ne parte de cette maison, où elle avait élu domicile qu‘une seule et unique nuit. Une journée qui commençait extrêmement bien, qui continuait dans la joie et la bonne humeur, quand elle prit son café matinal et petit déjeuné, avec sa meilleure amie Sixteen, dans le Starbuck se trouvant en face de l‘université où elle étudiait depuis des mois déjà : Columbia. Une journée qui n‘allait pas être si joyeuse, qu‘elle pensait quand elle arriva à son cours de science politique, passant ses heures à prendre des notes et faire la conversation à ses proches, sans se douter qu‘une seule seconde, que l‘un de ses plus grand secrets, allait voir le jour, pas plus tard que cette après-midi.
COULOIR » 15h05, devant le placard a balai
La vie pouvait être si banale, si vous n’avez pas quelqu’un d’original dans vos relations. C’est-ce que constata, Hell Littleton, adossé au mur froid d’un quelconque couloir, attendant son cour de droit avec impatience, même si pour elle, le droit était une matière comme tant autre. Sa journée avait si banale, qu’elle s’était demander si elle pouvait mourir de banalité, un jour. Elle n’aimait pas les journées identiques où seul les cours, pouvaient faire changer cette banalité affligeante. Sa journée avait pourtant bien commencer, où elle avait eu tout ce qu’elle voulait avoir, pour une bonne journée, même si intérieurement un regard brun manquait pour une excellente journée. Et pourtant, elle se retrouvait là, perdu dans ses pensées, étant l’une des premières à être arrivé, car son professeur de langue avaient laisser sortir sa classe prétextant un quelconque rendez-vous urgent. Rendez-vous urgent qui pour beaucoup, était une femme dont il coucherait dans les minutes à suivre, bien évidement. Elle avait d’abord raller pour la forme, car comment tuer dix minutes de pause quand tous les élèves étaient en cours ? Une question qu’elle se posait intérieurement, en voyant pas les minutes passés, tellement elle était plongé dans ses pensées. Elle n’avait d’ailleurs pas vu, qu’elle n’était plus seul depuis longtemps, où un seul frôlement d’une main masculine, qui s’était poser sur sa hanche, lui fit comprendre que quelqu’un cherchait à lui parler voir plus si affinités.
NOAH — Bonjour Hell Une voix suave et masculine, une main sur sa fine hanche, elle sut a qui elle avait a faire.
C’était surement pour cette raison, qu’elle leva un regard quelque peu troublé à l’encontre du Gamma qui lui faisait face. Un Gamma qu’elle connaissait par cœur, pour la simple et bonne raison, qu’ils étaient ennemis depuis tellement longtemps, et que niveau physique, elle connaissait chaque endroit pour faire gémir son interlocuteur où elle aurait put dessiner le corps du jeune homme les yeux fermés. Elle savait ce qu’il allait se passer, dans les prochaines minutes où elle maudit les prochaines générations Noah Wellington, car c’était bien lui, pour lui sécher un cour aussi passionnant que l’était celui de Droit. Certes, cette une matière non facultatif pour elle, préférant de loin la science politique au droit, mais c’était toujours un plaisir d’y allez mais malheureusement pour elle, il avait d’autre projet pour elle. C’était surement pour cette raison, qu’un frémissement monta le long de sa colonne, alors qu’elle n’avait pas ouvert la bouche pour le saluer. A quoi bon, lui dire bonjour quand elle savait qu’il allait de nouveau, la réattaquer ? Un signe de politesse ? Elle n’était jamais poli avec ce Gamma, et ce n’était pas demain la veille, qu’elle changera cette habitude si encré dans son esprit. Alors, elle le laissa lui remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille, se mordant sa lèvre inferieur, alors que son regard était resté encré dans celui du jeune homme, un regard envieux se cachant derrière du noir, signe que la vision de Noah ne lui était pas agréable. Elle ne fut donc pas surprise, quand elle entendit à nouveau la fois suave et sensuelle de son vis-à-vis, qu’il lui fit signaler qu’elle n’était pas poli. Un simple sourire carnassier répondu à l’étudiant, où ouvrant la bouche, elle laissa échapper, une voix au ton sèche comme un rasoir, montrant par là, que sa venue était loin d’être demandé.
