22 ans - Étudiante en Droit & Science Politique - Célibataire DELTA
(a) lauren conrad
Je m‘appelle Schuyler Eydis Van Closer et je suis née à Los Angeles, le 24 août 1988. Je suis enfant unique et je vis dans un milieu riche. Je suis d’origine russe même si cela ne se voit pas. On me surnomme Bee mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont la persévérance, la patience et la loyauté et le dynamisme est celle que je préfère chez moi. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que la jalousie, la méfiance et la naïveté et la maladresse est mon principal défaut. Je suis hétérosexuelle et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations d’une nuits. Mon rêve est d'être avocate et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime l'alcool, le shopping, le sexe & pleins d'autres choses mais je n’aime pas m'engager, l'idée de perdre tout & les idiots alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : je touche à la drogue. Je suis dans la confrérie Delta car je suis une peste aux airs d'anges, je couche avec tout hommes qui bougent et parce que c'est comme ça et puis c'est tout. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est la ville parfaite, sexe, alcool et Rock'n'roll. Je suis plus tabac en apparence et niveau piercing et tatouage, je suis pour et possède les deux. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux.
•• NOM ; PSEUDO : Amy •• AGE ; 18 ans (majorité quand tu nous tiens *sort*) •• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; Par Morgane/Hell •• PV OU POSTE INVENTÉ ; Poste Inventé =) •• PRÉSENCE ; 6.5/7, selon les cours =)) •• NIVEAU RP ;
Spoiler:
The Family Is A Heaven In A Heartless World
Son cri aurait très bien pu être entendu dans tout San Francisco, il aurait pu glacer le sang de n'importe qui tant il aurait été puissant. Ce cri qui aurait du sortir du fin fond de sa gorge pour exprimer sa peur et sa colère. Mais ça n'avait pas été le cas, aucun son n'était sorti de sa gorge, elle n'avait pas pu crier tout comme elle n'avait pas pu bouger, complètement pétrifiée face à ce qu'il se passait actuellement. Emma se trouvait dans une petite ruelle de la ville non loin de l'endroit où elle travaillait, c'était l'endroit habituel par lequel elle passait pour se rendre à son travail, une ruelle qu'elle prenait tous les jours sans que rien ne lui arrive. Mais apparemment il ne fallait pas croire que ce serait sas cesse le cas et sans doute aurait-elle mieux fait de se lever en retard ce matin là. Ça ne devait pas être son jour de chance voilà tout, d'ailleurs ces derniers temps Emma n'avait jamais de chance, bon d'accord elle dramatisait sans doute beaucoup sa situation, mais c'était tout simplement l'impression qu'elle avait en ce moment et avec ce qu'il se passait actuellement elle ne pouvait guère être contredite. La jeune femme avait donc prit cette petite ruelle tranquillement sans faire attention aux personnes qu'elle croisait, sans aurait-elle mieux fait de ne pas fouiner dans son sac tout en marchant, ça lui aurait évité les ennuis sans aucun doute. Mais Emma était comme ça, bien souvent maladroite, qu'il s'agisse de tomber en se prenant dans ses pieds ou alors d'aller rentrer de quelqu'un dont elle aurait mieux fait de ne pas croiser le chemin. Ainsi Emma était le nez dans son sac lorsqu'elle rentra de plein fouet dans un jeune homme.
Cessant immédiatement de chercher son portable dans le fond de son sac, elle leva la tête en direction de cette personne prête à s'excuser jusqu'à ce qu'elle voit les traits du visage de cette même personne se contracter, lui montrant sa colère. Par réflexe Emma fit quelques pas en arrière en s'excusant à voix basse mais à vrai dire s'était dépenser de la salive pour rien du tout. La scène se passa beaucoup trop rapidement pour qu'Emma puisse se défendre et comprendre ce qui lui arrivait. Insultée de tous les noms, le voyant avancer vers elle Emma continua de reculer l'expression de son visage prouvant qu'elle était complètement terrorisée. Mais peut importait le jeune homme dans lequel elle venait de rentrer n'en avait rien à faire, il était bien trop préoccupé à s'énerver contre elle. Par instinct elle serra son sac à main contre elle et continua de reculer jusqu'à se retrouver le dos au mur, complètement coincée. Le jeune homme eu alors un sourire satisfait, à croire qu'il avait prévu son coup depuis des mois et que tout se passait comme il l'avait pensé. Emma aurait du hurler lorsqu'il commença à la secouer dans tous les sens, lui hurlant de la lâcher mais elle n'arrivait pas à dire quoi que ce soit, comme si les mots étaient coincés dans sa gorge et qu'elle ne pouvait pas même pousser un cri. Puisqu'elle redoutait se produit sous ses yeux alors qu'elle continuait d'être pétrifiée. Il lui arracha son sac et puisqu'elle se défendait pour le garder contre elle, il leva la main sur elle et la frappa si fort qu'Emma lâcha prise et tomba au sol tandis qu'il s'enfuyait en cours, fier d'être parvenu à ses fins.
