| | le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. | |
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+3Hell O. Littleton Calypso T. Jefferson Noah B. Wellington 7 participants | Auteur | Message |
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Noah B. Wellington
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▬ APPLE'S PEOPLE. ▬ The RelationShips.: The Mind Box: Info or Intox ?:
| Sujet: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 0:01 | |
| © BLUEGIN.Noah Bradyn Wellington 23 ans - Droit - Célibataire GAMMA
(a) Ian Somerhalder
| Je m‘appelle Noah Bradyn Wellington et je suis né à New York, le 13 mars 1988. J'ai un frère, le petit frère prodige. L'espoir de la famille Wellington et je vis dans un milieu très aisé. Je suis d’origine irlandaise et française même si cela ne se voit pas. On me surnomme prince des débauches mais seuls mes proches amis peuvent m’appeler comme ça. Mes principales qualités sont le respect, l'intelligence et que je suis une personne dite amusant mais l'intelligence est celle que je préfère chez moi. En effet, cela pourra l'amené loin. Comme tout être humain - même si je le dis contre mon gré - je possède des défauts tels que la manipulation, l'infidélité et la violence et la manipulation est mon principal défaut. L'honnêteté, la franchise, c'est bien beau. Mais ça ne vous apportera pas bien loin. La manipulation, si. Je suis hétérosexuel et je suis du genre à être quelqu’un pour les relations d’une nuit. Mon rêve est et plus tard, j’aimerais devenir quelqu’un d’important pour le monde. J’aime fumer, boire, planer. Ne plus être soit-même. Ne plus contrôler ces gestes. mais je n’aime pas avoir tord alors si tu n’es pas content, va voir ailleurs si j’y suis. Je possède comme tout le monde des secrets, et par bonté d'âme je vais t’en dire un : petit, j'étais un Montgomery. J'avais donc un frère : Connor. Je suis dans la confrérie Gamma car il n'y a aucune réglés, aucune limites. Aucune morale. Qu'est-ce que je pense de New York ? New York est une ville immense, gigantesque. Ville de lumière, ville du soir. Tout ce que j'aime. Je suis plus alcool, tabac et drogue. Il faut savoir aimé tout. et niveau piercing et tatouage, je n'apprécie ni l'un ni l'autre. Je m’aime tel que je suis, et aucune de tes paroles ne brisera cela car on sait tout les deux pourquoi tu ne m’aimes pas : tu es jaloux. Remplacer les X par des mots Entre italique, voyez choisir l‘une des deux possibilité ou mettre ce qu‘il demande. |
© aurelie
Prolongue
« Nietzsche a dit; si vous regardez longtemps au fond des abysses, les abysses voient au fond de vous. Ca fait longtemps, que les abysses ont pris possessions de mon cops et de mon âme. J'ai vécu une enfance que certains qualifierais de triste. Moi je ne cherche aucune pitié, aucune tendresse, aucun signe d'affection. Je préfère passer pour un enfoiré que pour un faible. Aujourd'hui ma vie se résume à m'amuser. Immature certains diront, idiot vous répondrons-t-il. Pour moi, cette vie a au moins le privilège de ne pas poursuivre des rêves qui ne sont que des chimères. Vivre de sexe, de drogue et de rock'n'roll est ma manière de sourire, de vivre heureux, de planer sans penser à ce qui me tourmente. Je suis un idiot ?! Pensez ce que vous voulez, je ne demande rien. Et n'essayez pas d'approcher, je pourrais rapidement vous en faire voir de toutes les couleurs, vous rabaisser aussi bas que terre, ça ne me gêne pas. Je n'ai aucunement un coeur attendri et l'amour est bien futile, inexistant à mes yeux, je ne m'attache que de l'essentiel. Je fais tout dans l'excès, je possède, je détruit, je bois, je fume, je passes des soirées torrides. Je ne vis pas d'amour et d'eau fraîche loin de là. Ma vie n'est qu'un jeu. Un jeu malsain que je profite tout les jours. Et si je fous ma vie en l'air, c'est que c'était mon heure. Autant en profiter avant que la vie vous dévore de l'intérieur. Egoiste et sadique ?! J'assume complétement, je n'ai fois en rien si ce n'est en moi. Les gens qui m'entourent sont ni plus ni moins que des divertissements et plus loin que la case sexe il n'y a rien quatre-vingt-dix-neuf pourcent du temps. Et pour les petites fouines, je peux être beaucoup plus méchant que vous l'imaginer alors, oui j'ai un secret et non vous ne le saurez pas ... En tout cas si Nietzsche a dit vrai, moi et les abysses, nous ne faisons qu'un à présent et c'est mieux ainsi. »
Noah Bradyn Wellington., enfoiré assumé
Chapitre I : Lui & Connor
- Noah !! Noah !! Descend tout de suite.