NOAH — Quelle malpolie, tu ne me dis pas bonjour ? Je ne vais pas te manger. Politesse quand tu nous tien, mais une chose est sur, entre eux deux, la politesse viendra quand il neigera en enfer, autrement dit jamais. Son mordillement de lèvre fut enlever, remplacé par sa voix sèche à l’encontre de son interlocuteur. Interlocuteur qui devenait quelque peu impatient, c’est pour dire. HELL — Va voir ailleurs si j‘y suis Wellington. Je n‘ai pas envie de faire joujou avec toi, aujourd‘hui. Elle croyait le faire partir même si intérieurement, elle savait a quel point l‘entement et la détermination du jeune homme était grande.
Elle ne fut donc pas surprise quand il resta là, ayant au préalable enlevé sa main sur sa hanche, où un seul regard vers le couloir, lui fit signifier que les autres élèves de son cour, étaient entrer dans leur cou depuis quelque temps déjà, mais trop absorbé par sa haine envers N, ne l’avait pas vu venir. D’ailleurs, la simple pensée qu’elle n’ira pas à son cour de droit aujourd’hui, arriva dans son esprit où elle eut cette certitude quand Noah rebrisa le silence entre eux, gardant sa voix suave qui pouvait tant l’énerver par moment. Une provocation où la subtilité n’était pas permise entre eux, voila ce qui résumait les mots du jeune homme à son encontre, où elle poussa un soupire de mécontentement à son égard. Passant, une main dans ses cheveux, pour remettre quelque mèches correctement - elle tenait à son physique plus que autre chose - , sa voix se fit retentir dans le couloir vide de personne, à l’encontre du Gamma, qui se fit de nouveau agresser verbalement par ses noble soins.
NOAH — Apparemment ton régime actuelle ne fonctionne pas à merveille … Mais j’en connais un qui t’aidera à perdre tes kilos en trop ! Rictus en place, voix qui touche un point sensible, laissant place à une de ses provocations qu’elle reconnaitrais les yeux fermés, voila à quelle paroles, miss Littleton lui répondit d’une voix sèche, qui la définis terriblement bien. HELL— — Tu sais où tu peux te le mettre ton régime ? Une insulte caché par des mots, c‘était tout a fait elle et vu le sourire de Noah, il l‘avait bien comprise.
Malheureusement ou heureusement pour elle, elle fut emmener incognito dans un autre couloir, tout aussi vide de celui où sa salle de droit, où un simple regard à droite et a gauche, lui fit comprendre que son interlocuteur, était bien décider à montrer sa haine, physiquement. Alors, elle ne fut pas surprise quand elle entra dans un placard a balai, aussi sombre que la nuit, pour y rester de nombreuses minutes. Minutes où elle passait à retenir ses cris, ne voulant pas faire accourir des paroles pour savoir qui les poussait, alors qu’elle se laissait « dévoré » par le loup qu’était Noah Wellington, sa Némésis personnel et passionnel. Plusieurs minutes passèrent, avant qu’elle ne sorte du placard qui avait été le seul témoin de leur ébat haineux, où elle fit la chose la plus sensés : remettre de l’ordre dans ses habits, ne voulant pas éveiller les soupçons des personnes qui auraient passer par là. Une autre habitude entre les deux ennemis arriva, quand il l’attaqua verbalement tout en reboutonnant sa chemise et remettant en place sa cravate émeraude, qu’elle avait prit un plaisir à la jeter loin dans le placard a balai et autre utilisé dans un tel moment, alors qu’elle remettait avec soin, son pantalon qui lui avait couter une réelle petite fortune. Une habitude que même après avoir connu le septième ciel : les sarcasmes cynique et sanglantes. Ennemi un jour, ennemi toujours comme le dit si bien ce dicton.