La douleur était forte, Emma avait pratiquement l'impression qu'il venait de lui casser la mâchoire et comme pour le vérifier, la jeune femme passa sa main sur sa joue grimaçant légèrement lorsqu'elle sentit une douleur parcourir tout son visage rien qu'au contact de sa main à l'endroit où elle venait d'être frappée. Emma avait honte d'elle, honte de ne pas avoir su réagir, honte d'avoir été pétrifié ainsi alors qu'elle avait tous les moyens de se défendre. Et en plus de sa honte elle avait extrêmement mal au visage, cet idiot n'avait pas visé le haut de son visage, se contentant de frapper violemment sa joue gauche qui à présent était atrocement douloureuse. Mais peu importait la douleur, Emma gardait sa main poser sur sa joue, figée au sol sans même parvenir à pleurer, ses yeux restant secs, elle tentait de se remémorer chaque seconde de scène afin de comprendre ce qui lui était passée par la tête, la raison pour laquelle elle n'avait pas bougé. Puis elle comprit que si elle n'avait rien fait c'était pour la simple raison que les seuls moyens de défense qu'elle avait était ses pouvoirs mais qu'elle ne voulait pas les utiliser si bien qu'elle se trouvait sans défense, à la merci de n'importe qui. Face à cet homme qui venait de l'agresser elle ne faisait pas le poids et instinctivement elle l'avait très bien comprit c'était pour cela qu'elle n'avait pas réagit, que son corps était resté pétrifié. Mais cet idiot n'avait même pas penser à se couvrir le visage, sans doute avait-il cru qu'elle n'allait pas réagir, bien trop effrayée pour se remémorer les traits de son visage, mais Emma avait une très bonne mémoire visuelle.
Se relevant avec difficulté tant son corps entier tremblait sous le choc du coup, elle retira la main de sa joue toujours aussi douloureuse. Il serait peut-être mieux qu'elle passe d'abord aux urgences mais Emma n'avait pas vraiment envie de se rendre à l'hôpital détestant cet endroit plus que n'importe lequel à cause de son passé douloureux. Quittant la ruelle en titubant quelques instants, la jeune femme préféra faire comme si de rien n'était dans la grande rue principale et marcha l'air complètement ailleurs jusqu'au commissariat de police. Ce n'était pas uniquement parce qu'elle venait d'être agressée qu'elle venait en ces lieux, mais aussi parce qu'elle savait qu'ici se trouvait quelqu'un dans les bras de qui elle pourrait se réfugier. Emma monta doucement les marches qui conduisait à la porte qu'elle ouvrit avant de se diriger vers le premier officier qu'elle vit. Ce dernier leva les yeux en direction d'Emma attendant que cette dernière daigne bien parler, elle le regarda et fit un grand effort pour dire qu'elle voulait voir Noah Weston et qu'elle ne voulait voir que lui. Sans rien attendre de plus l'officier la conduisit jusqu'au bureau de l'homme qu'elle venait de demander la laissant entrer. Noah n'était autre que son cousin, c'était pour cette raison qu'elle était venue ici parce qu'il était sa seule famille et le seul vers qui elle voulait se tourner à cet instant. Lorsqu'elle vit son cousin se diriger vers elle, l'air inquiet, elle attendit qu'il soit à sa hauteur avant d'aller se réfugier contre lui prenant soin de poser sa tête du côté non touché par l'agression.