Allongé sur son lit, le jeune Noah Bradyn Montgomery, fit mine de ne pas entendre sa mère et continua à écouter sa musique en pensant à tout et à rien. Il ne savait pas vraiment pourquoi elle l’appelait et comme à son habitude il ne portait aucun intérêt à ses cris. Il savait bien que lorsque sa génitrice prenait cette voix, c’est qu’elle était en colère, comme beaucoup trop souvent contre lui. Et pour une fois le petit garçon aux cheveux sombre n’avait rien à se reprocher –ce qui était assez rare pour le préciser-. Du haut de ses treize années, Noah, l'ainé de la famille Montgomery, famille d'artiste aux traditions très sévères, était un véritable problème pour ses parents. Il avait l’habitude de contourner les règles et pour une famille avec autant de bonnes manières que les Montgomery, il était inconcevable de laisser continuer leur progéniture à « entacher la réputation familiale » comme ils aimaient dire. Et malgré de multiple punition, le jeune garçon ne s’était pas calmé, semblant prendre un malin –et malsain- plaisir à détériorer ce qui l’entourait et indirectement mettre ses parents –surtout sa mère- dans l’embarra. Noah était un rebelle et il était fier de ce côté indépendant qui le caractérisait tant. D’ailleurs ça ne plaisait pas à grand monde… à personne devrait-on dire. C’était surement ça qui lui plaisait autant, être au centre des conversations en étant à l’opposé de la morale.
Un sourire se dessina sur son frêle visage angélique lorsqu’il entendit les pas précipités de sa mère monter les escaliers du manoir. Il avait une fois de plus gagné au jeu psychologique qu’il menait avec sa génitrice. Du haut de ses sept ans, il était déjà sadique et manipulateur. Tout ça lui annonçait un bel avenir … dans la bouche de l’enfer. Il ferma les yeux, faisant mine de se reposer. La porte s’ouvrit violemment et claqua contre le mur. Le petit garçon n’arqua même pas un sourcil et resta immobile sur son lit. Sans voir sa mère, il pouvait très bien imaginer la colère qui était dessinée sur son visage, ses sourcils relevés, son air sévère et ses dents serrées. Il avait si souvent vu cette expression sur son visage, qu’en y repensant il avait envie de rire, ce masque de mauvaise humeur était plus comique qu’autre chose. Le plancher craqua. Il n’eut pas le temps de réagir que tout se passa vite, il sentit une main s’écraser sur son visage. Il sursauta. Ce ne fut pas la douleur que lui procura cette baffe qui l’avait surpris mais le fait qu’elle l’ait fait aussi rapidement. Habituellement, ils s’expliquaient et après il était puni mais jamais l’inverse. Le changement de situation déstabilisa le jeune garçon qui avait l’habitude de tout contrôler. Il se releva après plusieurs secondes de réflexion et défia du regard sa mère qui semblait sourire au coin des lèvres. La femme longiligne aux cheveux bruns bien coiffés se tenait droite devant son lit. A vrai dire il savait particulièrement pourquoi sa mère était à ce point énerver. Mais parler le premier aurait signifié qu’il était fautif. Il n’avait peut-être que treize ans, c’était un petit garçon déjà très réfléchit. Il avait encore une fois « oublier » d'aller à ces cours de musique. L'art. C'était tout pour ces parents et pour son frère. Un moyen d'expression. Pour lui, rien qu'une perte de temps.
- Tu as encore raté ton cours de musique ?! –demanda sa mère avec une froideur et une colère démesurée- - Oui. –répondit Noah froidement soutenant son regard.- - Ingrat !! Tu n’arriveras à rien si tu continues comme ça. Tu es un scarabée dans cette famille. –cracha-t-elle espérant blesser le petit garçon.- - Au moins je ne suis pas comme toi. –lança sans aucune intonation Noah, toujours en train de défier sa mère.- - Insolent !! Tu vas voir.
Madame Montgomery leva une nouvelle fois la main sur son fils. Il s’immobilisa. Ne broncha pas. Il savait qu’elle attendait qu’il s’excuse ou autre. Il n’en serait rien. D’une part il n’avait rien fais. D’autre part, il n’avait pas envie de faire ce plaisir à sa génitrice en lui montrant des signes de faiblesse. Elle ne lui avait jamais réellement porté d’affection préférant de loin son « petit chouchou » comme elle ne se gênait de l’appeler. Noah avait à présent l’habitude et cette femme pour qui il avait eu de l’affection et qui l’avait blessé dans le passé, ne représentait plus grand-chose à ses yeux et aujourd’hui à part les disputes il ne lui adressait jamais la parole. La main se rapprocha de son visage. Elle allait toucher sa joue. Stop. Pas une sensation. La jeune femme avait baissé sa main. Noah détourna son regard qui vint se poser sur un petit garçon qui lui ressemblait étrangement. Ils avaient le même visage frêle et angélique, le sourire innocent à l’identique et le regard envoûtant si reconnaissable. Il s’agissait de Connor Alec, son frère. Un air faussement étonné se dessina sur son visage si angélique que démoniaque. Connor était le petit enfant modèle celui qui avait l'âme artistique, la passion pour l'art avec les règles et les bonnes manières.
Sa mère laissa retombée son bras le long de son corps puis pris une mine dépitée. Elle ne voulait pas montrer son visage colérique et sévère à Connor, qu’elle considérait comme son préféré. Son chouchou, son fils modèle. Elle lança un regard noir à Noah puis sortit de la chambre sans dire un seul mot.