NOAH — Ne me remercie pas pour tes quelques kilos perdu … Il t’en reste encore pas mal à perdre ! Parole cinglante qui fit le départ de temps d’autre sarcasme et menace, surtout sur un sujet aussi tabou que l’était sur celui-là. Et on sait tous, que tout être humain à sujet tabou, et connaissant celui de Noah, Hell s’était fait un plaisir de lui répondre, alors qu’elle remettait de l’ordre dans ses vêtements, qu’elle avait mit à l’aveuglette dans le placard à balai, aussi sombre soit-il. HELL— — Je préfère largement avoir « des kilos en trop » comme tu le dis, que de ne pas évoluer dans le domaine du sexe. Tu restera un inexpérimenté, Noah et je te plaindrais presque pour ça. Voix hautaine et polaire comme un iceberg, qui avait prit possession du lieu qu‘était l‘un des nombreux couloirs de l‘université.
Attaquer, attaquer et encore attaquer. Voila surement, un verbe qu’elle connaissait par cœur, quand un certain Noah Wellington était son interlocuteur. Même après qu’ils couchaient ensemble, dans n’importe quel endroit et n’importe quel lieu, leur pic reprenaient là où elles étaient rester. Ils ne deviendrons jamais amis, c’est un fait écrit et mémoriser dans chaque esprit des étudiants. Jamais ils ne deviendrons amis, bien trop fier pour n’être que cela, ils s’étaient tourner dans la haine avec un grand H. Des Némésis qui prenaient très a cœur leur rôle d’ennemi, au point de rester ennemi même quand ils pratiquaient les plaisirs charnels ensemble. Car même cela, ne les empêchaient pas de rester eux-mêmes, couchant ensemble comme si ils s’envoyaient des menaces sanglantes sur le terrain. Ennemi un jour, soyez sur que les deux finiront par mourir ennemi car la haine était totalement plus grisante et importante pour l’abandonner pour une vulgaire amitié.
Alors en sortant du placard où il l’avait entrainer, Hell était sortit finissant de s’habiller car tout en elle, montrait les traces qu’elle avait atteint le septième ciel encore une fois. Se passant une main dans ses cheveux, essayant de les remettre en ordre, elle ne put rien faire pour ses lèvres gercés et gonflés mais n’avait jamais dit, qu’elle était muette, où sa voix l’avait attaquer, ne regardant même pas si quelqu’un venait dans un couloir, car pour elle tous étaient en cours depuis bien longtemps. Son regard fut menaçant, sa voix rauque gardant une trace de froideur dans cette dernière, alors qu’elle attrapait d’une main la cravate émeraude qui avait été remis par Noah, pour la tirer vers elle - se fichant si elle l’étranglais à moitié - pour poser ses lèvres déjà gonflés par les nombreux baisers échangés quelque minutes plus tôt, sur les siennes, pour l’embrasser avec fougerie. Le baiser fut couper par elle, qui ne voulait pas qu’il le prolonge, ses lèvres partirent ensuite, murmurer à l’une des oreilles du jeune hommes, un fait si véridique qui était inscrit dans l’air qu’elle respirait, en ce moment.
HELL — Je te hait. Son souffle chaud se fait ressentir sur l‘oreille de Noah, montrant par là, qu‘elle sortait tout juste d‘un plaisir charnel entre eux deux.
Un murmure rauque et suave, elle avait ensuite retirer sa main qui le maintenait vers elle, pour reculer de quelque pas, laissant un sourire méprisant s’inscrire sur ses lèvres montrant par là, sa haine à son encontre, pour remettre ensuite son top correctement, qui avait laisser entrevoir une bonne partie de son nombril et de son dos qui fut revêtu par son haut. La seule chose qu’elle ne pensa pas, était que si Noah avait regarder d’un côté si personne n’était dans le couloir, elle n’avait pas prit la peine de regarder de l’autre côté et on sait tous, a quel point une Littleton à une chance qui lui faisait faux bon quand une certaines personne entrait dans son champs de vision. Et malheureusement pour elle, cette personne là avait décider d’envoyer sa chance aux oubliettes, voyant pour la première fois, que la haine qui reliait les deux Némésis, n’était pas seulement verbale mais aussi très physiquement.