« Je viens de me faire agresser. Je regardais pas où je marchais et tu me connais je suis pas très adroite et je suis rentrée dans quelqu'un. » Emma prit une pause pour retenir les larmes qui montaient enfin à ses yeux et tenter de garder une respiration correcte avant de reprendre. « Je me suis retrouvée coincée entre un mur et lui. Tout c'est passé trop vite je ne savais même plus quoi faire, j'étais comme une idiote, pétrifiée devant lui. »
Emma ne parvenait même pas à avouer qu'il l'avait frapper, elle avait trop honte d'elle. Mais plus les minutes allaient passées et plus l'endroit où elle avait reçu le coup allait rougir puis foncer pour donner à tous une preuve qu'elle avait été frappé. La jeune femme resta contre Noah, se mordant la lèvre inférieure pour ne pas verser une larme à cause de sa fierté, mais elle était tellement honteuse, tellement blessée que ça ne servait à rien, les larmes coulaient d'elles-mêmes le long de ses joues. Son corps fut parcouru dans tremblement tandis qu'elle tentait de respire assez normalement ce qui était difficile puisqu'à présent elle pleurait sans pouvoir se contrôler. Emma avait honte de ne pas pouvoir se défendre, elle détestait était prise pour une fille fragile mais ce qui venait de se produire ne jouait pas en sa faveur malheureusement. Elle était sensible, fragile et elle ne pouvait rien faire contre malheureusement, elle devait subir cette faiblesse à moins d'utiliser ses pouvoirs, mais elle ne voulait même pas y penser.
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Dernière édition par Schuyler E. Van Closer le Ven 19 Fév - 15:02, édité 6 fois
Schuyler E. Van Closer
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« Vous n'avez jamais souhaité naître dans une famille tellement riche que tout vos plus beaux rêves pourraient se réaliser en un claquement de doigt ? Que la plupart des personnes soient à vos pieds et que vos parents vous cède le moindre de vos caprices ? Personnellement je n'ai jamais eu besoin de le souhaité, je l'ai eu dès ma naissance. Oh... et pour commencer je m'appelle Schuyler – c'est spécial mais j'en suis très fière – Eydis Van Closer et ce qui va suivre c'est mon histoire. Alors après ne venez pas me dire que vous ne savez rien sur moi, je vais passer de ma période couche culotte à ma vie de jeune adulte en passant par l'adolescence, on se retrouve après n'est-ce pas ? »
Los Angeles – L.A – la ville des anges, c'est dans cette grande et belle ville que naquit la petite Schuyler Eydis Van Closer, un certain vingt-quatre Août de l'année mille neuf cent quatre-vingt huit. À l'époque ses parents n'étaient pas très vieux, son père – Liam Van Closer – était âgée de vingt ans, son père l'avait employé comme avocat pour sa société, c'est sans doute ce qui lança sa carrière puisqu'à l'heure actuelle Liam Van Closer est l'un des meilleures avocats de New York, l'un des plus populaires. Quant à sa mère – Bella Hallen – elle avait dix-huit ans et venait tout juste d'entrer à l'université pour suivre des études de stylisme, étonnant lorsqu'on sait qu'aujourd'hui Bella Van Closer est une femme d'affaire impitoyable. Enfin tout cela pour en venir au fait que les parents de la petite Schuyler n'étaient pas très âgés lorsqu'ils accueillirent leur petite fille, qui disons-le n'était pas tellement voulut. Sa naissance en a surprit plus d'un, grand nombre des proches des Van Closer pensaient que la jeune Bella allait être forcée à avorté. Cette jeune femme n'était pas d'une famille riche et pas même modeste, si bien que les parents de Liam ne voyaient pas la relation qu'avait leur fils avec cette femme d'un très bon œil. Il n'était donc pas étonnant que Liam n'ai pas voulu cet enfant. Pourtant Bella leur a tenu tête puisqu'après neuf mois de grossesse elle mit sa fille au monde et que trois mois plus tard elle épousait Liam. Quant à Schuyler... même si au début sa famille la voyait comme une « bâtarde » elle parvint à charmer ses grands-parents assez facilement, faisant d'eux des personnes vraiment gaga, un exploit lorsqu'on sait à quel point la famille Van Closer peut-être froide, distante et têtue. Aujourd'hui on peut dire que la petite Schuyler a grandit en même temps que la fortune de ses parents, ce qui n'est pas pour déplaire à la demoiselle, bien au contraire.