«C'était décidé je ne serais jamais un Mongomery. Jamais si c'était jouer d'un instrument ou gérer des musée d'art. Je voulais m'amuser, planer, boire et n'avoir rien à voir avec l'art. A partir de maintenant je ne serais qu'un Wellington.»
parce qu'on m'avait dit de ne jamais parler aux inconnus, parce qu'on m'avait dit d'être polie avec les grandes personnes, parce qu'il fallait toujours garder le silence lorsque vous criiez, parce qu'aujourd'hui, à dix-huit ans, ma vie commence.
Chapitre I : Lui & Helle - Tiens mais c’est Miss Bitch Perfect qui s’est encore habillée avec un rideau. On a voulu cacher des kilos en trop ?!
Noah assis sur un petit muret devant l’entrée de l'université venait de lancer ce pic à une jeune fille brune qui ne marchait pas loin de lui sur le sentier. Plusieurs personnes se retournèrent à cet appel avant que l’intéressée lance un regard noir en direction du jeune homme. Elle quitta sa petite bande de copine qui semblait bien superficielle aux yeux de Noah. L’adolescent ricana en regardant la fillette s’approcher de lui, avec sa démarche gracieuse et hautaine. Il s’agissait d'Hell O. Littleton. Ils étaient amants. Enfin, ce n’était pas des amants conventionnelle. Ils aimaient bien se charrier et se disputer puis après finir au lit. Leur relation tournait autour des pics qu’ils se lançaient. Mais ils n’en restaient pas moins très proches -tenons ici que je parle quand ils sont dans le même lit-. De son air hautain et supérieur –comme à son habitude, enfin du point de vue de Noah- la jeune fille lui lança un regard noir en gardant un minimum de classe. Elle était capricieuse et dépensière –les principaux traits de caractère que Noah retenait à chaque fois- et le jeune homme ne pouvait s’empêcher de la charrier la dessus. Il savait quand l’attaquant sur son poids il la mettrait mal à l’aise. En tant que grande obsédée de sa ligne, Hell ne jurait que par ça, un gramme de trop équivalait à une terrible guerre. Une belle occasion que le plus excessif des adolescents ne laissait pas passer pour la taquiner. La jeune fille se regarda alors, en essayant de mouler ses habits –qui entre nous lui collait pas mal à la peau- et toucha son ventre avec une mine un peu énervée.
- Noah ce n’est pas drôle du tout. Je t’emmerde toi et ta connerie. Il savait qu’il avait touché un point sensible et ça lui faisait plaisir. Mais qu’on se détrompe, il appréciait beaucoup Hell. C’était une de ses partenaires sexuelles les plus régulière, quoiqu’il laisse paraitre. Ces pics lancés n’étaient qu’un jeu entre eux, rien de plus. Un jeu pour agrémenter le sexe entre eux deux. Rien de plus. Noah Wellington, Némésis passionnel d‘Hell Littleton.
Épilogue : Prince de débauche && roi de connerie
Noah ouvrit doucement les yeux pour ne pas être éblouis par les rayons du soleil qui traversaient la fenêtre de la pièce. Il s’étira légèrement. Après quelques instants d’émergence, il sentit quelqu’un bouger à côté de lui. Il se releva doucement puis contempla la douce créature nue allongée à sa droite. Un visage angélique, de longs cheveux blonds soyeux, et une peau aussi douce que celle d’un bébé. Qui était cette tendre fille –qui était à croquer soit dit en passant- ?! Il ne s’en souvenait plus vraiment. Il contempla la chambre. Il ne connaissait pas ce lieu et ne savait pas comment il avait atterrit ici. Il réfléchit. Tenta de se remémorer les évènements de la nuit. Uniquement des flashs parvinrent à son esprit. Bouteille d’alcool. Rail de coke. Ce visage. Ce sourire. Ce baiser. Cette nuit d’amour –enfin dans le sens sexe-. Les souvenirs arrivaient par brides dans son esprit. Depuis plusieurs années, une telle amnésie passagère au réveil était devenue courante pour lui. L’alcool et les substances illicites n’avaient pas aidé son cerveau. Noah était un garçon débauché, il vivait de sexe, de drogue, d’alcool et de rire mais surtout pas d’amour et de sentiment –sauf d’amitié avec Liam-. Il aimait sa vie, c’était sa manière de montrer qu’il était fataliste et qu’il ne croyait pas en grand-chose. L’avenir était quelque chose de bien superflu pour lui .Il n’avait d’ailleurs jamais vraiment réfléchi à ça. Il vivait au jour le jour et ça lui suffisait.
Le jeune homme repoussa doucement les draps de sa peau nue et se leva du lit en faisant le moins de bruit possible pour ne pas réveiller cette belle inconnue. La plupart de ses amantes étaient éphémères et il ne se souvenait que rarement des prénoms de ses partenaires. Il ne voulait rien de plus que du sexe, du plaisir charnel, s’évader dans la fusion des corps. Il n’avait jamais réellement aimé quelqu’un –si ce n’est sa propre personne et encore- et les sentiments qu’il ressentait envers les autres étaient souvent du mépris et du jeu. Il aimait séduire, coucher puis disparaitre. Il avait toujours été ainsi et ce n’était pas aujourd’hui que cela allait changer –aussi belle que soit sa conquête-.