Connor A. Montgomery
DOM JUAN ♣ « Le Roi est là pour vous servir »
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Sujet: Re: La vérité éclate toujours [PV] Lun 1 Mar - 1:35
Une impossible... Réunion de famille
Il y a des moments dans votre vie auxquels vous ne vous y attendez pas. Des moments que vous n'auriez jamais imaginé possible même avec toute l'imagination du monde. Des moments qui semblent tellement improbable que vous êtes sûrs que c'est Dieu lui même qui a décidé qu'il arriverait. Ce genre de moment n'arrive presque jamais dans une vie, et c'est tant mieux. Mais lorsqu'ils arrivent. Vous vous sentez perdus. Vous ne savez plus où vous êtes, qui vous êtes, et comment réagir. Certaines situations ne devraient pas être possibles. Et pourtant, elles se produisent. Sans qu'on s'y attende, sans qu'on y soit préparé. Et même si on l'était, ça ne suffirait pas à survivre au moment présent.
Ce genre de moment allait être vécu plus tard dans l'après midi par Connor Montgomery. Ce jeune homme, dont on imagine la vie parfaite, allait assister à la scène la plus improbable qui soit et sa journée, pourtant si bien commencée, allait très vite déraper. Cela prouve que la vie du Dom Juan de New York n'était peut être pas aussi parfaite qu'on l'aurait cru. Peu de personne le connaisse vraiment, il est donc impossible d'affirmer qu'il a une aussi belle vie. Au contraire, si vous étiez dans la tête de Connor et si vous aviez la possibilité d'entendre ces moindres pensées, vous vous rendriez vite compte que derrière tout ce luxe, toutes ses femmes et tout cet alcool se cache grand nombre de secrets inavouables qui changeraient sans aucun doute le regard que vous posez sur lui. Tout le monde a des secrets, plus ou moins importants et plus ou moins lourds à porter. Le jeune homme, lui, doit vivre avec d'énormes secrets qu'il s'efforce tant bien que mal à garder pour lui et lui seul. Ça ne le dérangerait pas d'en faire connaître certains, mais ceux ci modifierait sa réputation auprès du monde entier. D'autres encore ne doivent, selon lui, jamais être connus. Ceux là ne changerait peut être pas sa réputation, mais ça le changerait lui. Ce qui serait surement pire.
Manoir des Montgomery – 8h21
S'il y a bien une chose qu'on ignore sur Connor Montgomery et qui provoque bien des questions, c'est sa famille. On sait qu'elle est riche, on sait qu'elle est influente partout dans le monde, mais on ne sait pas vraiment ce qu'elle fait réellement. Si vous entrez un jour dans le manoir Montgomery qui se trouve en plein cœur de la ville de New York vous comprendrez surement qui est cette famille, mais vous découvrirez surtout plusieurs des innombrables secrets de Connor. Lorsque vous entrez dans cet immense endroit, vous êtes immédiatement submergés par l'histoire du monde qu'il renferme. Plusieurs tableaux d'une valeur inestimable dont on ignorait qu'ils étaient ici recouvraient les murs. Des instruments de musique tous plus anciens et précieux les uns que les autres décoraient les pièces. Diverses pièces servaient d'atelier pour tous les arts. Et une immense bibliothèque composée de certaines des plus grandes œuvres littéraires des siècles passés occupait presque un étage à elle toute seule. Pour les non initiés, la manoir ressemblait à un autre monde. Un monde remplit d'histoire, d'œuvres et de secrets. Et quels secrets.
AISLINN — « Papa ? » entendit-on dire une charmante petite fille d'un peu plus de quatre ans dans la salle à manger du manoir. Elle était assise sur l'une des chaises de l'immense table de la pièce et atteignait à peine son bol de céréales. CONNOR — « Oui ? » répondit le père de la petite qui était en train d'avaler une gorgée de son café matinal. AISLINN — « Tu viendras me chercher à l'école cette après midi ? » demanda-t-elle d'une voix adorable et suppliante. Il était impossible de lui refuser quoi que ce soit lorsque l'enfant usait de cette voix là. CONNOR — « Comme si j'avais le choix. » dit-il ironiquement. Il connaissait sa fille et l'avait bien élevé. Depuis qu'elle savait parlé il lui avait appris à toujours obtenir ce qu'elle désirait. Même si ça signifiait le manipuler lui même.