Son enfance ? Elle l'a passé à Los Angeles, cette et grande ville des États-Unis. La Californie c'est bien mais même lorsqu'on est encore que des enfants il faut savoir ne pas se laisser marcher sur les pieds et ça... Schuyler a mit plusieurs années à le comprendre. C'était une enfant prodigieuse, très intelligente et surtout très maligne. Elle était sage et ne disait jamais rien de mal placé. Schuyler n'était pas non plus du genre à se plaindre, elle faisait avec ce qu'elle avait et s'en contentait. L'école primaire qu'elle fréquenta fut bien évidemment privée et réservée exclusivement aux filles et à vrai dire ça ne posait aucun problème à la petite fille tant qu'elle pouvait étudier bien sagement. Mais dans cette école la vie n'était pas rose, bien au contraire, les petites avaient beau n'avoir que de six à dix ans, elles n'étaient pas des anges pour autant. Après tout elles étaient toutes les princesses de leurs parents et n'aimaient pas que l'on dise non à l'un de leur caprice et puisque Schuyler était différente parce qu'elle était bien plus sage, elle eu droit aux moqueries et aux coups bas de ses petites camarades mais sans jamais aller ne parler à un adulte, à croire que déjà à cette époque là elle possédait une grande fierté. Au collège ce fut quelque peu différent, bien sûr les parents de Schuyler la laissèrent toujours dans le même type d'établissement, mais la jeune fille changea légèrement à partir de la deuxième année. Bien qu'étant restée « miss-je-sais-tout-et-j'en-suis-fière », Schuyler alla avec les filles les plus appréciées et le plus populaires, c'était selon elle une garantie d'éviter tous les problèmes et d'avoir une « protection » au cas où elle en aurait quand même. Ce fut sans doute à leur contact qu'elle changea le plus, profitant encore plus de la richesse de ses parents et faisant marcher son nom de famille pour obtenir ce qu'elle voulait sans avoir à trop se fatiguer. La petite princesse se transformait légèrement en peste. Quant à sa vie de famille... Schuyler n'y faisait pas attention, elle n'avait pas envie de se mêler aux histoires de ses parents, elle avait déjà la sienne et avait donc nullement besoin d'en avoir plus à vrai dire.
Tout bascula lors de son adolescence, sa petite vie parfaite prit un sacré goût mais son égocentrisme se gonfla. Schuyler ne faisait peut-être pas attention aux problèmes de ses parents mais elle fut tout de même mit en plein milieu sans le vouloir. Chez les Van Closer tout le monde était au courant que ni madame, ni monsieur n'étaient fidèles, tous les deux allaient voir ailleurs et ça ne posait de problème à personne. Enfin peut-être à Schuyler qui retrouva sa mère au lit avec l'un des derniers années de son lycée... Mais sa famille vivait ainsi et ce n'était pas un problème. Mais lorsqu'elle eut atteint ses quinze ans ses parents annoncèrent le divorce ce qui brisa le petit monde parfait de la jeune Schuyler. Sa mère garda son nom de famille et resta à Los Angeles pour diriger la grande société et son père quitta la ville pour aller s'installer avec sa petite-amie et son fils à Los Angeles. Lui ce qu'il garda ce fut Schuyler. Enlevée à sa ville natale, ce fut l'effet qu'elle eu lorsque le juge déclara que sa garde venait à son père et que par conséquent elle se devait d'aller vivre à New York. La demoiselle n'en croyait pas ses oreilles, c'était le problème de ses parents mais c'est elle qui prenait tout. La première année montra à quel point Schuyler partait mal, elle n'allait en cours que lorsqu'elle le souhaitait, sortait sans cesse, fumait et buvait pratiquement tout le temps et couchait à droite et à gauche. Et ce fut encore pire lorsque son « demi-frère » - le fils de sa belle-mère – vint habiter chez eux. C'était monsieur-je-suis-parfait, magnifique et arrogant, toujours sûr de lui. Les filles de son lycée craquaient littéralement pour ce beau mâle, Schuyler, elle, le haïssait. Une haine qui la poussa à devenir pire qu'auparavant. Il lui lançait des défis et Schuyler le relevait sans craindre les conséquences. Elle se mit à voler et le pire fut sans doute de coucher avec un homme marié pour le tenir sous le chantage. Schuyler n'avait que dix-sept ans et elle pensait avoir déjà tout vu. Seulement elle fut attrapée et ce fut la chute. Schuyler fit des heures de travaux d'intérêts généreux pour la ville de New York avant d'être envoyée deux ans à Sydney en Australie, chez ses grands-parents paternels qui s'y étaient installés. La vie fut bien différente, Schuyler eu l'obligation de suivre chaque règle imposée par ses grands-parents et si jamais elle n'en suivait pas ne serait-ce qu'une seule elle resterait enfermée dans sa chambre sans manger, sans se laver, sans rien faire pendant deux jours. La demoiselle y eu le droit pendant un bon petit moment avant de se plier eux règles. Après deux ans son père la fit revenir à New York. Schuyler avait changé.