Noah chercha doucement son caleçon dans les affaires éparpillées aux quatre coins de la pièce. Vu la disparité des habits sur le sol, la nuit avait du être assez torride –de toute manière il ne s’en souvenait qu’à peine-. Il ramassa ses affaires puis se cogna l’orteil dans le pied du lit. Un bruit sourd se fit entendre dans la pièce étrangement silencieuse jusque là. La jeune fille bougea et s’étendit sur le lit. Noah se dépêcha de prendre toutes ses affaires et s’habilla. Il espérait qu’elle n’allait pas se réveiller pour ne pas devoir s’expliquer avec elle. Mais c’était raté. Elle ouvrit les yeux. Surprise de voir Noah entrain de s’habiller et prêt à partir. Un sourire au coin des lèvres du jeune homme se dessina sur le visage en voyant les courbes de sa partenaire du soir. Il allait devoir de nouveau s’expliquer. Elle remonta les couvertures sur elle pour cacher une partie de son sein nue qui venait de dépasser. En revoyant la jeune fille, de nouveaux flashs de la soirée lui réapparurent. Timidité. Sourire crispé. Prude. Sagesse. Noah se souvient alors que la jeune fille avec qui il avait passé la nuit n’était pas le genre à coucher avec n’importe qui. Il avait eu assez de mal à la séduire et l’alcool l’avait beaucoup aidé. Elle lui avait d’ailleurs avoué être vierge. Cela allait un peu compliquer sa fuite. Il attendit qu’elle engage la conversation, pour s’expliquer ce qui ne tarda pas.
- Tu vas où ?! – demanda la blonde d’une voix timide et surprise. Elle s’attendait surement à se réveiller dans ses bras. - Je m’en vais. – lui lança t-il froidement ne la regardant pas. Il finissait de s’habiller. - Et on se revoit quand ?! – questionna-elle la voix sensiblement émue. - Jamais - répondit il sèchement un léger sourire au coin des lèvres. Il aimait bien écraser les gens. Il appréciait un plaisir à humilier certaines personnes jugées trop faible. Ce comportement ne le gênait pas du tout. -Mais hier … tu avais été si gentil… - sanglota la jeune fille, consciente qu’elle s’était faite dupé par le jeune homme. - Hier j’étais bourré et je planais. Je dis beaucoup de connerie à la seconde – ricana Noah légèrement. - Je t’ai donné mon corps, cette nuit, tu m’avais dis qu’entre nous s’était sérieux… - s’insurgea l’inconnue. Sa voix frêle et peu confiante donnait un côté comique à ses paroles. - Bah il était temps que tu passes à l’acte, tu finiras bien par me remercier d’avoir ouvert la voie pour les suivants. Et le sexe c’est très sérieux pour moi. - Salaud. – cria t’elle. - Je t’aime aussi chérie. – lança t-il dans un dernier regard avant de partir, posant ses lunettes de soleil sur son nez et laissant la jeune fille pleurer.
Noah n’était pas un ange. Noah se moquait de la morale. Noah n’aimait pas le sérieux. Noah ne voulait pas avoir de sentiment. Noah était un salaud. Noah l’assumait totalement. Noah était le prince de la débauche.
Ta musique du moment
TESTONS TA CULTURE PERSONNEL :
▬ Ton plat préféré ; Les pizzas
▬ Ta chanson préférée ; Noir désir - Je suis un homme presser.
▬ Ta couleur préférée ; Le Rouge
▬ Ton livre préféré ; Les hauts de hurlevents.
▬ Ton film préféré ; L'effet papillon ▬ Ta ville préférée ; Paris
___________________ TESTONS TA MISE EN SITUATION DU « DANGER » :
▬ 1ere attaque : le réveil
Tu dors tranquillement dans ton lit trois places, en faisant un rêve très agréable, au point que tu ne veux pas te réveiller. Manque de chance pour toi, un de tes amis - qui vie chez toi, car c’est plus rigolo à deux que tout seul dans un appartement huit pièces -, hurle comme un condamné à la pendaison, car il a oublié - et met la faute sur ta personne innocente - d’acheter du café et ses céréales Miel pops. Hurlement qui t’arrive directement en figure, car non content de n’avoir pas eu son petit déjeuné, il est entré dans ta chambre pour passer sa haine matinale sur ta personne, te réveillant par ce fait au meilleur et plus important moment de ton rêve.
Question 1 : Quelle est ta réaction face à cela ? Je lui hurle dessus en lui disant que si il ne déguerpir par rapidement de ma chambre. En réfléchissant à une vengeance : le frapper, l’écorcher, lui enlever trèèès lentement la peau des os, avant de la faire rôtir dans des flammes qui brûleraient seulement trèèès lentement, lui arracher un œil et le lui faire bouffer pendant que l’autre regardait, que chacune des parcelles de son corps souffre … Encore à voir pour la vengeance. Question 2 : Penses-tu que la loi de la pendaison doit réapparaitre ? Je me suis toujours demander pourquoi la loi de pendaison a été supprimer. Il n’y a pas mieux pour les colocataire en manque de Miel pops et de café qui vous hurle dessus. Question 3 : La morale de l’histoire, pour toi c’est ? Pour pouvoir finir nos rêves érotique, il faut surtout pas avoir de colocataire.