Surpris, n'est-ce pas ? Qui aurait pu un jour imaginer que Connor Montgomery était le père d'une petite fille de quatre ans ? Personne. Même pas lui si vous lui aviez dit ça cinq ans plus tôt. Ce n'avait été qu'un enchainement d'accidents et de mal chance qui avait fait devenir le Dom Juan père unique à l'âge de dix-sept ans. La mère d'Aislinn avait refusé de l'élever et avait donné sa charge complète à Connor. Après tout, c'était son idée. Et même s'il n'avait jamais souhaité être père si jeune, il ne regrettait rien. Sa fille était la plus grande réussite de sa vie. Elle était belle, intelligente, débrouillarde. En vérité, elle lui ressemblait beaucoup, tant physiquement que mentalement. Tout le monde dans sa famille savait qu'elle était la fille de Connor. Mais en dehors, personne ne le savait père. Il n'a jamais ressenti le besoin de le dire aux autres, et seuls ses proches connaissent l'existence d'Aislinn. Mais cette petite n'est pas le seul secret que cache Connor et la famille Montgomery.
Si vous vous aventuriez dans le grenier du manoir, vous pourriez peut être avoir la chance de tomber nez à nez avec une grande photographie encadrée, représentant la famille il y a environ six ans. Pourquoi n'est elle pas à la vue de tous ? Tout simplement parce qu'elle représente une famille qui n'existe plus maintenant. Depuis la prise de cette photo, une des personnes présentes dessus est partie, a changé de nom et a été reniée par les Montgomery. Cette personne est connue sous le nom de Noah Wellington désormais. Mais à l'époque, il s'agissait de Noah Montgomery, le frère aîné de Connor. Ce dernier avait toujours semblé être une pièce rapportée. Il ne ressemblait à aucun autre membre de la famille, il ne partageait pas leur goût pour les arts, et n'arrivait à s'entendre avec personne. Enfin, il lui arrivait de passer quelques bons moments avec son frère, mais ils se faisaient quand même très rares. C'est pourquoi, dès qu'il eut dix huit ans, il quitta la famille. Sans se retourner, il fit ses bagages, emportant la totalité de son compte en banque et changea de nom pour éviter d'avoir à nouveau quelconque rapport avec les Montgomery qu'il considérait comme des étrangers. Depuis ce moment là, toute trace de l'existence d'un second fils fut effacée et personne ne sait que Noah a un jour eut un autre nom que celui avec lequel on le connait maintenant.
Des secrets, toutes les familles en ont. Mais cette famille la plus particulièrement a le don pour les accumuler. Ces deux là ne sont hélas pas les seuls cachés par les Montgomery, mais ils sont ceux qui concerne le plus Connor et qui influe le plus dans sa vie aujourd'hui. Si un jour vous voyez disparaître le Dom Juan on ne sait trop où, et que ce n'est pas pour rejoindre une femme, vous pouvez être sûrs que ce serait pour rejoindre sa fille et passer un moment avec. Il s'efforce chaque jour de la voir, ne serait ce que quelques minutes. En ce qui concerne son frère, si vous le voyez un jour énervé dans l'université, c'est qu'il venait de le croiser. Car comble de mal chance, les deux frères ennemis étudient au même endroit et sont obligés de se voir. Même s'ils ne s'adressent jamais la parole, et s'ignorent royalement. On dit parfois que la famille c'est sacré, mais en vérité, la famille c'est plutôt beaucoup d'ennuis.
Couloir de Columbia – 15h38
Ce matin là, Connor s'était accordé quelques minutes de plus en famille chez lui au lieu d'aller en cours. Et ce soir aussi, il s'accordait quelques heures de cours en moins pour aller chercher sa fille à la sortie de l'école. Connor père poule vous dites ? Vous avez surement raison. Quoi qu'il en soit, après une journée a accumulé cours sur cours et drague sur sur drague, car ne l'oublions pas, nous sommes toujours en train de parler du Dom Juan, le jeune homme se rendit dans les couloirs de l'université pour rejoindre la sortie. C'était sans compter sur une escapade furtive dans le bâtiment qui accueillait les cours de droit et autres matières du genre. Il y avait passé quelques minutes de plaisir avec une jeune femme qu'il avait rencontré un peu plus tôt dans la journée, mais il n'avait pas pu finir ce qu'il avait à faire avec elle car l'heure tournait, et il ne voulait pas être en retard. Un problème se posa à lui, il ne connaissait pas par cœur les couloirs de ce bâtiments ci. Il passait donc de longues minutes à vaguer de couloirs en couloirs pour trouver la sortie. Il était évidement trop fier pour demander son chemin à l'un des nombreux étudiants qui se trouvaient autour de lui. Même si depuis le temps, il sentait qu'il était de plus en plus perdu. Connor arriva dans un couloir complètement abandonné, allez savoir comment. Mais il ne perdait pas pour autant son sang froid. Un Montgomery est censé avoir le sens de l'orientation, il arriverait à se sortir de ce labyrinthe... un jour. Surement.