Schuyler entra à Columbia avec une année de retard. Elle fut d'abord chez les Alpha où elle avait plus ou moins sa place tout comme son « demi-frère ». Mais bien que tout le monde la pensait changée, ce n'était réellement le cas. En deux ans en Australie la demoiselle avait apprit à jouer la comédie, à se faire passer pour une personne qu'elle n'était pas, en l'occurrence une gentille fille intelligente et parfois naïve. Mais dans le fond la blonde aux airs d'ange n'était pas du tout celle qu'elle laissait paraître. Une vraie peste se cachait en elle, attendant le bon moment pour surgir, Schuyler avait juste apprit à bien cacher les apparences, à être plus maligne, tout en restant la fille à papa prête à tout pour obtenir ce qu'elle souhaitait. Ce fut sans aucun doute pour cela qu'elle fut accueillie chez les Delta. Pourtant encore aujourd'hui certaines personnes viennent à douter de sa place dans cette confrérie, trouvant Schuyler beaucoup trop douce et intellectuelle, mais ses proches savent qu'au fond elle, elle ne cherche qu'une chose : agrandir son tableau de chasse, sortir & boire. Schuyler aime les hommes et les hommes l'aiment, elle en profite tout en restant en apparence la bonne fille à son père. Et pour bien continuer sur cette lancée, depuis peu la jeune demoiselle étudiante en Droit et Science Politique, se drogue, pour l'instant c'est à petite dose, mais il y a fort à parier que ça ne va pas durer.
« C'est bon vous n'êtes pas mort j'espère ? Bon vous ne connaissez pas ma vie dans les moindres détails non plus, mais vous en connaissez une grande partie. Maintenant ceux qui pensent encore que je suis la fille typique à papa, parfaite, qui ne pense qu'aux shopping – j'y pense très fortement néanmoins – et bien évitez de croiser mon chemin, je risque de m'énerver. Et mesdemoiselles faites attention à vos beaux mâles et ce n'est pas de ma faute s'ils ne sont pas fidèles et qu'ils terminent dans mon lit. »
Dernière édition par Schuyler E. Van Closer le Ven 19 Fév - 14:52, édité 5 fois
Schuyler E. Van Closer
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Sujet: Re: Schuyler • « Le bonheur à l\'état pur... ou pas . » Mar 16 Fév - 14:09
Jason Derulo — Watcha Say
TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :
▬ Ton plat préféré ; Macaronis au Fromage
▬ Ta chanson préférée ; Bon Jovi — It's my life
▬ Ta couleur préférée ; Le vert
▬ Ton livre préféré ; Les Âmes vagabondes — Stephenie Meyer
▬ Ton film préféré ; Les Indiana Jones(sans commentaire)
▬ Ta ville préférée ; Los Angeles
___________________
TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :
▬ 1ere attaque : le réveil
Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vie chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublier - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinal sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et important moment de ton rêve.
Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ? Question 2 : Pense-tu que la loi de la pendaison, doit-elle réapparaitre ? Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ?
Q1 :: Je hurle plus fort pour que mon colocataire comprenne qu'il n'est pas le roi. Après quoi je quitte mon lit, je vais devant lui et lui fait clairement comprendre que s'il n'est pas content il a qu'à prendre sa veste, ses chaussures, ses clés et son argent pour aller s'acheter ce qui lui manque et fermer sa grande gueule. Et si jamais il réplique quoi que ce soit de négatif je le force à manger les restes dans le réfrigérateur et si encore il est pas content je l'assomme avec une casserole ! Q2 :: Ah non. Non mais vous avez déjà vu la tête d'un pendu ? C'est nul, en plus je vois pas ce qu'il y d'intéressant et à être tous regroupés pour regarder quelqu'un se faire pendre. Dans ce cas-là tu loue un bon film d'horreur, tu te mets dans ton canapé et tu regardes, c'est quand même mieux qu'une pendaison en publique non ? Q3 :: Ne pas avoir de colocataire qui mange des miel-pops et boit du café...
Dernière édition par Schuyler E. Van Closer le Ven 19 Fév - 14:59, édité 3 fois
Grace C. McKelly
Fondatrice. La Reine ne mord pas, quoi que ... ^^
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Sujet: Schuyler • « Le bonheur à l'état pur... ou pas . » 
Mar 16 Fév - 14:09
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