•• NOM ; PSEUDO : Rim ; Loulou. •• AGE ; 19 cerises. •• OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; Par PRD •• PV OU POSTE INVENTÉ ; PV •• PRÉSENCE ; sur 7 jours. 5/7 •• NIVEAU RP ; un exemple en spoiler. - Spoiler:
CHRISTINNA - « Prouve le moi. » Notre relation sera un échec, nous nous détruirons mutuellement, comme nous l'avons toujours fait jusqu'à maintenant, car je suis incapable de changer, de devenir du jour au lendemain un jeune homme romantique et plein d'attentions. Je serai vil et fourbe, je continuerai ce jeu malsain, mais ce ne sera plus par haine comme c'était le cas jusqu'à maintenant, ce sera par désir. Un désir bien trop compliqué pour être compris par d'autres, bien trop sombre, bien trop puissant. J'ai besoin d'elle, elle est mon oxygène, ma dose de cocaïne journalière, je ne pourrais survivre sans sa présence à mes côtés, et si je la fais souffrir, ce ne sera que pour mieux souffrir moi-même. Elle brûlera en enfer à mes côtés, et nous règnerons en maitres incontestés, continuant ces joutes verbales incessantes, ces bassesses qui n'ont pas de prix, et tout cela pour ce désir destructeur. Je ne peux plus détourner mon regard du sien, son visage est si parfait, le moindre détail, que ce soit la couleur de ses yeux, ou encore son sourire charmeur, me transporte dans un autre monde. C'est terrible, je suis fou d'elle, et je souffre. CAMERON - J'y compte bien. On t’essaies, et on ne peux plus se passer de toi. Pratique, non ?Toujours ce sourire, de son côté comme celui de la belle brune, leur conversation n'avait absolument rien d'anodin pour eux, qui ne parlaient qu'en demi teinte. Il suffisait de savoir lire en filigrane pour comprendre que c'était leur désir commun qui se jouait alors : elle assurait pouvoir le mettre dans le lit et remporter la partie, quand lui la menaçait de s'y brûler les ailes si elle le tentait de trop près. Finalement, après un duel les opposant dans lesquels leurs regards s'accrochèrent sans ciller, le jeune homme lui tourna le dos, rejoignant le sol dans lequel il prit place avec aise, s'y étendant comme un prince dans son domaine, petit arrogant de première. Feintant de baisser les armes pour changer de sujet, il reprit une voix moins orgueilleuse mais toujours affublée d'un timbre incandescent se profilant en un murmure suave. CAMERON - « Et comme les prostitués à l’époque, je te marque au fer rouge … »Ses mots en pincements jouissifs sur ses lèvres. Elle savait que, malgré ses dires, malgré ses gestes se voulant distant, il la désirait jusqu'au moindre soubresaut de son cœur qu'elle lui arrachait par quelques fantasmes passionnés venant traverser son esprit. Et lui aussi savait qu'elle pensait à cette même chose : deux corps suintant la transpiration de leurs organes, quant au creux de leurs reins brûlerait cette intense jouissance au déhanchements de leurs hanches dissimulées sous les draps. Des souffles chauds et des baisers mordants ; Christinna était une véritable tigresse gardienne de la luxure de ses draps. Une idée qui le fit sourire, mais qu'il effaça bien vite, à quoi bon tenter de se faire fléchir soi-même, après tout, c'était atrocement absurde. Aussi, dans un claquement de doigts affligeant, le jeune homme assis sur le canapé dans une attitude princière et arrogante, changea bien vite de conversation comme ses pensées dévièrent ailleurs. Il était véritablement difficile de troubler Scott, lorsqu'il avait décidé de gagner ; en somme même l'idée de se retrouver corps à corps avec elle, aussi délicieuse pouvait-elle être, s'effaça bien vite au profit d'autre chose, sans frustration aucune, comme un réflexe d'auto-défense vindicative. C'est ainsi qu'il en vint à changer de sujet, tout en glissant une provocation pour la forme. CAMERON - « Sais-tu pourquoi il bat aussi vite ? Pas parce qu'il est amoureux. Jamais. » Le sombre jeune homme s'approcha alors, glissant ses lèvres désirables à l'oreille de la demoiselle avant de continuer dans un murmure suave. ]b]« C'est le syndrome de l'ébullition des sens. Le cœur du prédateur bat plus vite, de fièvre et d'excitation, lorsqu'il s'apprête à détruire sa victime. »[/b] fit-il dans un sourire ainsi qu'un léger soupir, détournant alors son visage vers celui de la jeune fille, ses lèvres frôlant sa peau avec triomphe. CHRISTINNA - « Alors je suis proche de te détruire... »Il s’était déjà relevé. Debout face d’elle. Dans un combat qui n'avait pas de fin, ils s'affrontaient l'un l'autre, pures pensées diffamatoires, paroles coupantes à la pointe de leurs syllabes acides ; il se voulait maître quand elle ne voulait plus plier. Un combat de mots qui ce voulait plus cruel. Des paroles tranchantes, des regards sombres. Et son regard se plantant dans le sien, la lueur moqueuse s'y logeant s'éteignit au profit d'une dureté glaciale. CHRISTINNA - « Le mensonge te blesse... L'honnêteté te faire peur... Je dois vraiment y aller avec des pincettes avec toi... »CAMERON - Tu veux être honnête ? Allons-y, je vous écoute mademoiselle la psychologue, racontez-moi