Cependant, le couloir n'était peut être pas aussi abandonné qu'il l'aurait cru. Quelques mètres devant lui, Connor vit sortir un homme et une femme de ce qui semblait être un placard à balai. Il ne les reconnu pas sur le moment. Cette situation il la connaissait bien. Combien de fois s'était il retrouvé lui aussi dans un placard beaucoup trop petit pour son confort à monter au septième ciel avec une charmante inconnue. Sur le moment, la situation le fit sourire. Mais son sourire s'effaça très vite lorsqu'il tomba presque nez à nez en face des deux personnes qui remettaient leurs vêtements correctement, se recoiffaient, et échangeaient un dernier baiser avant de se quitter. Pas si vite jeunes gens. Votre partie de plaisir ne se finira pas tout de suite. Car Connor les avait reconnu tous les deux. Ce qu'il ne comprenait pas, c'est pourquoi ils étaient ensemble. C'était juste impossible. Inconcevable. Inimaginable. Contre toute logique. Allant à l'encontre de tout ce que le monde connaissait. Hell Littleton et Noah Wellington... ensemble ?
CONNOR — « Mais qu'est ce que c'est ce délire ? » furent les seuls mots qui arrivèrent à sortir de la bouche de jeune homme. Il ne pouvait pas croire à ce qu'il était en train de voir. Il avait besoin d'explications.
Noah Wellington, ce frère que Connor ne reconnaît plus comme tel et Hell Littleton la femme qui obsédait ses pensées jours et nuits et qu'il avait l'impression d'aimer. Même si c'était à l'opposé de son mode de vie et de ses croyances, le jeune homme en était presque sûr maintenant. Il avait du mal à se l'avouer, mais il était en train de tomber amoureux de la jeune femme. Elle était son égal au féminin, il connaissait tous ses secrets et avait un malin plaisir à la faire chanter avec, mais malgré ça il ne pouvait s'empêcher de penser à elle, et d'avoir le besoin de la voir, de lui parler. Il avait toujours entendu dire que ces deux là se haïssaient comme personne, et cette idée le réjouissait au plus haut point. Mais alors, pourquoi étaient-ils ensemble à ce moment là ? Un trop grand nombre de questions envahissaient l'esprit de Connor. Une force étrangère au monde connu s'acharnait contre lui à ce moment là. S'il ne maitrisait pas tant ses émotions et ses sentiments, le jeune homme aurait déjà surement envoyé son point dans le visage de son ancien frère. Mais il avait été élevé pour ne jamais avoir à le faire. Il pouvait se contrôler et cherchait d'abord à comprendre ce qu'il se passait. Même s'il ne voyait pas quelle explication logique ils pourraient lui donner. Enfin, s'ils en donnaient une. Car après tout, ils n'avaient tout deux aucun compte à lui rendre. Noah et Connor ne se reconnaissaient plus comme frères depuis longtemps et ne tenaient pas compte de l'avis de l'autre pour vivre leur vie. Et Hell et Connor étaient censés eux aussi se détester et pouvaient faire ce qu'ils voulaient. Même si en vérité, leur relation était loin d'être aussi simple que ça. Mais malgré toutes les questions qu'il avait en tête à ce moment là, Connor était sûr d'un chose : il serait en retard.
Sujet: Re: La vérité éclate toujours [PV] Mer 3 Mar - 15:41
Cette journée aurait pu commencer d'une manière extravagante, grandiose, originale... Puis elle aurait pu être haute en couleur, explosive, pleine de rebondissements... Une journée si extraordinaire qu'on aurait commencé à la raconter par la formule si célèbre « Il était une fois... » Mais non, rien de tout ça. Lorsque Noah ouvrit un œil ce matin là, autant dire qu'il aurait pu resté couché, personne n'aurait vu la différence. Ou peut être que si. Connor Alec Montgomery aurait surement vu la différence.
CONNOR - « Mais qu'est ce que c'est ce délire ? »
Qu’il était si facile de penser connaitre quelqu’un, de prétendre pouvoir deviner ses réactions, avant même que cette même personne n’y songe. Pourtant, chacun gardait soigneusement ses secrets, se faisant mystère pour les êtres chers, jouant dès lors un jeu sans même sans rendre compte. Ironie du sort, quand on savait que c’était pourtant à ce moment là que les masques tombaient. Et cette nuit là, la vérité s’imposait d‘elle-même, brisant ce pacte tacite, transformant une histoire en un drame, avec pour seul témoin l’astre lunaire, dont la lumière d’ordinaire si douce, devenait si menaçante. L’illusion de cette sécurité éphémère s’effondrait alors, brisant chaque petite parcelle des certitudes que le jeune homme avait réussi à avoir avec le temps, faisant voler son monde en éclat en une fraction de secondes. Perdu, c’était ce qu’il était, et pourtant, le terme restait encore bien faible, comme une multitude de sentiments ravageait son esprit, sans qu’il puisse les différencier. Il lui en voulait, à lui d’avoir briser leur pacte silencieux. Tout devait être si simple, aucun geste, aucun regard, aucune parole. L’indifférence. Il était un Montgomery. Il était un Wellington. Rien nous unissaient. Mais le destin avait voulu ce jouer d’eux. Car ce qui aurait du se produire dès le début était finalement arrivé.
Et je voulais fuir. Fuir. Fuir pour oublier. Fuir pour revivre. Chacun d'entre nous, un jour où l'autre, est amené à fuir face aux aléas de sa propre vie. Si pour certain, cet acte peut être synonyme d'envol, il n'en est pas moins que c'est avant tout une preuve de lâcheté. Le monde est lâche, il le sera toujours. Chaque jours des amitiés se brisent, des couples se meurent. Chaque minutes, des êtres isolés pleurent en silence, d'autre même vont jusqu'à fuir la vie, préférant rejoindre la mort qui leur tend ses bras machiavéliques. La vie est belle ? C'est ce qu'on voudrait nous faire croire mais, il parait évident que cela sonne comme un mensonge lancé par un vulgaire dictateur du bonheur. Voilà tout bonnement ce que je pouvais penser. D'ailleurs, cet état d'esprit que j'arborais, je le devais sans doute à mes chers parents, les premiers à m'avoir prouvé que la vie n'était qu'une route pleine d'embuches. J’étais le petit vilain canard de la famille et il venait de me le rappeler. J’étais l’enfant renié et je ne voulais que l’indifférence. Mais il était là. On n’a pas toujours ce que l’on veut. « Mais qu'est ce que c'est ce délire ? » Rare sont les fois ou on pouvait le voir si surpris. Tant bien que mal, il parvint à dissimuler sa confusion et se força à le regarder droit dans les yeux, sans fléchir, avec ce regard qui veut tout dire et ne rien dire à la fois. Et absolument malgré lui, Noah se mit à rire. Après avoir vainement essayé de demeurer impassible devant une telle question, il dut se reconnaître vaincu quand le risible d’une telle attitude face à lui supplanta de très loin son implication à le détester. Oui, Noah n’était qu’un enfoiré qui riait et il ne put qu’étouffer un rire avant de le laisser aller. Et c’est la que le mot « fou rire » prenait tout son sens.