tout... Qu'est-ce qui vous tracasse ? murmura-t-il d'un air narquois et railleur.Debout devant lui, se lovant tel un chat à la mouvance gracile, son visage proche du sien. Ô erreur fatale que d'aller éveiller la perversité d'un esprit tel que le sien ; car si Christinna semblait demeurer certaine qu'au contraire éveiller la vicissitude luxuriante déjà quelque peu présente en son sombre amant ne lui apporterait que la victoire, elle se leurrait en vérité dans une partie qu'elle pensait déjà gagnée. Pauvre petit chat, ne t'a-t-on jamais dit que le méchant loup des contes de fées existe ? CHRISTINNA - « Si on ne parle pas, je ne voix vraiment pas ce qu'on pourrait faire d'autre, mais peut être qu'il faudrait que tu m'éclaires... »Pas de réponse, le regard noisette de Cameron s'était déjà posé sur les cuisse de la demoiselle tandis que cette dernière l’embrasser tendrement comme une provocation de plus faite au loup qui ne voulait plus que dévorer ses courbes ; le regard de Cameron n'était plus explicite, il reflétait véritablement une perversité et une envie qu'il ne dissimulait plus, ne voulant plus la cacher. Pas un sourire, juste ce désir vicieux sur son visage, alors qu'il s'appliquait à caresser sa cuisse de son regard mordant et libertin, quand ses mains vinrent alors s'y poser dans un frôlement d'abord délicat. La tête penchée légèrement sur le côté, le jeune homme laissait ses doigts parcourir sa peau blanche et nue ; remontant suavement le long de ses cuisses dans un toucher encore léger qui ne pouvait qu'attiser son envie. Pire encore qu'une caresse vous frôlant la peau avec conviction, c'était le frôlement subtile et vaporeux de ses doigts qui lui brûlaient les courbes, comme pour l'encourager à lui arracher des mots de supplique : "Encore" .... Toujours pas de sourire ; le prince s'appliquait dans sa torture licencieuse à faire monter en elle la convoitise pernicieuse à lui en insuffler des battements cardiaques allant en s'accélérant ; il la touchait sans la toucher vraiment, ô comble du désir prêt à imploser. Du bout des doigts, il lui brûlait la peau dans une chaleur montante et appliquée ; et ce n'était là que des caresses semi-frôlées, rien encore de véritablement concret , Cameron ne faisait que lever l'éros de sa vipère par des frôlements qui, par le refus d'aller plus loin, pouvaient la rendre folle. Des flash dus à un fantasme passager lui vinrent alors en tête : la voir se cambrer sous le joug de ses effleurements fiévreux, dans un gémissement trahissant son cœur affolé par l'incandescence torride de ses touchers peu chastes. Peu à peu, ses frôlements se firent véritables caresses, lui confiant des douceurs chaudes embrasant le creux de sa poitrine et de ses reins alors que le sombre prince ne s'arrêterait pas là. Prêt à mener son combat bien plus loin qu'à l'accoutumé, il la ferait imploser d'un orgasme rêvé qui ne viendrait pas, à la faire se débattre contre son propre désir et l'embrasement de ses sens. Enfin, le regard noisette du jeune homme se posa sur le visage de Christinna, descendant d'une course lente sur sa poitrine puis son ventre plat, couverts par le tissu blanc de sa chemise. Puis ses prunelles se stoppèrent à l'entremise de sa jupe, lieu de délice qui lui arracha un sourire presqu'indiscernable ; le diable, en plus du loup fiévreux et impitoyable, s'était éveillé en lui. Alors, dans une caresse divinement suave à en lui arracher des soupirs frémissants, il remonta sa main le long des cuisses délicates et blanches de la demoiselle, dans un regard consciencieux et imperturbable. Ses prunelles de braise suivant avec attention le parcours de sa main experte qui était remontée à l'entremise des cuisses de la belle, frôlant alors sans pudeur le tissu qui recouvrait son intimité tant désirée, dissimulée sous l'étoffe de sa jupe. Et le silence, étouffant de gémissements torrides coincés sans doute en travers de la gorge de la si belle princesse, embrasait un peu plus ce feu incandescent présent en eux, l'attisant par le murmure envieux de leurs souffles qui allaient en s'accélérant. Et le regard appliqué du sombre prince , le désir pernicieux et mordant dans ses obsidiennes, lui promettant implicitement monts et merveilles dans des choses nouvelles qu'il pourrait lui apprendre entre deux coups de reins et débats passionnés, son souffle et son parfum enivrant, ses doigts aventuriers et audacieux, le frôlement de sa peau glacée partant à la recherche des gémissements haletants de sa vipère ... Que de tentations trop fortes, muées dans une torture qui ferait lâcher leurs cœurs se débattant dans leur frénésie fiévreuse et embrasée... Alors, comme dans un supplice de plus que sans doute Christinna semblait voir venir, Cameron redressa ses yeux noisettes sur son visage, un sourire carnassier au coin des lèvres, alors qu'il se pencher vers cette dernière ; loup audacieux au corps proche, trop proche, de celui de la princesse déchue. Le bourreau ne s'arrêta pas là, car en plus de ses mains remontant sur le galbes de ses cuisses, c'étaient également ses lèvres qui glissèrent en même temps le long de leur courbe, descendant dangereusement vers le fruit défendu et dissimulé sous ce bout de tissu noir. Qu'elle se cambre, qu'elle expire tout son désir, qu'elle geigne, gémisse, frémisse... qu'elle le supplie, qu'elle murmure son nom. Et déjà, de ses deux mains posées sur le haut de ses cuisses, le bourreau aux allures de prince descendu jusqu'à son intimité préservée, ses lèvres posées à l'entremise de ses cuisses d'une jupe relevée et écartées dans la forme d'un arc délicat et léger.... Audace pernicieuse et fiévreuse qui le poussa à continuer jusqu'à ce tissu blanc, où il déposa un baiser ironiquement et diablement chaste, si tant est qu'on pouvait le qualifier ainsi au vu du lieu défendu sur lequel il y avait apposé les lèvres. Un baiser, puis deux, puis un autre encore lorsque ses doigts vinrent s'immiscer dans un frôlement sous le tissu... mais guère longtemps, l'espace de deux secondes gémissantes seulement. Car lentement, le jeune homme se redressa dans un sourire triomphal et sombre, glissant doucement son corps contre le sien, parcourant les courbes de son corps de par le sien dans une effluve d'ivresse piquée d'une provocation douce. L'une de ses mains, désireuse de ne pas rester sage, écarta sa cuisse afin de pouvoir le laisser s'y glisser ; hanches contre hanches, buste contre buste, il l'avisait de tout son regard de braise, alors qu'un sourire s'afficha sur ses lèvres. CAMERON - « De quoi ne pourrais-tu pas te passer ? »Murmure suave, souffle brûlant glissant sur sa peau dans une envie saillante, alors que sa main aventurière se posa sur le haut de sa cuisse, épousant parfaitement le galbe de cette dernière. FLASH BACK CAMERON – « Laisse moi sortir ! Laisse moi sortir ! Ouvre, laisse moi sortir ! » Les poings du gamin de sept ans s'abattaient sur la porte de sa chambre avec frénésie et colère, sa voix encore fluette s'échappant de ses lèvres se faisait néanmoins enragée et virulente, mué dans une colère dévastatrice, d'un sentiment rageur mêlé à cette peur trop bien fondée, le petit garçon hurlait d'une haine farouche sa plainte, encore et encore. De longues minutes déjà qu'il tambourinait à la porte de sa chambre, à hurler ainsi à son père de le laisser sortir, à en sentir ses poings parcourus d'une douleur vive empourprant les joints de ses mains. Encore et encore, inlassablement, il hurlait sa colère et son désespoir, sentant ses nerfs lui lâcher sous le poids de cette horrible condition à être ainsi enfermé. Le jeune Scott n'était pas un enfant battu, pas plus qu'il était délaissé ; au contraire ne manquant de rien il avait pour lui une chambre somptueuse et les promesses d'un avenir certain. Le seul obstacle à son enfance qui aurait pu être parfaite, était encore son propre père qui, obsédé par la perfection et la réussite, avait trouvé dans le don de son fils cette chance de le voir percer encore plus loin, encore plus haut. Son fils unique deviendrait ministre ou banquier, voire même médecin, mais quoiqu'il en soit il ne pouvait le laisser gâcher cette précocité intellectuelle. Aussi, dans un excès cupide et presque fou, porté par le désir le consumant de la perfection, Edward Scott avait ainsi poussé le vice à forcer son jeune fils à étudier, l'enfermant à clé dans sa chambre. Une condition qui pour lui n'avait rien de cruel ni d'inhumain, il ne sentait là ni mal ni manque de lucidité, aveuglé par sa cupidité et l'envie de faire de son jeune fils le summum de la perfection, il l'enfermait ainsi tous les jours, pour son bien et son avenir... Une attitude des plus vicieuses trahissant l'excès vindicatif des Scott. Huit ans seulement, et séquestré chaque jour quelques heures dans une pièce, à se pencher sur les livres tandis qu'au loin résonnaient les rires enfantins et insouciants de ses camarades. Aujourd'hui, n'y tenant plus, des larmes vinrent alors monter aux yeux ambrés du jeune garçon dont les mains frappant avec force contre la porte de bois commençaient à le faire souffrir ; des larmes de colère et de rage, l'envie de tout détruire, y compris lui-même. L'autodestruction si chère au cœur de Cameron commençait alors, et ne le quitterait plus jamais. CAMERON – « Papa ! Ouvre moi ! » Les poings qui tambourinent à la porte, avec haine, avec rage, avec fureur, résonnant en écho contre une porte de bois vibrante sous la peine et la colère d'un petit garçon encore terrorisé, malgré ses hurlements intempestifs trahissant sa virulence haineuse. Les livres éparpillés au sol, les bibelots à terre balayés d'un revers de main en sont la preuve ; le petit garçon a explosé, et le voilà confiné à une porte qui ne veut pas s'ouvrir. Et pourtant, cette dernière grince, s'entrouvre, une silhouette massive apparaît ; un bel homme au visage soudain strict, et sa main puissante s'empare du petit garçon et le tire dans le couloir. Sans trop de violence, mais avec fermeté, tandis que le jeune Cameron se débat contre son père, épuisé par tant de haine qu'il exorcise alors ; il frappe et s'agite, comme si la porte ne s'était pas encore ouverte. Alors son père l'empoigne fermement et le pousse contre le mur, la tête du jeune garçon venant le percuter de plein fouet. L'homme n'a pas voulu faire preuve d'autant de violence, mais seulement calmer son fils qui peste comme un diable, apeuré et haineux, les yeux humides et pénétrants. Aussi le père se met à parler d'une voix douce alors qu'il s'accroupit pour se trouver à la hauteur de son fils qui se débat encore avec force et violence, et déjà l'adulte sait qu'il n'y a qu'une seule chose qui puisse apaiser le petit diable affolé. EDWARD – « Cameron ! Cameron calme toi ! ... Dylan est là. » Le petit garçon cessa peu à peu de se débattre, hoquetant néanmoins dans une respiration saccadée qui peinait à se calmer. Ses larmes toujours au coin de ses yeux sombres qu'il ravala alors, Cameron toisa son père d'une œillade perçante et froide, encore sous le joug d'une rage et d'une peur incontrôlée. Néanmoins le regard de son père ne cillait pas, et Cameron voyait déjà venir le ton moralisateur. EDWARD – « Tu es infect aujourd'hui Cameron, je ne suis pas sûr que tu aies le droit d'aller voir Dylan... Tu te souviens de ce que je t'ai dit ? » CAMERON – « La perfection ne s'acquiert qu'en travaillant... » répondit le garçonnet d'un murmure agacé mais docile. EDWARD – « ... Donne-moi un synonyme de 'infect'. » CAMERON – « ...Infâme. » Edward – « Bien, la leçon est apprise tu peux y aller. » Et l'homme se releva d'un sourire fier, ignorant qu'il torturait son propre fils à vouloir ainsi le modeler et l'enfermer dans une obsession pour la perfection qui n'existait pas. Cameron se redressa, essuyant ses larmes avec fureur, il reprit prestance et descendit les escaliers d'un pas vif, posant sur ses lèvres un sourire ravi qui s'étira à la vue de Dylan, postée dans le salon. FASH BLACK CHRISTINNA - « Je te propose quelque chose. Je suis à toi jusqu'à ce qu'on sorte de se placard. Choisis tes armes et je te suis. Une règle tu finis tout ce que tu commences, tu ne cesses pas le combat pour me faire enrager, et je ne le cesserais pas moi non plus. Tu ne respectes pas la règle, je t'en fais voir de toute les couleurs... Mais bien entendu si tu as peur que je te fasses perdre tes sens tu peux aussi te défiler tout de suite... » Non jamais il ne serait ce prince parfait, ce héros des contes de fées. Jamais il ne pourrait être cet être courageuse, il voulait être lâche et tout laisser. Et il la détestait, il la détestait pour ses souvenir d’enfance qu’elle lui à fait rappeler. Sur ses paroles, il sentit la colère l'embraser de nouveau, le poussant à se coller de nouveau contre la belle demoiselle d'un mouvement brusque, sa main empoignant un pan de sa robe qu'il avait remonté d'un coup trop sec le long de sa jambe. Il sentait son palpitant s'accélérer sous cette colère froide, sous la rage, sous le trouble, sous la volonté de lui faire du mal pour ne pas imploser. Mais quelque chose le stoppa alors qu'il plongea ses obsidiennes dans les azurs de Christinna ; après tous ces mots, après tout son trouble, il ne souhaitait guère plus vraiment la le jeter au sol pour la faire sienne et si possible dans la souffrance. CAMERON - « Fous moi la paix ! » •• COMMENTAIRES ; :*O* *O* •• AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT ; Non pas encore •• CODE DU RÈGLEMENT ; Code bon by King C :]
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Dernière édition par Noah B. Wellington le Mer 24 Fév - 16:54, édité 13 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 0:03 | |
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| | | Calypso T. Jefferson
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 0:04 | |
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| | | Hell O. Littleton
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 0:05 | |
| Bienvenue a toi =DD Merci de t'être inscrit Bonne chance pour ta fiche <3
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| | | Grace C. McKelly
Fondatrice. La Reine ne mord pas, quoi que ... ^^
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 0:08 | |
| Bienvenue & Merci de ton inscription, Bonne Continuation =).
Un lien semble inévitable xD | |
| | | Noah B. Wellington
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 0:17 | |
| Merci =D Je ne dirais pas non à Sophia Bush <3 ! | |
| | | Blueberry Adams
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 14:44 | |
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| | | Noah B. Wellington
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mar 23 Fév - 16:41 | |
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| | | Calamity S. McLandess
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| | | | Noah B. Wellington
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| Sujet: Re: le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. uc. Mer 24 Fév - 16:54 | |
| Merci =D Je pense avoir fini. | |
| | | Hell O. Littleton
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