NOAH - « Tu veux que je t’explique pourquoi nous somme dans cette position ? Tout de même je te pensais plus intelligent que cela, nous avons les mêmes gènes, il faut que tu fasse honneur à la famille »
| X | Flash back | X |
On profite toujours de ce qui nous est offert, jusqu’à l’étouffement. On meurt de contemplation devant ces joyaux gratuits, et on se plaît à les regarder chaque fois que l’on les a devant ses yeux, comme s’ils étaient éphémères et que par la force du vent, ils s’en iraient. Parce que l’on a appris à se conditionner face à l’irréel, il n’existe plus d’autre abris pour les espoirs que dans l’inconscient du rêve. Et comme ils sont heureux lorsqu’ils peuvent exister. Ils vont même jusqu’à nous enivrer ; et l’on reste toute une journée avec ce petit bout de bonheur attaché à notre esprit. Les méandres des songes n’accueillent hélas plus de souhaits. On a trop peur de déchoir pour édifier une petite auberge à ses vœux. Alors, comme le couple égayé par la possession d’un rêve, l‘un contre l‘autre au milieu d'un couloir, résistant ensemble pour garantir la longévité de leur bonheur. Ils étaient beaux, ils étaient si touchants. Leurs silhouettes se serraient l’une contre l’autre. De dos, on aurait une toile. L’aplat de leur corps serait pâle et doré, réfléchissant le soleil qui se mirait sur leur torse. Représentant la douceur de cette découverte. La femme adossée au mur, souriant au éclat, l’homme collé à elle, ne pouvant s'éloigner d'elle, s'embrassant amoureusement. Le tout formant un cœur au milieu du tableau, comme s’ils en étaient le centre. Voilà. Ils seraient l’allégorie de l’amour, et leurs grands yeux émerveillés seraient la flèche de Cupidon. Autour, il n’y aurait que du blanc, purifiant la toile de son obscurité dans les coins de la pièce. Mais, bientôt, il faudrait tout effacer et peindre une troisième personnes qui venaient d’arriver.
Enfin, c’est-ce qu’un tiers personne aurait put croire de loin car n’y Hell ni Noah ne sont épris de sentiment. Elle, c’est la reine des glaces, éperdument froide et associable. Elle semble complètement certaine qu’aucun sentiment, en particulier l’amour, ne s’insinuera jamais a travers ses veines et surtout son cœur qu’on pourrait considéré aujourd’hui, d’une manière absolument pas scientifique, comme de pierre. Lui, il est simplement handicapé des sentiments. Non pas qu’il ne sait pas les ressentir –chaque être humain a cette capacité en lui- il ne souhaite seulement pas les personnifier. Entre eux, n'était que haine et désespoir. HELL - « Je préfère largement « avoir des kilos en trop » comme tu le dis, que de ne pas évoluer dans le domaine du sexe. Tu restera un inexpérimenté, Noah et je te plaindrais presque pour ça.»
Et voilà. Comme prévu. Hell s'était de nouveau énervée contre lui, ce qui constituait son passe-temps favori. Il sourit et se retint d'éclater de rire. Oui, il le savait, c'était un parfait enfoiré, qui prenait son pied à la vanner, juste pour le plaisir de la voir s'énerver & de pouvoir partager des moments plutôt chauds avec la jeune femme. Et on va assister à un match de tennis, puisque Noah renvoyant la balle avec plus d'acidité que celle d'Hell. NOAH - « Tu es piètre menteuse. Mais si tu le dis, tu continue toujours à en redemander car généreuse comme tu es, tu essaye de me faire redresser dans le domaine. C’est surement pour cela ? »
Il la repoussa vivement vers le mur quelques centimètre plus loin. Et tandis que sa bouche s’affaissait à goûter une fois de plus à sa peau, ses mains avaient prit place dans le bas de son dos, la forçant à se serrer un peu plus contre son corps. Un ricanement quasi imperceptible s'échappa de ses lèvres entrouvertes et il l’a relâcha soudainement de son emprise, se détournant nonchalamment de sa proie ; enfonçant ses mains caressantes dans le fond de ses poches. Comme si d’un coup, elle n’était plus grand-chose à ses yeux.
| X | Fin du Flash back | X |
Certaines situations sont, comme qui dirait, absolument cocasses, définitivement irrésistibles, indescriptiblement drôle. Adorable, d’une certaine façon. De loin c’était situation pouvait tout à fait être décrite ainsi. Adorable, de voir un beau couple égayé par le bonheur. Elle lui tendait les bras, s’offrait à lui. Indescriptiblement drôle en voyant, le jeune homme rire à gorge déployer. De loin, on aurait surement voulu ce partager à cette union et partager cette joie. Mais si on faisait plus attention, on pouvait voir les yeux de Connor lançait des éclairs au deux protagonistes, que le rire de Noah sonnait faux et si on connaissait un minimum c’est personne on aurait pu savoir qu’il aurait surement un meurtre ce soir.